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Partis politiques

Les Assises nationales de la Refondation de l’Etat (ANR), niveau national, tenues à Bamako, les 27, 28, 29 et 30 décembre 2021, faisaient suite aux phases communales, locales, régionales ainsi qu’à celles ayant concerné les Maliens établis à l’extérieur et les réfugiés, phases qui se sont tenues du 11 au 23 décembre 2021. Les recommandations, entre autres, ont demandé la réduction du nombre des partis politiques. Quels risques pour la représentativité des femmes?

Selon les statistiques de la Fondation Centre pour le dialogue interpartis et la démocratie, CMDID, il y a plus de 235 partis politiques au Mali enregistrés au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.

Selon Mme Maïga Sina Damba, vice-présidente du Réseau des femmes africaines ministres et parlementaires Refamp, on compte seulement 5 femmes cheffes. 

Cliquez ici pour lire larticle publié par Maliactu, le 23 février 2022.

Les hommes ont de plus en plus de mal à s'imposer dans les partis de gauche, alors que les femmes y sont toujours davantage mises en avant, constate la NZZ am Sonntag. Le phénomène a pris de l’ampleur en particulier au Parti socialiste.

Dans les partis de gauche, les électrices et électeurs élimineraient plus fréquemment les candidats masculins qu'auparavant, relate le journal dominical alémanique. Et ce sont les candidates, souvent plus jeunes, qui obtiennent les meilleurs résultats.

Cliquez ici pour lire larticle publié par RTS, le 20 février 2022.

Pour favoriser le respect de la parité dans les conseils municipaux, la proposition de loi étend aux communes de moins de 1000 habitants le mode de scrutin de liste paritaire appliqué dans les communes de 1000 habitants et plus.

La proposition de loi s'inscrit dans le prolongement de la loi Engagement et proximité du 27 décembre 2019 qui prévoit dans son article 28 que "les dispositions du code électoral relatives à l’élection des conseillers municipaux et des conseillers communautaires sont modifiées pour étendre l’égal accès des femmes et des hommes aux fonctions électives dans les communes et leurs groupements » et qu’une « évaluation est préalablement conduite par le Parlement pour déterminer les modes de scrutin permettant cet égal accès”.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Vie Publique, le 7 février 2022.

Une étude sur «les femmes dans les partis politiques», réalisée par le Centre de recherches, d’études, de documentation et d’information sur la femme (Credif), avec l’appui de la fondation Friedrich Ebert, défend les droits des femmes. Cette étude a pour but de renforcer le rôle de la femme dans les partis politiques. Par ailleurs, le monde utilise souvent l’expression «exception tunisienne» quand il s’agit de droits des femmes. Nous invoquons le statut juridique dont elles bénéficient depuis l’Indépendance et qui leur donne un statut social que leur envient beaucoup de femmes dans le monde arabo-musulman.

Le code du statut personnel a ouvert la voie à un ensemble de réformes émancipatrices pour les Tunisiennes dont l’accès à l’instruction, au travail et à la maîtrise de leur fécondité.

Cliquez ici pour lire larticle publié par La Presse le 8 janvier 2022.

Les partis politiques sont appelés à faire mieux, cette fois-ci, en matière d’accréditation des femmes à la tête des listes locales. Le système de quota ne permet pas, à lui seul, de booster la présence féminine dans les conseils élus.

Dans la perspectives de la prochaine échéance électorale, les femmes seront-elles, cette fois-ci, nombreuses à être accréditées en tant que mandataires de listes locales ? Rien n’est moins sûr, comme en atteste la ruée de la plupart des partis politiques vers le recrutement des cartes gagnantes et des professionnels des élections. L’expérience démontre que peu de femmes accèdent au parlement sans avoir bénéficié du mécanisme du quota, en vigueur au Maroc depuis près de deux décennies. Aucun grand changement ne pointe donc à l’horizon au niveau de la Chambre des Représentants, hormis celui ayant permis de troquer la liste nationale, qui était partagée avec les jeunes, par les listes régionales qui permettront à 90 femmes de gagner le précieux sésame de la députation grâce au quota, soit une représentation de 22%. 

Cliquez ici pour lire l’article publié par Les Echos le 15 juillet 2021.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, a annoncé ce dimanche soir la composition de son nouveau bureau politique dans lequel figurent deux femmes, pour la première fois de son histoire.

Le Hamas avait annoncé la semaine dernière la réélection de Yahya Sinouar à la tête de son bureau politique dans cette enclave palestinienne surpeuplée de deux millions d'habitants et sous blocus israélien.

Il a dévoilé dimanche l'identité des 20 membres de son bureau politique à l'issue de scrutins internes menés à l'approche des premières élections générales - législatives en mai, présidentielle en juillet - prévues en 15 ans dans les Territoires palestiniens.

Parmi eux figurent deux femmes, Jamila Chanti et Fatima Chourab, elle-même présidente de la Commission des femmes, selon la liste officielle consultée par l'AFP.

Si Mme Chourab avait droit à un poste à la tête de l'organisation à titre de présidente de la Commission des femmes, Jamila Chanti est, elle, devenue dimanche la "première femme élue" au sein du bureau politique du Hamas, selon un communiqué du mouvement.

Cliquez ici pour lire l’article publié par RTBF le 14 mars 2021.