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Plaidoyer et lobbying

La violence faite aux femmes dans la vie politique a été au cœur d’un débat organisé jeudi par l’association Madanyat et la Fondation Maharat, en présence des députés Georges Okais, Halimeh Kaakour, Najat Saliba et Fayçal el-Sayegh. Cet événement fait suite à l’incident qui a éclaté le mardi 26 juillet durant la séance parlementaire, où le président de la chambre, Nabih Berry, a tenu des propos sexistes à l’égard de plusieurs députées dont Halimeh Kaakour. Cette dernière a dénoncé à son tour le système confessionnel qui régit la politique libanaise et le système patriarcal qui domine au Liban. Un terme qui a soulevé une polémique dans le milieu du Courant patriotique libre qui l’a confondu avec le mot "patriarche".

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Dans une période de bouleversements des environnements politique, économique, social et technologique du monde des affaires, les organisations de toutes origines doivent aujourd’hui, plus que jamais, proposer de nouveaux modèles visant une prospérité plus durable de la société.

L’incertitude de cette période nous force aussi à revoir nos processus internes et externes sur quatre grands axes : le développement social, environnemental et économique des affaires ; l’épanouissement et le plein développement du potentiel humain ; la création de nouveaux bilans d’entreprise et une prise de mesures et de positions qui permet l’évolution de la société.

La grande turbulence à l’échelle planétaire nous confirme que le moment n’aura jamais été aussi propice pour réfléchir à de nouveaux concepts de leadership qui guideront notre évolution. C’est dans cette mouvance qu’à l’automne 2020 un groupe de travail sur la féminisation du leadership s’est formé afin d’écrire et d’agir ensemble sur les déséquilibres actuels en proposant de nouveaux modèles qui permettront de changer le cours des choses et de voir à la « ré-évolution » de nos organisations.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Devoir, le 28 juin 2022.

Faut-il encourager la participation des femmes en politique pour renforcer la démocratie sur le continent? C’est l’une des hypothèses qui a été discutée jeudi lors de la deuxième journée du sommet pour le constitutionnalisme et la consolidation de la démocratie en Afrique. Ce sommet réunit depuis mercredi à Gaborone, la capitale du Botswana, d’anciens chefs d’Etat, des dirigeants en exercice et des acteurs de la société civile. Et pour des participants, les femmes en politique serait le meilleur rempart contre les tripatouillages constitutionnels.

La démocratie ne peut pas vivre si un président reste au pouvoir pendant 40 ans : c’est le plaidoyer lancé par ce parterre de femmes, dirigeantes et intellectuelles. Parmi elles Oby Ezekwesili, ancienne vice-présidente de la division Afrique de la banque mondiale et co-fondatrice de l'ONG Transparency International.

Cliquez ici pour lire larticle publié par RFI, le 8 juillet 2022.

Les femmes politiques du Sud-Kivu ont plaidé, jeudi 16 juin, pour une loi électorale qui soit « plus sensible au genre et à la parité », pour améliorer ainsi la participation politique de la femme.

Dans une déclaration officielle lue à Bukavu, dans les locaux de la MONUSCO, ces femmes exigent que soient insérées dans cette loi, les dispositions obligeant les partis politiques et l’Etat congolais à respecter l’article 14 de la Constitution, relatif à la participation de la femme au processus électoral.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Radio Okapi, le 17 juin 2022.

African Women Leaders Network (AWLN), créé en 2017 à New York sur initiative de madame Ellen Johnson Searlif, ancienne présidente du Libéria, va s’installer en Guinée. La structure vise à renforcer le leadership des femmes dans le développement de l’Afrique, conformément à l’Agenda 2063 de l’Union africaine et aux Objectifs de développement durable à l’horizon 2030 des nations Unies. En prélude à cette installation, plusieurs femmes des partis politiques guinéens se sont réunies dans la journée d’hier, jeudi 23 juin 2022, à Conakry, a constaté sur place Guineematin.com à travers un de ses reporters.

Des femmes issues des rangs de certains partis politiques (UFDG, UFR, GéCi, MoDeL, PGPD, PDG-RDA, Bloc libéral…) se sont rencontrées en prélude à l’installation de l’AWLN en Guinée. Le réseau dispose déjà de 29 chapitres installés sur le continent et le 30ème doit être mis en place en Guinée le 06 juillet prochain.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Guinée Matin, le 24 juin 2022.

Dublin a accueilli, les 10 et 11 juin, le congrès du European’s People Parti, EPP Women, en présence d’une délégation de femmes partisanes du Rassemblement national des indépendants (RNI). L’EPP Women est une instance politique créée en 1981, composée de près de 60 membres d’organisations politiques émanant de 43 pays, d’Europe et d’ailleurs.

L’EPP Women œuvre pour «l’émancipation politique des femmes, la promotion de l’égalité genre dans le milieu du travail et l’entreprenariat et la défense des droits des femmes en Europe, mais aussi au Moyen-Orient et en Afrique du Nord», a indiqué un communiqué parvenu à Yabiladi ce dimanche.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Yabiladi, le 12 juin 2022.