Aller au contenu principal

Plaidoyer et lobbying

Avec ces derniers jours les cas de Julien Bayou et Adrien Quatennens, les affaires de violences sexistes et sexuelles mettant en cause des hommes politiques s'enchaînent. Pour lutter contre, l'Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique préconise huit mesures à mettre en place.

"Les violences sexistes et sexuelles sont un problème de santé démocratique qui, en politique, se double d'un problème démocratique". Après les affaires mettant en cause ces derniers jours le LFI Adrien Quatennens et l'écologiste Julien Bayou, l'Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique a de nouveau interpellé mercredi la Première ministre Elisabeth Borne, la ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes Isabelle Rome et la présidente de l'Assemblée national Yaël Braun-Pivet. L'objet de cette lettre ouverte : demander "une réforme sérieuse" pour lutter contre les violences faites aux femmes dans le monde politique.

Cliquez ici pour lire larticle publié par France Inter, le 21 septembre 2022.

Au Cameroun, des milliers de femmes ont manifesté à l’occasion de la Journée internationale de la femme pour réclamer plus de pouvoir politique et d’emplois gouvernementaux. Les femmes représentent plus de la moitié de la population du Cameroun, mais il n’y a pas une seule femme parmi les 10 gouverneurs régionaux ou présidents de conseil du pays.

Des milliers de femmes se sont rendues au sein de la capitale camerounaise en chantant qu’elles ne voulaient plus être traitées comme inférieures aux hommes.

Le gouvernement camerounais a déclaré qu’il attendait entre dix mille et quinze mille femmes pour les célébrations de la Journée internationale de la femme. Mais le ministère camerounais de l’autonomisation des femmes a déclaré que plus de 20 000 personnes étaient venues à Yaoundé pour protester.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Afrique Centrale, le 5 août 2022.

Comment avoir plus de femmes en politique? Voici La Chamboncel des podcasts Popol et Palais Bourbon et de l'émission Backseat! Si tu partages ce podcast, la parité en politique se rapproche!

DANS CET ÉPISODE:

Cliquez ici pour accéder à la vidéo.

La violence faite aux femmes dans la vie politique a été au cœur d’un débat organisé jeudi par l’association Madanyat et la Fondation Maharat, en présence des députés Georges Okais, Halimeh Kaakour, Najat Saliba et Fayçal el-Sayegh. Cet événement fait suite à l’incident qui a éclaté le mardi 26 juillet durant la séance parlementaire, où le président de la chambre, Nabih Berry, a tenu des propos sexistes à l’égard de plusieurs députées dont Halimeh Kaakour. Cette dernière a dénoncé à son tour le système confessionnel qui régit la politique libanaise et le système patriarcal qui domine au Liban. Un terme qui a soulevé une polémique dans le milieu du Courant patriotique libre qui l’a confondu avec le mot "patriarche".

Cliquez ici pour accéder à la vidéo.

Dans une période de bouleversements des environnements politique, économique, social et technologique du monde des affaires, les organisations de toutes origines doivent aujourd’hui, plus que jamais, proposer de nouveaux modèles visant une prospérité plus durable de la société.

L’incertitude de cette période nous force aussi à revoir nos processus internes et externes sur quatre grands axes : le développement social, environnemental et économique des affaires ; l’épanouissement et le plein développement du potentiel humain ; la création de nouveaux bilans d’entreprise et une prise de mesures et de positions qui permet l’évolution de la société.

La grande turbulence à l’échelle planétaire nous confirme que le moment n’aura jamais été aussi propice pour réfléchir à de nouveaux concepts de leadership qui guideront notre évolution. C’est dans cette mouvance qu’à l’automne 2020 un groupe de travail sur la féminisation du leadership s’est formé afin d’écrire et d’agir ensemble sur les déséquilibres actuels en proposant de nouveaux modèles qui permettront de changer le cours des choses et de voir à la « ré-évolution » de nos organisations.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Devoir, le 28 juin 2022.

Faut-il encourager la participation des femmes en politique pour renforcer la démocratie sur le continent? C’est l’une des hypothèses qui a été discutée jeudi lors de la deuxième journée du sommet pour le constitutionnalisme et la consolidation de la démocratie en Afrique. Ce sommet réunit depuis mercredi à Gaborone, la capitale du Botswana, d’anciens chefs d’Etat, des dirigeants en exercice et des acteurs de la société civile. Et pour des participants, les femmes en politique serait le meilleur rempart contre les tripatouillages constitutionnels.

La démocratie ne peut pas vivre si un président reste au pouvoir pendant 40 ans : c’est le plaidoyer lancé par ce parterre de femmes, dirigeantes et intellectuelles. Parmi elles Oby Ezekwesili, ancienne vice-présidente de la division Afrique de la banque mondiale et co-fondatrice de l'ONG Transparency International.

Cliquez ici pour lire larticle publié par RFI, le 8 juillet 2022.