Balance ton intimidation : «Les gens savaient qu'il y avait de la violence contre les femmes politiques mais pas à ce point»
Source: Madame Figaro
Créé le 8 février, le compte Instagram Balance ton intimidation affiche les messages haineux à caractère sexiste reçus par les députées du groupe Ecologiste à l'Assemblée nationale. Rencontre avec Marion Nadaud, directrice de communication du groupe, à l'origine de cette initiative.
«Un coup de bite où je pense vous calmerait», «Tu ne seras jamais Française sale pute», «Suicidez-vous»... Sur la page Instagram @BalanceTonIntimidation, les messages de haine adressés aux députées écologistes s'affichent sur fonds colorés. Derrière ces posts chocs, révélant l'ampleur de la violence des messages reçus par Sandrine Rousseau, Sandra Regol, Sabrina Sebaihi, Cyrielle Chatelain, Lisa Belluco, Marie-Charlotte Garin et Julie Laernoes, il y a Marion Nadaud, la directrice de communication du parti. Jointe par téléphone, elle raconte à Madame Figaro la genèse de cette initiative, ses ambitions et sa perception du militantisme.
«Je n'avais pas le droit de me taire»
Proche de Sandrine Rousseau depuis plusieurs années, Marion Nadaud connaissait déjà le sujet de la violence sur les réseaux sociaux, évoqué publiquement à plusieurs reprises par l'ancienne candidate à la présidence. Mais ces derniers mois, elle a vu cette réalité devenir une souffrance pour la femme politique.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Madame Figaro, le 21 février 2023.
Créé le 8 février, le compte Instagram Balance ton intimidation affiche les messages haineux à caractère sexiste reçus par les députées du groupe Ecologiste à l'Assemblée nationale. Rencontre avec Marion Nadaud, directrice de communication du groupe, à l'origine de cette initiative.
«Un coup de bite où je pense vous calmerait», «Tu ne seras jamais Française sale pute», «Suicidez-vous»... Sur la page Instagram @BalanceTonIntimidation, les messages de haine adressés aux députées écologistes s'affichent sur fonds colorés. Derrière ces posts chocs, révélant l'ampleur de la violence des messages reçus par Sandrine Rousseau, Sandra Regol, Sabrina Sebaihi, Cyrielle Chatelain, Lisa Belluco, Marie-Charlotte Garin et Julie Laernoes, il y a Marion Nadaud, la directrice de communication du parti. Jointe par téléphone, elle raconte à Madame Figaro la genèse de cette initiative, ses ambitions et sa perception du militantisme.
«Je n'avais pas le droit de me taire»
Proche de Sandrine Rousseau depuis plusieurs années, Marion Nadaud connaissait déjà le sujet de la violence sur les réseaux sociaux, évoqué publiquement à plusieurs reprises par l'ancienne candidate à la présidence. Mais ces derniers mois, elle a vu cette réalité devenir une souffrance pour la femme politique.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Madame Figaro, le 21 février 2023.