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Parlements et élus

La proposition du nouveau gouvernement dirigé par le PiS, dans lequel plus de la moitié des nouveaux ministres sont des femmes, a été dévoilée par Mateusz Morawiecki lundi (27 novembre). Mais faute de majorité parlementaire, il risque de ne pas recevoir de vote de confiance.

Bien qu’il ait remporté les élections législatives, le parti conservateur au pouvoir, Droit et Justice (PiS, CRE), n’a pas réussi à obtenir une majorité, contrairement à la coalition des trois blocs d’opposition, la Coalition civique de Donald Tusk (KO, PPE/S&D), la Troisième voie centriste (Renew/PPE) et la Gauche (S & D/Gauche).

Néanmoins, le président polonais et ancien membre du PiS, Andrej Duda, a nommé M. Morawiecki, membre du PiS, au poste de premier ministre, donnant ainsi au parti une chance de trouver des partenaires de coalition.

Cependant, malgré les efforts de Mateusz Morawiecki, aucun parti n’a accepté son invitation à des pourparlers de coalition.

Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Euractiv France, le 28 novembre 2023.

Connue pour son ouvrage sulfureux et polémique "Le génie lesbien", la militante féministe et LGBT française Alice Coffin a créé un Observatoire "des violences sexistes et sexuelles en politique", avec lequel elle compte lancer un "Metoo" à l'échelle européenne.

Elue écologiste au Conseil de Paris depuis 2020, Alice Coffin explique avoir assisté très rapidement à des violences dirigées à l'encontre des femmes.

"Quand je suis arrivée dans ce monde politique-là, la première chose à laquelle j'ai été confrontée, ce sont les violences sexistes, les violences sexuelles qui s'exercent contre les femmes politiques ou qui s'exercent de la part des hommes politiques sur l'ensemble de leur entourage", relate-t-elle lundi dans La Matinale.

Cliquez ici pour lire l’entretien intégral publié par RTS, le 20 novembre 2023.

Le 18 octobre dernier, le Canada célébrait l’affaire « personne » : date à laquelle une décision constitutionnelle a accordé le droit aux femmes d’être nommées au Sénat, en 1929. Pour l’occasion, l’Université d’Ottawa a tenu une conférence organisée par le projet sur l’histoire des femmes à propos du pouvoir des femmes dans la vie publique, avec comme invitée la très honorable Kim Campbell. La Rotonde a assisté à la conférence et a pu s’entretenir en tête à tête avec l’ancienne première ministre.

Cliquez ici pour lire l’article publié par La Rotonde, le 22 octobre 2023.

Le parlement indien a adopté la semaine dernière, à la quasi-unanimité, une loi qui instaure un quota de plus d’un tiers de femmes à la Chambre basse et dans les assemblées régionales. Une réforme constitutionnelle, résultat d’un combat législatif débuté, il y a plus de 20 ans. Cela réjouit les femmes, marginalisées en politique dans ce pays patriarcal, même si la date d’entrée en vigueur de cette réforme n’est pas encore fixée.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Radio France Internationale, le 17 octobre 2023.

Le Vietnam est déterminé à consolider et à renforcer les relations entre les deux pays, a affirmé Vuong Dinh Huê, ajoutant que le Parti communiste du Vietnam (PCV) souhaitait coopérer étroitement avec les Partis politiques bulgares pour promouvoir la coopération bilatérale dans différents domaines, consolider la confiance politique et renforcer les relations sur le plan étatique de manière approfondie, substantielle et efficace.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Courrier du VN, le 27 septembre 2023.

Comment a-t-on pu imaginer un jour que la démocratie pouvait se construire sans les femmes ? Être une femme et participer à la prise de décision politique, une riche aventure pour laquelle des femmes s’avèrent désormais de plus en plus nombreuses à se porter candidates. La présence de celles-ci en politique est loin d’être une évidence et ne résulte pas d’un processus naturel. Le chemin fut long et reste parsemé d’embûches.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Sudinfo.be, le 26 septembre 2023.

