Comores: la campagne des législatives relance le débat sur la représentation des femmes en politique
Source: RFI
Aux Comores, les femmes restent marginales en politique. Actuellement, il n’y a que huit candidates sur cent sept aux législatives, deux ministres sur quinze, dont la porte-parole, et une seule gouverneure élue sur trois. Un contraste saisissant avec les déclarations du président Azali Assoumani, qui prône régulièrement une plus grande implication féminine dans la gestion des affaires de l'État et des postes électifs.
En pleine campagne pour les législatives jusqu’au 10 janvier, le débat de la représentation des femmes en politique aux Comores est remis sur la table. Pour le pouvoir, des progrès sont en marche. Houmed Msaidié, conseiller politique du président Azali Assoumani, défend une dynamique prometteuse malgré certaines limites.
« Je peux vous dire que les femmes s'engagent effectivement en politique pendant les campagnes, mais dès que les campagnes se terminent, elles ont tendance à laisser un peu de côté la politique. Mais ce qui est sûr, elles commencent aussi à prendre des responsabilités importantes au niveau de l'administration publique, des entreprises publiques et parapublique, donc le mouvement est là, la dynamique a été enclenchée par le président, je crois qu'elle est en train de prendre et on le verra aussi au niveau des communales », explique-t-il.
Lisez ici l'article complet publié par RFI le 5 janvier 2025.
Image par RFI
Aux Comores, les femmes restent marginales en politique. Actuellement, il n’y a que huit candidates sur cent sept aux législatives, deux ministres sur quinze, dont la porte-parole, et une seule gouverneure élue sur trois. Un contraste saisissant avec les déclarations du président Azali Assoumani, qui prône régulièrement une plus grande implication féminine dans la gestion des affaires de l'État et des postes électifs.
En pleine campagne pour les législatives jusqu’au 10 janvier, le débat de la représentation des femmes en politique aux Comores est remis sur la table. Pour le pouvoir, des progrès sont en marche. Houmed Msaidié, conseiller politique du président Azali Assoumani, défend une dynamique prometteuse malgré certaines limites.
« Je peux vous dire que les femmes s'engagent effectivement en politique pendant les campagnes, mais dès que les campagnes se terminent, elles ont tendance à laisser un peu de côté la politique. Mais ce qui est sûr, elles commencent aussi à prendre des responsabilités importantes au niveau de l'administration publique, des entreprises publiques et parapublique, donc le mouvement est là, la dynamique a été enclenchée par le président, je crois qu'elle est en train de prendre et on le verra aussi au niveau des communales », explique-t-il.
Lisez ici l'article complet publié par RFI le 5 janvier 2025.
Image par RFI