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Élections

Les Libanaises se mobilisent pour se présenter et accéder à un Parlement encore largement dominé par les hommes. Halimé Kaakour, candidate au scrutin qui doit se tenir ce dimanche, veut faire bouger les lignes en dépit des menaces dont elle est l’objet.

Dans la dernière ligne droite des élections législatives, la candidate Halimé Kaakour du parti social-démocrate Lana – «Pour nous» en libanais –, accélère sa campagne électorale. Programme à la main et accompagnée de son équipe, cette dernière fait le tour du village de Naameh, au sud de Beyrouth, pour parler aux citoyens de l’importance du changement qu’elle entend apporter au cas où elle se ferait élire.

«La majorité des partis politiques en présence sont de tendance confessionnelle tandis que moi, je souhaite parler de l’égalité des droits de la femme et de l’homme, de la citoyenneté, des droits individuels et non communautaires, confie-t-elle à Libération. Avec mon programme, je soutiens un mouvement laïc, qui ne défend pas les intérêts d’une autre nation, mais ceux d’un pays souverain et indépendant», ajoute-t-elle.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Libération, le 14 mai 2022.

Dans de nombreux pays, les femmes noires issues de familles à faibles revenus ont peu d'influence politique. Mais au Brésil, cette année, elles pourraient décider de l'avenir du président de droite populiste Jair Bolsonaro et de son challenger de gauche, l'ancien président Luiz Inácio Lula da Silva.

C'est un dimanche soir dans la banlieue de Brasília, la capitale du Brésil, et une église est remplie de fidèles qui se balancent et chantent au rythme du gospel rock de la chorale.

L'atmosphère est électrique. Et lorsque le pasteur Raquel Prado monte sur scène, l'ambiance atteint son maximum.

Cliquez ici pour lire larticle publié par BBC News Afrique, le 11 mai 2022.

Le Sénégal note une progression du nombre de femmes maires. Le chiffre est passé de 15 à 18 lors des précédentes élections locales.

Sur cette légère progression, nous pouvons aussi noter l'élection de trois présidentes de conseil départemental en 2022, contre deux, en 2014.

C'est Un reportage de Aminata Thiam et Sanoussy Sané.

Cliquez ici pour accéder au reportage.

Trois femmes ont été élues gouverneures, le 6 mai 2022, sur la liste de l’Union sacrée de la Nation. Il s’agit de Julie Ngungwa dans le Tanganyika, Rita Bola dans le Maï-Ndombe et Isabelle Yumba Kalenga dans la province du Haut-Lomami. Une quatrième, Nefertiti Ngudianza Kisula, est en embuscade et elle peut bien surprendre au Kongo central. Une dernière attend un second tour à la Tshopo.

L’élection des gouverneurs et vice-gouverneurs des 14 provinces concernées a eu lieu le 6 mai 2022 en République démocratique du Congo. Les candidats de l’Union sacrée de la Nation ont remporté la plupart des scrutins. Mais deux provinces ont créé la surprise en élisant des candidats indépendants. Il s’agit de la Mongala où le candidat indépendant, César Limbaya, a été élu avec 13 voix sur 20 votants. Il sera secondé par son vice-gouverneur, Blaise Mongo. Même scenario dans le Sankuru où l’indépendant Jules Lodi Emongo a été élu gouverneur au détriment du candidat Union sacrée de la Nation.

Pour une première fois, le pays sera dirigé avec 4 femmes gouverneures. Il s’agit de Julie Ngungwa dans le Tanganyika, Rita Bola dans le Maï-Ndombe et Isabelle Yumba Kalenga dans la province du- Haut-Lomami. La quatrième gouverneure est une intérimaire, Fifi Masuka Saïni, dans le Lualaba.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Digital Congo, le 7 mai 2022.

Le Centre de promotion de la femme en politique (CPFP), que dirige Emilienne Raoul, a lancé le 29 avril à Brazzaville une série de formations à l’endroit des candidates aux élections législatives et locales de 2022. A cet effet, les femmes politiques ont invité toutes les formations politiques au respect du quota de 30% qui leur est réservé par la Constitution.

Des centaines de femmes politiques venues de tous les départements du Congo prennent part à l'atelier de formation animé par des sachants, qui ouvre une série que va organiser le CPFP d’ici aux élections de juillet, au profit des femmes qui veulent s’y engager.

L’objectif est de les encadrer dans le domaine politique afin qu’elles ne soient pas toujours influencées par les hommes sur le terrain, qu’elles s’affirment en vue de le prouver ce dont elles sont capables. L’ambition du CPFP est surtout de favoriser la représentativité des femmes dans les instances de prise de décision, de manière à ce qu’elles contribuent au développement du pays.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Agence d’information d’Afrique centrale, le 30 avril 2022.

INTERVIEW. L’Observatoire des violences sexuelles en politique appelle à ne pas investir des candidats mis en cause dans des affaires de violences sexistes et sexuelles. «Nous ne pouvons plus tolérer ces agissements», dénonce Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire.

A l’approche des élections législatives , l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique, fondé par les militantes à l’origine du « #MeTooPolitique, se mobilise et appelle les partis à n’investir aucun candidat mis en cause pour des faits de violences sexuelles. L’objectif : « pour que ces élections ne deviennent pas des législatives de la honte et pour une Assemblée nationale exemplaire ». Un enjeu pour « protéger les femmes qui travaillent en politique », explique au JDD Mathilde Viot, cofondatrice de l’Observatoire, mais aussi pour assurer une meilleure représentation nationale.

Cliquez ici pour lire linterview publiée par Le JDD, le 28 avril 2022.