Sanna Marin (encore) obligée de s’excuser pour ses copines topless : quand laissera-t-on les femmes politiques tranquilles?
Source: Konbini
De la "culotte" d’Édith Cresson en 1991 aux commentaires reçus par Alexandria Ocasio-Cortez sur Instagram, il ne fait pas bon être une femme en politique.
Cela fait plusieurs jours que la Première ministre finlandaise Sanna Marin est au cœur de polémiques qui ne concernent pas ses décisions politiques, mais sa vie privée. Si hommes et femmes politiques sont souvent l’objet de critiques (le plus souvent de la part de leurs détracteurs et détractrices), lorsqu’est dévoilée leur vie intime, on ne peut que noter les différences de réactions entre – au hasard – un ministre accusé de viol et une femme politique en train de faire la fête ou de porter une robe.
Le 17 août dernier, des vidéos montrant la Première ministre finlandaise en train de faire la fête lors d’un événement organisé par son parti avaient déclenché l’ire des réseaux et des médias. Les commentateur·rice·s déploraient un manque de sérieux de la cheffe d’État et allaient jusqu’à imaginer qu’elle était alors sous l’emprise de stupéfiants. Des théories réfutées par un test de dépistage négatif effectué par Sanna Marin la semaine dernière.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Konbini, le 25 août 2022.
De la "culotte" d’Édith Cresson en 1991 aux commentaires reçus par Alexandria Ocasio-Cortez sur Instagram, il ne fait pas bon être une femme en politique.
Cela fait plusieurs jours que la Première ministre finlandaise Sanna Marin est au cœur de polémiques qui ne concernent pas ses décisions politiques, mais sa vie privée. Si hommes et femmes politiques sont souvent l’objet de critiques (le plus souvent de la part de leurs détracteurs et détractrices), lorsqu’est dévoilée leur vie intime, on ne peut que noter les différences de réactions entre – au hasard – un ministre accusé de viol et une femme politique en train de faire la fête ou de porter une robe.
Le 17 août dernier, des vidéos montrant la Première ministre finlandaise en train de faire la fête lors d’un événement organisé par son parti avaient déclenché l’ire des réseaux et des médias. Les commentateur·rice·s déploraient un manque de sérieux de la cheffe d’État et allaient jusqu’à imaginer qu’elle était alors sous l’emprise de stupéfiants. Des théories réfutées par un test de dépistage négatif effectué par Sanna Marin la semaine dernière.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Konbini, le 25 août 2022.