Aller au contenu principal

Élections

Selon les sondages, une candidate indépendante soutenue par les Pirates et les Verts a de fortes chances de remporter le second tour des élections contre les candidats soutenus par la droite et le parti au pouvoir et ainsi devenir la première femme présidente de Slovénie.

Dimanche, les Slovènes se rendront aux urnes pour élire leur nouveau président, le président sortant Borut Pahor ne se représentant pas en raison de la limitation de son mandat.

Les sondages semblent indiquer qu’aucun candidat ne remportera plus de 50 % des voix, ce qui laisse présager un second tour entre les deux premiers candidats, lequel devrait avoir lieu le 13 novembre prochain.

Pour le premier tour à venir, le candidat de droite Anže Logar, du Parti démocratique slovène (Slovenska demokratska stranka, SDS), ex-ministre des Affaires étrangères du troisième cabinet Janez Janša, est en tête des sondages avec environ 30 % des voix.

M. Logar est suivi de près par Nataša Pirc Musar, une candidate non partisane soutenue par le Parti pirate slovène (Piratska stranka Slovenije) et les Verts (Stranka Mladih Slovenije, SMS), qui obtient environ 27 % des voix.

Cliquez ici pour lire l’article publié par EURACTIV le 17 octobre 2022.

Connue pour avoir été dans le passé une admiratrice de Mussolini, Giorgia Meloni, qui a remporté les élections législatives en Italie, a depuis mis de l’eau dans son vin. Mais reste très conservatrice.

Arrivée en tête des élections législatives en Italie avec sa coalition, la cheffe de file du parti Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, devrait très probablement bientôt devenir la première femme à gouverner le pays. Mais aussi la première première ministre italienne, depuis la guerre, à avoir appartenu à un parti néofasciste.

Née à Rome en 1977, Giorgia Meloni, aujourd’hui âgée de 45 ans, a en effet longtemps été membre du Mouvement social italien, un parti néofasciste héritier du Parti national de Benito Mussolini, de 1992 jusqu’à la création de Fratelli d’Italia en 2012.

Cliquez ici pour lire larticle publié par La Nouvelle République, le 26 septembre 2022.

Quand Marielle Franco, conseillère municipale noire de Rio de Janeiro, a été assassinée en 2018, Renata Souza, qui tente de se faire réélire députée régionale dans trois semaines, a ressenti "la plus grande douleur" de sa vie.

Malgré ce traumatisme, cette Brésilienne de 40 ans a repris le flambeau de la lutte des femmes issues des favelas contre le racisme, en tant que députée de l'Etat de Rio.

Sept mois après l'assassinat qui a choqué le monde entier, elle avait été la députée régionale la mieux élue de la gauche dans son Etat, malgré la vague conservatrice qui a accompagné l'élection du président d'extrême droite Jair Bolsonaro il y a quatre ans.

Cliquez ici pour lire larticle publié par TV5 Monde, le 13 septembre 2022.

L'élection du 3 octobre annonce la composition d'une Assemblée nationale plus diversifiée que jamais.

Davantage de femmes qu'en 2018, peut-être quelques autochtones, plus d'élus issus de l'immigration, voire quelques représentants des minorités sexuelles. Voilà à quoi risque de ressembler l'Assemblée nationale, au lendemain de l'élection générale, selon une compilation effectuée par La Presse Canadienne, à partir des données fournies par les cinq principaux partis.

Tout indique que cette nouvelle Assemblée nationale sera plus diversifiée que par le passé, donc plus conforme à la population qu'elle est censée représenter, étant notamment plus féminine qu'en 2018, si on se fie à la proportion record de candidatures de femmes proposées par les cinq principaux partis désireux d'occuper les 125 sièges du parlement.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Droit, le 10 septembre 2022.

Alors même qu’elles détiennent le droit de vote et d’éligibilité depuis l’ordonnance du 21 avril 1944, les femmes demeurent sous-représentées dans les scrutins électoraux et l’exercice des fonctions électives.

Afin de combler le retard pris par la France, le pouvoir constituant a consacré dans la Constitution le principe de « l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives » par la loi constitutionnelle du 8 juillet 1999, principe solennellement réaffirmé par son inscription à l’article 1er de la Constitution lors de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 ( article 1er, alinéa 2 de la Constitution). Il a, par ailleurs, invité le législateur ainsi que les partis et les groupements politiques à mettre en œuvre ce principe ( article 4, alinéa 2 de la Constitution).

Sur ce fondement constitutionnel, le Parlement a voté plusieurs textes destinés à favoriser la parité.

Cliquez ici pour en savoir plus.

En 2017, les femmes ne représentaient qu'un tiers des candidats aux élections municipales. Des initiatives ciblées doivent permettre de changer cette situation.

Lors des élections communales de juin prochain, la parité entre hommes et femmes doit atteindre un niveau aussi élevé que possible. Et pour cause, en 2017, la grande majorité des candidats étaient des hommes. Les femmes ne représentaient alors que 35,78%.

Une inégalité qui s'est également fait sentir au niveau des résultats. Selon les chiffres du Conseil national des femmes du Luxembourg de mars 2021, seules 13 des 102 communes étaient dirigées par des femmes bourgmestres à cette date. Et sur 226 postes d'échevin, seuls 41 étaient occupés par des femmes.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Luxembourg Wort, le 24 août 2022.