Dominique Anglade dénonce le double standard imposé aux femmes politiques
Source: Le Devoir
Pas facile la vie de politicienne, encore moins si on dirige un parti. En politique, les femmes sont jugées plus durement, sur leur apparence ou leurs états d’âme, se sentent obligées d’être parfaites en tout temps, sous tous rapports, n’ont pas droit à l’erreur ni à la colère, et doivent faire leurs preuves constamment. Double standard. Deux poids, deux mesures. Encore aujourd’hui, en 2022.
Et si à titre de cheffe de l’opposition officielle on doit aussi affronter tous les jours le premier ministre François Legault au parlement, ça ne s’arrange pas.
Cette sortie féministe, comme un cri du cœur, provient de la cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ), Dominique Anglade, persuadée que le fait d’être une femme est loin d’être étranger aux déboires rencontrés par son parti, en chute libre dans les sondages, et à l’attitude du premier ministre à son égard.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Devoir, le 17 avril 2022.
Pas facile la vie de politicienne, encore moins si on dirige un parti. En politique, les femmes sont jugées plus durement, sur leur apparence ou leurs états d’âme, se sentent obligées d’être parfaites en tout temps, sous tous rapports, n’ont pas droit à l’erreur ni à la colère, et doivent faire leurs preuves constamment. Double standard. Deux poids, deux mesures. Encore aujourd’hui, en 2022.
Et si à titre de cheffe de l’opposition officielle on doit aussi affronter tous les jours le premier ministre François Legault au parlement, ça ne s’arrange pas.
Cette sortie féministe, comme un cri du cœur, provient de la cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ), Dominique Anglade, persuadée que le fait d’être une femme est loin d’être étranger aux déboires rencontrés par son parti, en chute libre dans les sondages, et à l’attitude du premier ministre à son égard.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Devoir, le 17 avril 2022.