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Plaidoyer et lobbying

Trois histoires de sexisme en politique. Mathilde, collaboratrice parlementaire à l’Assemblée Nationale, Anne, conseillère municipale de l’opposition à Cholet, et Jeanne, adjointe au maire d’Angers, ont dû se positionner face au milieu masculin qui les entoure.

Mathilde Viot travaille à l’Assemblée nationale depuis 2015 en tant que collaboratrice parlementaire. A ses débuts, elle se conforme aux “codes bourgeois” en vigueur, en particulier sur le plan vestimentaire. Elle porte une robe et des talons tous les jours. Mais elle se rend compte rapidement que la question de son apparence physique prend le pas sur tout le reste.

“Quand je suis arrivée à l'Assemblée nationale, ce qui m'a marqué en premier, c'était qu'il fallait absolument entrer dans un rapport de séduction avec les hommes avec lesquels on travaillait, qui nous était plus ou moins imposé juste par leurs petites réflexions”. Mathilde

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22%. C’est la représentativité des femmes dans le nouveau gouvernement de Patrick Achi. Un chiffre qui provoque la réaction des militantes des droits des femmes.

Le nouveau gouvernement a été formé, ce 20 avril 2022. Il compte 32 membres, dont 7 femmes. Kandia Camara, Anne Ouloto, Kaba Nialé, Mariatou Koné, Myss Belmonde Dogo, Nassénéba Touré et Françoise Remarck ont été choisies par Patrick Achi pour intégrer son nouveau gouvernement.

Sept femmes sur 32, cela correspond à environ 22% de représentativité féminine. Plusieurs personnes pointent du doigt la faible présence des femmes dans le nouveau gouvernement. La question du quota est évoquée. En effet, c’est la loi N° 2019-870 du 14 octobre 2019 portant représentation de la femme dans les assemblées élues qui prévoit ledit quota : « Pour les scrutins uninominaux ou de listes, un minimum de 30% de femmes sur le nombre total de candidats présentés au cours de la consultation électorale exigé ». L’article 3 de cette loi le stipule.

Cliquez ici pour lire larticle publié par 7info, le 21 avril 2022.

EXCLUSIF - Dans une lettre au président de la République fraîchement réélu, soixante réseaux féminins et mixtes, réunis au sein du Collectif 2GAP, lancent un appel à la parité politique au sein de l’Etat, à commencer par Matignon. C’est à leurs yeux la première mesure à prendre dans le cadre de la "Grande cause" du nouveau quinquennat.

Le 17 mars, lors de sa première conférence de presse de candidat à sa réélection, Emmanuel Macron avait promis de faire de nouveau de l’égalité femmes-hommes la "grande cause" de son quinquennat s’il était réélu. Le collectif 2GAP (acronyme de Gender & Governance Action Platform), qui réunit une soixantaine de réseaux professionnels féminins ou mixtes, a décidé de reprendre la balle au bond, pour lui demander de donner des gages de ce nouvel engagement dès la formation de son gouvernement. Un appel sous forme de lettre au président, que Challenges publie en exclusivité, au lendemain du deuxième tour de l’élection qui lui a accordé un nouveau mandat de cinq ans.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Challenges, le 25 avril 2022.

Dans le cadre de la commémoration de la journée du 26 Mars, le Réseau des jeunes femmes leaders des partis politiques et des organisations de la société civile (REJEFPO), et le Réseau des jeunes des partis politiques du Mali (RJPPM), en partenariat avec la Fondation Friedrich EBERT (FES), ont organisé, le 26 mars 2022 à l’hôtel Méridiana Bamako (Ex- Kempinski), un panel sur « Etats des lieux de la démocratie au Mali, 30 ans après l’organisation des premières élections démocratiques pluralistes : Etat de la participation des jeunes ». L’une des recommandations issues de ce panel est de faire une relecture de la charte des partis pour une meilleure représentativité dans les Bureaux Politiques Nationaux des partis politiques à travers un quota de 30% de jeunes, 30% de femmes et 40% de séniors.

Ce panel s’inscrit dans la dynamique des actions menées par le REJEFPO et le RJPPM en vue de la consolidation de la démocratie au Mali, gage de stabilité politique et institutionnelle. Il vise également à renforcer les connaissances et compétences des jeunes des partis politiques dans leurs actions de plaidoyer pouvant améliorer et renforcer la participation des jeunes (h/f) aux instances de prises de décision à travers des mesures législatives et règlementaires, à l’image de la Loi n° 2015-052/ du 18 décembre 2015.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Maliweb.net, le 30 mars 2022.

Précédés d’un premier temps, la veille à Carcassonne (Aude), les travaux menés le 26 mars dernier à Foix (Ariège) entre élues et élus, femmes et hommes engagés dans la vie publique ont conduit à l’élaboration de “huit recommandations pour faire avancer la parité en Europe.”

“Cette rencontre constitue une date importante dans le long combat pour l’égalité entre les femmes et les hommes dans les responsabilités politiques”, se réjouissait Geneviève Tapié, la présidente de l’Observatoire régional de la parité d’Occitanie, à l’issue d’un séminaire marqué par la contribution de la délégation allemande, conduite par Helga Lukoschat (*), présidente de l’Académie européenne des femmes en politique et dans l’économie (EAF, Berlin).

Rendez-vous était donc fixé à Foix (après une étape à Carcassonne) à la plus grande satisfaction de Christine Téqui, présidente du Conseil départemental de l’Ariège : “Je participe aux travaux de l’Observatoire depuis qu’il s’est étendu du Languedoc-Roussillon à l’ensemble de l’Occitanie. Il reste beaucoup à faire pour que l’égalité entre les femmes et les hommes soit effective et complète. Ce séminaire va contribuer aux futurs progrès. Le Conseil départemental est donc fier et heureux d’accueillir cette rencontre en terre d’Ariège”, soulignait-elle.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Dis-Leur, le 31 mars 2022.

Samedi dernier à Lomé, les femmes des Forces Démocratiques pour la République (FDR) ont célébré en différée la Journée Internationale des Droits de la Femme à Lomé. Dans la déclaration sanctionnant leur rencontre, ces femmes des FDR conduites par leur présidente, Mme Pierrette Afangbi Adjallé, sont revenues sur la vie chère au Togo. Elles invitent par ailleurs toutes leurs sœurs togolaises à sortir de la léthargie actuelle et de la psychose de la peur, et à s’approprier la lutte politique que mène le peuple togolais depuis des décennies pour un Togo démocratique, prospère, juste et équitable. Lecture!

COORDINATION NATIONALE DES FEMMES DES FDR

Déclaration à l’occasion de la célébration de la journée internationale des femmes

La journée internationale des femmes commémorée le 08 mars dans le monde entier avec des manifestations s’étendant sur tout le mois pour faire le bilan des avancées des droits de la femme, a pour thème cette année « L’égalité aujourd’hui pour un avenir durable ».

Cliquez ici pour lire larticle publié par Ici Lomé, le 6 avril 2022.