Mali : cherchez la femme
Source: Jeune Afrique
Engagées, écoutées, respectées, mieux représentées au niveau local, les Maliennes occupent une plus grande place dans le paysage politique et dans l’état-major des partis. Pourtant, au sein de l’exécutif comme au Parlement, on est encore très loin de la parité.
Qu’elles soient présidentes de parti, responsables de comité ou simples militantes, les Maliennes comptent faire entendre leur voix pour peser dans la présidentielle de juillet-août prochain. Lors de la révolution de 1991, où elles ont joué un rôle capital, ce sont elles qui, par milliers, sont descendues dans les rues de Bamako pour soutenir leurs enfants pris sous le feu des militaires, un 26 mars de triste mémoire. Beaucoup y ont perdu la vie.
Un quart de siècle plus tard, le poids politique des Maliennes a peu évolué. Elles constituent 50 % de la population, mais ne comptent que 14 femmes parmi les 147 députés et 9 parmi les 36 ministres du gouvernement de Soumeylou Boubèye Maïga.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Jeune Afrique le 12 juin 2018.
Engagées, écoutées, respectées, mieux représentées au niveau local, les Maliennes occupent une plus grande place dans le paysage politique et dans l’état-major des partis. Pourtant, au sein de l’exécutif comme au Parlement, on est encore très loin de la parité.
Qu’elles soient présidentes de parti, responsables de comité ou simples militantes, les Maliennes comptent faire entendre leur voix pour peser dans la présidentielle de juillet-août prochain. Lors de la révolution de 1991, où elles ont joué un rôle capital, ce sont elles qui, par milliers, sont descendues dans les rues de Bamako pour soutenir leurs enfants pris sous le feu des militaires, un 26 mars de triste mémoire. Beaucoup y ont perdu la vie.
Un quart de siècle plus tard, le poids politique des Maliennes a peu évolué. Elles constituent 50 % de la population, mais ne comptent que 14 femmes parmi les 147 députés et 9 parmi les 36 ministres du gouvernement de Soumeylou Boubèye Maïga.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Jeune Afrique le 12 juin 2018.