À la suite de son premier volet sur la parité politique à l’échelle locale, le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE) dresse donc un état des lieux de la parité au niveau national, non seulement en s’interrogeant sur la répartition des postes et des compétences, mais encore sur l’impact de la « non-parité » sur les conditions d’exercice du pouvoir et sur la décision publique. Ainsi, ce rapport s’attache à :

  • Établir les marges de progrès de la parité quantitative et qualitative à l’échelle nationale ;
  • Analyser les freins et les résistances à l’entrée des femmes en politique ;
  • Formuler des recommandations pour atteindre la parité et l’égalité au pouvoir.

Cliquez ici pour accéder au rapport.

Dans un grand nombre de pays, les femmes députées restent très minoritaires. Une quinzaine de pays parviennent à la parité, dont le Mexique, l’Afrique du Sud et les pays d’Europe du Nord. La France est dans une situation intermédiaire.

Parmi les députés et sénateurs du monde entier, on compte 26 % de femmes en octobre 2022, selon l’Union interparlementaire (UIP), l’organisation mondiale des parlements nationaux. Autrement dit, les hommes parlementaires sont trois fois plus nombreux que les femmes aux mêmes postes.

Les disparités sont grandes d’un pays à l’autre. On peut considérer la parité comme atteinte dans quinze pays parmi les 193 États membres des Nations unies. La part de femmes parmi les députés [1] y atteint ou dépasse 45 %. Le Rwanda bat tous les records, avec 61 % de femmes. On trouve aussi dans le haut du classement plusieurs pays d’Amérique latine (Cuba, Mexique, Argentine, par exemple), l’Afrique du Sud et des pays scandinaves. L’Europe se démarque à peine des autres continents.

Cliquez ici pour lire larticle publié par L’Observatoire des inégalités, le 29 novembre 2022.

Le troisième Rapport parlementaire mondial analyse pourquoi la question de l’engagement public est importante et comment les parlements, de par le monde, resserrent leurs liens avec les populations qu’ils représentent. Il décrit les tendances et les priorités stratégiques dans ce domaine et identifie plusieurs points de contact essentiels pour assurer un engagement plus riche et plus approfondi du public aux côtés du parlement à l’avenir, à l’appui des principes fondamentaux inscrits dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030 des Nations Unies.

Cliquez ici pour avoir accès au rapport.

Élisabeth Borne est devenue lundi la deuxième femme française à occuper le poste de Première ministre, après Édith Cresson il y a 30 ans. Mais au-delà de cette nomination symbolique, quelle place occupent les femmes aux postes de pouvoir ? Radiographie en infographies.

Une seconde femme première ministre, 30 ans après la première. La symbolique est forte, et même l'opposition salue le geste tout en désapprouvant le profil d'Élisabeth Borne. Depuis 2012 et le gouvernement de Jean-Marc Ayrault (sous Français Hollande), les gouvernements sont paritaires. Mais derrière ces nominations, combien de femmes occupent des postes de pouvoir politique ? Combien sont-elles à l'Assemblée nationale, au Sénat, à la tête des mairies ? France Inter s'est plongé dans les chiffres.

Cliquez ici pour lire larticle publié par France Inter, le 17 mai 2022.

29 % de sénatrices, 39 % de députées, 42 % de conseillères municipales. Le bilan de la parité en politique est de moins en moins défavorable aux femmes, sauf aux fonctions à haute responsabilité.

La parité entre les femmes et les hommes en politique progresse en France. Les femmes représentent 39 % des députés, 42 % des conseillers municipaux, 50 % des députés européens, 49 % des conseillers régionaux et 50 % des conseillers départementaux. En revanche, seuls 20 % des maires sont des femmes. Moins d’un tiers des présidents de région sont des femmes. Elles président deux conseils départementaux sur dix et occupent moins d’un siège sur trois au Sénat (29 %).

Cliquez ici pour lire larticle publié par L’Observatoire des Inégalités, le 4 mars 2022.

Au début de l’année 2021, les perspectives mondiales restaient obscurcies par les lourdes menaces de la COVID-19. En plus de représenter un risque sanitaire majeur, la pandémie avait provoqué un vaste bouleversement économique et social. La sphère politique n’était pas épargnée : organiser des élections dans de bonnes conditions de sécurité ou assurer le fonctionnement normal des parlements sont devenus de véritables défis. Si nombre de ces difficultés se sont poursuivies dans le courant de l’année, se conjuguant parfois les unes aux autres, les reports d’élections1 ont été moins nombreux que l’année précédente.

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