Une vague porte de nombreuses femmes autochtones à des postes de pouvoir
Source: Radio Canada
Ce n'est pas un hasard si plusieurs femmes autochtones sont élues à des postes de direction auparavant monopolisés par des hommes, disent des intervenants.
Récemment, trois femmes ont été élues à des postes importants : Mandy Gull-Masty comme grande cheffe de la nation crie, Kahsennehawe Sky-Deer à la tête du Conseil mohawk de Kahnawake et RoseAnne Archibald au poste numéro un de l'Assemblée des Premières Nations.
Les communautés demandent du changement, et comment l'obtient-on, ce changement ? Eh bien, les femmes présentent une perspective différente, soutient Lynne Groulx, la PDG de l'Association des femmes autochtones du Canada.
Les communautés veulent le changement, ajoute Mme Groulx. Elles sont en crise. Nous savons que nous avions des sociétés matriarcales : les femmes étaient jadis impliquées dans des rôles de leadership.
Bien qu'elles doivent affronter le sexisme, parfois au sein de leur propre communauté, Mme Groux dit s'attendre à voir davantage de femmes autochtones se présenter à des élections.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Radio Canada le 2 août 2021.
Ce n'est pas un hasard si plusieurs femmes autochtones sont élues à des postes de direction auparavant monopolisés par des hommes, disent des intervenants.
Récemment, trois femmes ont été élues à des postes importants : Mandy Gull-Masty comme grande cheffe de la nation crie, Kahsennehawe Sky-Deer à la tête du Conseil mohawk de Kahnawake et RoseAnne Archibald au poste numéro un de l'Assemblée des Premières Nations.
Les communautés demandent du changement, et comment l'obtient-on, ce changement ? Eh bien, les femmes présentent une perspective différente, soutient Lynne Groulx, la PDG de l'Association des femmes autochtones du Canada.
Les communautés veulent le changement, ajoute Mme Groulx. Elles sont en crise. Nous savons que nous avions des sociétés matriarcales : les femmes étaient jadis impliquées dans des rôles de leadership.
Bien qu'elles doivent affronter le sexisme, parfois au sein de leur propre communauté, Mme Groux dit s'attendre à voir davantage de femmes autochtones se présenter à des élections.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Radio Canada le 2 août 2021.