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Leadership des femmes

Joe Biden a nommé une juriste de 51 ans au parcours atypique : diplômée de Harvard, elle a aussi travaillé au bureau des avocats commis d’office et à la commission chargée de réduire les inégalités raciales dans la justice.

En annonçant, vendredi 25 février, la nomination de la juge Ketanji Brown Jackson pour remplacer le juge Stephen Breyer à la Cour suprême, Joe Biden a justifié son choix par l’histoire, comme une forme de réparation des injustices. «Pendant trop longtemps, notre gouvernement, nos tribunaux n’ont pas ressemblé à l’Amérique, a-t-il souligné. Il est temps que la cour reflète tous les talents et la grandeur de notre pays.»

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Monde, le 26 février 2022.

La question de l’autonomisation politique et technique des femmes pour occuper les fonctions de leadership au sein des instances élues a été au centre d’une rencontre, tenue par visioconférence, entre la Commune de Tétouan et la Commune espagnole de Terrassa.

Les participantes à cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre du projet «Egalité en Méditerranée», ont souligné la nécessité de l’autonomisation politique et technique des femmes, afin d’ouvrir d’autres horizons pour les femmes devant leur permettre d’occuper les fonctions de leadership, notamment dans les instances élues locales, provinciales et régionales.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Map, le 22 février 2022.

Ce guide est conçu pour accroître la compréhension des obligations légales des pays de la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre pour parvenir à l'égalité des sexes dans la prise de décision. Il se concentre sur le renforcement des efforts visant à améliorer le cadre juridique dans la région afin de garantir que les lois soient clairement rédigées, applicables et efficaces. Une attention particulière est accordée aux processus par lesquels les lois soutenant la participation politique des femmes sont élaborées, négociées, rédigées, adoptées et mises en œuvre. Il vise à renforcer les processus législatifs qui renforcent et garantissent les droits légaux des femmes qui souhaitent se présenter aux élections et qui sont prêtes à occuper des postes de leadership dans leurs parlements et gouvernements. Des instruments juridiques sont présentés, ces derniers peuvent être utilisés pour faire progresser la participation politique des femmes.

Les expériences comparatives présentées dans ce guide abordent à la fois des exemples de bonnes pratiques et des lois qui ont échoué parce que leurs réglementations étaient imprécises, peu claires et/ou manquaient de sanctions efficaces. Le guide présente également diverses dispositions de lois résultant de différentes exigences constitutionnelles ou systèmes électoraux, en évaluant leurs avantages et leurs inconvénients.

Cliquez ici pour télécharger le guide publié par ONU Femmes en 2021.

Le consortium NIMD-IGD-CARE Bénin a lancé ce mardi 25 janvier 2022, à Cotonou le projet de renforcement du leadership des femmes en politique dans les communes. Le top a été donné par la marraine de l’évènement, la vice-présidente du Bénin, Mariam Chabi Talata.

Le projet de renforcement du leadership des femmes en politique dans les communes est né de l’ambition du consortium NIMD-IGD-CARE Bénin de renforcer le leadership des femmes en politique au niveau local surtout dans les communes où il y a des femmes maires et des femmes élues conseillères.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Bénin Web TV, le 25 janvier 2022.

Xiomara Castro a prêté serment jeudi, devenant ainsi la première présidente du Honduras, pour un mandat de quatre ans, et a promis devant une foule enthousiaste de fonder "un Etat socialiste et démocratique”.

La nouvelle présidente de gauche a prêté serment en présence de Luis Redondo, qu'elle a reconnu comme président du Parlement, faisant fi de la crise ouverte il y a six jours par deux factions rivales de son parti Libre et qui a donné lieu à des scènes de pugilat à la tribune de l'Assemblée.

Cliquez ici pour lire larticle publié par TV5 Monde, le 28 janvier 2022.

Le 31 juillet 2021, le Parlement marocain a adopté une réforme qui, sans faire grand bruit dans les médias, constituera probablement un tournant majeur en faveur de l’égalité hommes-femmes dans le Royaume.

L’amendement à la loi régissant les sociétés anonymes (loi n° 19.20 modifiant et complétant la loi n° 17-95 sur les sociétés anonymes cotées) promeut le principe d’une représentation équilibrée des femmes et des hommes dans les instances de gouvernance des entreprises. Elle fixe des quotas obligatoires pour garantir la mixité dans les conseils d’administration des sociétés anonymes faisant appel public à l’épargne, avec un objectif minimum de 30 % de représentation féminine à horizon 2024, et de 40 % à horizon 2027.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Maroc Diplomatique, le 24 janvier 2022.

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Le rôle des parlements dans la promotion de l'égalité des sexes grâce à la technologie

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