Une nouvelle formation politique pour que les «femmes réunionnaises s’engagent»
Source: Le Quotidien
Hier, la nouvelle formation politique Aujourd’hui les citoyennes a présenté le bilan de leur première semaine de formation pour améliorer la place et la représentation des jeunes femmes sur le territoire réunionnais, à l’Académie des Camélias, à Saint-Denis.
Elles étaient une vingtaine hier matin pour la présentation de la nouvelle formation politique apartisane, Aujourd’hui les citoyennes. Cette conférence de presse avait pour but de faire une rétrospective de la semaine passée. Il s’agissait de la première action pour le mouvement, qui a été créé en janvier 2022. À l’origine, deux étudiantes réunionnaises en Sciences politiques à Paris. La première, Lamia Mounavaraly, Dyonisienne de 23 ans. Lamia s’est spécialisée dans l’économie et l’accès aux droits économiques des femmes, pendant ses études. La seconde, Mathilde Lebon, Bénédictine de 24 ans, s’est spécialisée dans la gouvernance des villes. Un constat, « les femmes sont trop peu représentées dans les décisions politiques ou alors cantonnées à des sujets tels que l’enfance, la santé ou l’éducation ».
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Quotidien, le 10 juillet 2022.
Hier, la nouvelle formation politique Aujourd’hui les citoyennes a présenté le bilan de leur première semaine de formation pour améliorer la place et la représentation des jeunes femmes sur le territoire réunionnais, à l’Académie des Camélias, à Saint-Denis.
Elles étaient une vingtaine hier matin pour la présentation de la nouvelle formation politique apartisane, Aujourd’hui les citoyennes. Cette conférence de presse avait pour but de faire une rétrospective de la semaine passée. Il s’agissait de la première action pour le mouvement, qui a été créé en janvier 2022. À l’origine, deux étudiantes réunionnaises en Sciences politiques à Paris. La première, Lamia Mounavaraly, Dyonisienne de 23 ans. Lamia s’est spécialisée dans l’économie et l’accès aux droits économiques des femmes, pendant ses études. La seconde, Mathilde Lebon, Bénédictine de 24 ans, s’est spécialisée dans la gouvernance des villes. Un constat, « les femmes sont trop peu représentées dans les décisions politiques ou alors cantonnées à des sujets tels que l’enfance, la santé ou l’éducation ».
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Quotidien, le 10 juillet 2022.