Jeunesse
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En cette Journée internationale de la jeunesse, l'UIP félicite tous les jeunes parlementaires qui se distinguent dans leurs parlements respectifs. Ils constituent l'avenir de la démocratie, mais avec moins de 3 % de parlementaires de moins de 30 ans, les jeunes restent gravement sous-représentés. L'augmentation de leurs nombres reste un objectif majeur pour l'UIP.
Campagne Oui à plus de jeunes au parlement !
En avril 2021, l'UIP a lancé une initiative et des outils pour encourager la présence de plus de jeunes dans les parlements du monde entier, appelée la campagne Oui à plus de jeunes au parlement ! Les piliers de la campagne sont six engagements identifiés par les jeunes parlementaires comme étant les moyens les plus efficaces de générer des changements transformateurs :
1. Promouvoir des quotas pour les jeunes
2. Faire correspondre l’âge d’éligibilité avec celui de la majorité électorale
3. Soutenir les canaux de jeunes dans les parlements
4. Autonomiser les jeunes parlementaires
5. Assurer le mentorat des jeunes candidats
6. Promouvoir la participation des jeunes
Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Union interparlementaire, le 11 août 2022.
Des organismes visant à faire entrer des jeunes engagés dans le paysage politique, sur le modèle des mouvements citoyens américains, apparaissent en France. Certains se présentent aux élections législatives, avec l’ambition de faire de la politique autrement.
Ils ne sont pas de ceux qui y pensent en se rasant depuis des années. Briguer un mandat politique, entamer une aventure d’élu national : encore fallait-il pouvoir l’envisager, reconnaissent les participants de l’Académie des futurs leaders (AFL), regroupés autour d’un verre, un mercredi soir, à Paris. Repérés pour intégrer, en janvier, cette école d’un nouveau genre, beaucoup d’entre eux portaient jusqu’alors leurs combats en tant qu’activistes dans la société civile. Et s’apprêtent, notamment pour les législatives, à franchir un Rubicon qui n’allait pas tellement de soi. « Quand tu es militant de terrain, il y a toujours cette peur d’être changé par le monde politique avant d’avoir le temps de changer les choses. Pourtant, être élu serait un levier extraordinaire », glisse Achraf Manar, 24 ans, en bout de table.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde le 31 mai 2022.
Les 18-24 ans sont ceux qui votent le moins : 41 % d’entre eux se sont abstenus au second tour de la présidentielle (58 % au premier). Est-ce le signe d’une indifférence ou d’une exigence envers les politiques?
La défiance des jeunes est alimentée par l’expérience du déclassement et des inégalités, et parce que l’offre ne leur correspond pas.
Patricia Loncle-Moriceau, professeure des universités en sociologie, Rennes
En cette période électorale, alors que l’abstention et le vote Rassemblement national atteignent des niveaux record, les attitudes des jeunes vis-à-vis des urnes mobilisent les analyses. On les dit tour à tour indifférent·e·s, peu attaché·e·s à la démocratie, tenté·e·s massivement par l’extrême droite. Pour essayer de comprendre ces mouvements, distinguons deux éléments.
Cliquez ici pour lire l’article publié par L’Humanité, le 1er mai 2021.
Le Département a décidé de voter la création d'un Conseil départemental des jeunes. L'appel à candidature est lancé.
C’est une nouvelle action dans sa politique en faveur de la jeunesse du Val-d’Oise. Fin mars, le Département a décidé de voter la création d’un Conseil départemental des jeunes. « Il s’agira d’une assemblée composée de 42 jeunes à parité fille/garçon représentant tout le territoire et imaginée comme un espace d’échanges, de partage et de travail pour l’avenir du département », souligne Marie-Christine Cavecchi, présidente (Lr) du Département.
L’objectif étant de faire connaître les compétences et l’action du Département aux collégiens, mais également « de les encourager à s’engager dans toutes les actions politiques concernant la jeunesse », confie Sarah Moine, conseillère départementale en charge de la Jeunesse.
Cliquez ici pour lire l’article publié par La Gazette, le 1er mai 2022.
La deuxième édition du Concours national de débat de la jeunesse du Guyana, organisée le vendredi 8 avril, est un bon exemple de l'action parlementaire auprès des jeunes. Quelque 16 groupes de jeunes ont participé à l'événement avec l'objectif de créer des liens entre les jeunes et le Parlement.
Le concours a été créé en 2021 par le Président de l'Assemblée nationale, Manzoor Nadir, après que celui-ci a adhéré à la campagne de l'UIP intitulée Oui à plus de jeunes au Parlement, lancée l'année dernière.
Cliquez ici pour lire l’article publié par L’Union interparlementaire, le 11 avril 2022.
L'Institut Montaigne publie ce jeudi une vaste enquête sur les jeunes français. A l'approche de la présidentielle, elle met en lumière une forte "désaffiliation politique" des jeunes, très critiques vis-à-vis du fonctionnement politique actuel.
À un peu plus de deux mois du premier tour de l'élection présidentielle, le groupe de réflexion de l'Institut Montaigne publie une riche enquête sur les jeunes en France, leur vision et leur ressenti de la société, leurs valeurs et leur relation à la politique.
Cliquez ici pour lire l’article publié par France Inter, le 3 février 2022.