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Partis politiques

Décidée à contrarier jusqu’au bout son ex-compagnon de lutte et encore époux Laurent Gbagbo, la wonderwoman Simone Ehivet va diriger sa propre formation politique. Le Mouvement des générations capables (Mgc) qui s’était déclaré mouvement citoyen à sa naissance après le 17 octobre 2021, date de naissance du Ppa-Ci, va revêtir le manteau de parti politique pour assouvir les ambitions politiques de l’ancienne première dame. Simone Gbagbo, 73 ans, se lance dans une aventure qui ne manquera pas d’être périlleuse quoi que l’événement ne sera pas un saut dans l’inconnu. Le syndicalisme et la politique ont forgé Simone et elle connaît le milieu politique. Pour cette aventure que certains ont vu venir, depuis son refus d’adhérer au Ppa-Ci, elle peut compter sur des visages bien connus qui lui sont restés fidèles quand s’effondre le Fpi dans son ancienne ossature.

Entre autres personnalités qui s’affichent déjà avec elle, en attendant d’autres recrues, on peut citer :

Lazare Koffi Koffi, ancien ministre et idéologue

Il est enseignant de profession. Chargé de cours d’histoire contemporaine à l’université de Bouaké entre 1997 et 2000, cet originaire du royaume du Sanwi (Aboisso) est une figure de proue du Fpi. Sous Laurent Gbagbo il occupe deux fois un poste de ministre.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Connection Ivoirienne, le 18 août 2022.

Dans la plupart des partis politiques au Burundi, la gent féminine est moins représentée. Selon les représentants des partis, les femmes ne se battent pas pour leur place. Ces dernières estiment se heurter à un mur de défis.

Au sein du parti au pouvoir, deux sur six membres du secrétariat national du parti sont des femmes. Dans les bureaux provinciaux, il y a au moins une femme sur six membres, selon Nancy Ninette Mutoni, porte-parole du parti.

Le parti Cnl, principal parti de l’opposition, compte 32% de femmes sur l’effectif total des membres du parti. Le comité exécutif du parti est formé de 3 femmes sur un total de dix membres.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Iwacu, le 20 juillet 2022.


À deux mois des élections au Québec, le recrutement des candidats bat son plein. Alors que les partis sont conscients de l’importance de présenter plus de femmes, le Parti québécois traîne de la patte en la matière.

Avec seulement 17 femmes sur 45 candidats (38 %) sur la ligne de départ, le Parti québécois (PQ) est pour l’instant la formation politique avec le moins de candidats de sexe féminin. C’est le seul parti hors de la zone paritaire (entre 40 % et 60 %).

Le PQ assure qu’il va remédier à la situation. «On sera dans la zone paritaire sans inquiétude avec nos 125 candidatures», affirme l’attachée de presse du parti Laura Chouinard-Thuly.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Soleil, le 16 juillet 2022.

EDITORIAL. Alliance F vise la parité entre les femmes et les hommes aux Chambres fédérales. Cela n’ira pas sans un changement de culture dans les partis bourgeois.

Ce sont trois cartes presque banales, mais qui ont le mérite de faire prendre conscience en quelques secondes de l’ampleur du défi lancé par la faîtière des organisations féminines Alliance F: bien qu’étant déjà les grandes gagnantes des élections fédérales de 2019, les femmes sont encore absentes des députations de huit (dont les trois romands VS, NE et JU) des 26 cantons au Conseil national et même de 14 cantons au Conseil des Etats. On est donc encore loin de l’objectif de parité visé sous la coupole fédérale.

Alliance F, qui lancera officiellement sa campagne de promotion des femmes le 21 septembre en invitant à Berne quelque 1500 politiciennes actives, l’a bien compris. C’est cet automne déjà que beaucoup de choses se jouent dans les arcanes des partis cantonaux. La faîtière compte s’adresser directement à tous les membres de leurs comités directeurs en leur envoyant un état de situation en matière de représentativité des femmes. Il y aura des surprises choquantes: depuis l’introduction du suffrage féminin voici un demi-siècle, Schwytz n’a ainsi jamais envoyé de femme siéger au Conseil des Etats.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Temps, le 6 juillet 2022.

Des partis politiques disent «Oui» pour un changement du quota de la représentativité féminine en politique.

Des représentants de l’opposition et du régime au pouvoir participaient, hier, mercredi matin, 13 avril, à un débat organisé par Gender Links, en collaboration avec la délégation de l’Union Européenne, à Moka.

Cela, dans le cadre d’une campagne menée par Gender Links baptisée «Rezone».

Cliquez ici pour accéder à l’enregistrement.

L’engagement politique des femmes est sans doute un levier incontournable pour le développement d’un pays. Aujourd’hui, Il est impensable de vouloir inscrire un pays dans une dynamique de développement économique et social sans s’appuyer sur des politiques inclusives à même d’impliquer toutes les composantes d’une société, et les femmes en sont un pilier fondamental, a déclaré la Fondation Konrad Adnauer (FKA) Dans son programme «Engageons-nous!».

Dans un constat sur la situation en Afrique, Fondation Konrad Adnauer estime que la population jeune correspond aux hommes et aux femmes de moins de 35 ans et représente approximativement selon l’Union Africaine, les trois quarts de la population africaine. Malheureusement, le pouvoir politique de cette population jeune ne reflète pas son nombre. Et ce constat est plus alarmant quand il s’agit de l’engagement politique des femmes qui ont le plus faible taux de représentativité dans les institutions politiques, dans l’élaboration des politiques et dans les processus de décision.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Maroc Diplomatique, le 30 mars 2022.