Sexisme, harcèlement et violence à l’encontre des femmes dans les parlements d’Afrique
Source: UIP
La présente étude régionale, deuxième de la série, est consacrée aux parlements d’Afrique et a été menée en collaboration avec l’Union parlementaire africaine (UPA). Elle est basée sur des entretiens confidentiels réalisés auprès de 224 femmes parlementaires et fonctionnaires parlementaires de 50 pays et d’une assemblée parlementaire sous-régionale (voir la méthodologie de l’étude en page 28). Elle a pour but d’enrichir la documentation et les connaissances sur les actes de violence tels qu’ils sont vécus par les femmes dans les parlements d’Afrique, en prenant en compte leur parole et leur réalité dans les contextes propres au continent. Les nouvelles données ainsi obtenues peuvent être comparées avec celles des deux études précédentes pour affiner encore la vision et la compréhension du problème. C’est en améliorant la connaissance et la reconnaissance de ces actes de violence que l’on réussira à les prévenir et à les combattre, tout en luttant contre l’impunité des auteurs. L’écoute des femmes exposées à ces violences et le recueil de leur parole sont aussi des moyens de s’assurer que les voies de recours et les services proposés sont appropriés et ancrés dans la réalité.
Cliquez ici pour lire l’article publié par UIP, le 23 novembre 2021.
La présente étude régionale, deuxième de la série, est consacrée aux parlements d’Afrique et a été menée en collaboration avec l’Union parlementaire africaine (UPA). Elle est basée sur des entretiens confidentiels réalisés auprès de 224 femmes parlementaires et fonctionnaires parlementaires de 50 pays et d’une assemblée parlementaire sous-régionale (voir la méthodologie de l’étude en page 28). Elle a pour but d’enrichir la documentation et les connaissances sur les actes de violence tels qu’ils sont vécus par les femmes dans les parlements d’Afrique, en prenant en compte leur parole et leur réalité dans les contextes propres au continent. Les nouvelles données ainsi obtenues peuvent être comparées avec celles des deux études précédentes pour affiner encore la vision et la compréhension du problème. C’est en améliorant la connaissance et la reconnaissance de ces actes de violence que l’on réussira à les prévenir et à les combattre, tout en luttant contre l’impunité des auteurs. L’écoute des femmes exposées à ces violences et le recueil de leur parole sont aussi des moyens de s’assurer que les voies de recours et les services proposés sont appropriés et ancrés dans la réalité.
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