C’est loin d’être l’argument le plus cité mais ce pourrait être l’une des vertus collatérales du non-cumul des mandats. Un tel texte, présenté ce mercredi en conseil des ministres et débattu à l’Assemblée nationale à partir du 3 juin, «aura un impact sur l’égalité entre les femmes et les hommes et, notamment, ouvrira une opportunité nouvelle pour faire progresser la parité». C’est la conclusion d’une étude publiée mardi par le Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes. L'instance consultative placée auprès de Matignon s’est attachée à montrer combien le cumul des mandats restait l’apanage des «hommes» politiques qui, donc, continuent de monopoliser les postes.
Lire plus dans le communiqué de presse publié le 3 avril 2013 par Libération
C’est loin d’être l’argument le plus cité mais ce pourrait être l’une des vertus collatérales du non-cumul des mandats. Un tel texte, présenté ce mercredi en conseil des ministres et débattu à l’Assemblée nationale à partir du 3 juin, «aura un impact sur l’égalité entre les femmes et les hommes et, notamment, ouvrira une opportunité nouvelle pour faire progresser la parité». C’est la conclusion d’une étude publiée mardi par le Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes. L'instance consultative placée auprès de Matignon s’est attachée à montrer combien le cumul des mandats restait l’apanage des «hommes» politiques qui, donc, continuent de monopoliser les postes.
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