Leadership des femmes
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À trois (03) mois de la présidentielle, les femmes issues des partis politiques et des organisations de la société civile, recommandent un dialogue entre les parties prenantes aux élections du 25 octobre prochain.
C’est l’une des recommandations faites à la cérémonie de clôture de la table ronde qu’elles ont organisé, à l’initiative de l’ONG « Femmes En Politique » en collaboration avec le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), le 1er et le 2 juillet 2025 à la rotonde de l'Assemblée Nationale, a constaté KOACI sur place.
« La table ronde a montré l’esprit républicain des femmes en faveur de la paix et de la cohésion nationale », a relevé la présidente de l’ONG, Mme Yao Rebecca, avant de relever les différentes recommandations faites lors du conclave de deux jours au Parlement.
Pendant des siècles, la politique fut un terrain réservé aux hommes. Les femmes y jouaient au mieux un rôle d’ombre, influençant depuis les coulisses ou par leur statut d’épouse. Pourtant, au cours du XXe siècle, un basculement s’est amorcé : des femmes ont commencé à occuper, officiellement, les plus hautes fonctions de leurs pays. Aujourd’hui, elles sont 26 à gouverner dans le monde, présidant des républiques ou dirigeant des gouvernements, de l’Europe à l’Afrique en passant par l’Amérique latine et l’Asie.
Observatoire congolais du développement durable (OCDD) a relevé, jeudi 11 septembre, des progrès significatifs dans l’ascension des femmes au sein de plusieurs institutions du pays.
Le coordonnateur national de cette structure, Modeste Kakanda, a partagé cette information dans un rapport parvenu le même jour à Radio Okapi.
Il a notamment cité les avancées dans le domaine politique, en particulier au sein du Gouvernement, qui compte désormais 32 % de femmes.
« Pour la première fois depuis l’indépendance, nous avons atteint 32 % de femmes dans le Gouvernement. C’est un progrès qu’il faut mettre en avant », a déclaré Modeste Kakanda.
Toutefois, a-t-il souligné, de nombreuses inégalités persistent, notamment dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’emploi.
En outre, les femmes continuent de payer un lourd tribut à la pauvreté, au changement climatique et aux conflits armés en RDC.
Duékoué, 11 sept 2025 (AIP) – Les femmes de Duékoué, chef-lieu de la région du Guémon (Ouest de la Côte d’Ivoire), ont exhorté, mercredi 10 septembre 2025, les leaders politiques au dialogue et à l’entente à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle d’octobre 2025.
Réunies dans le cadre d’une rencontre communautaire, dénommée “Marathon femmes”, une tribune d’échanges entre femmes, organisée par l’ONG Citoyens engagés pour le leadership de la démocratie en Côte d’Ivoire (CELD-CI), les femmes de Duékoué, issues de plusieurs associations et organisations féminines, ont exprimé leurs préoccupations face au climat d’incertitude que pourraient ressentir les populations.
Selon le point focal de l’ONG CELD-CI, Mariam Bamba, cette situation a poussé l’ensemble des femmes leaders locales à recommander à la classe politique de privilégier le dialogue et l’entente pour garantir des élections apaisées et sans violence.
Étaient présents Nguyen Thi Tuyen, membre du Comité central du Parti, vice-présidente du Comité central du Front de la patrie du Vietnam et présidente de l'Union des femmes du Vietnam.
Au cours du dernier trimestre, l'Union des femmes du quartier de Tay Ho a accompli de nombreux objectifs et tâches clés, dont beaucoup ont dépassé les objectifs fixés.
Les mouvements d’émulation « Construire les femmes vietnamiennes de la nouvelle ère », « Les femmes de la capitale sont loyales – créatives – responsables – élégantes », le mouvement « 5 non – 3 propres »… ont progressé en profondeur, contribuant à améliorer la qualité de vie spirituelle et matérielle des membres.
La troisième édition des rencontres intergénérationnelles des femmes leaders politiques du Bénin s’est ouverte ce jeudi 11 septembre à Nikki. Plus de 500 personnes sont réunies à ce carrefour d’échanges autour de la promotion du leadership féminin.
Dès les premières heures de la matinée,l’ambiance autour de la salle de conférence se distinguait des journées ordinaires.Seules ou en délégation, les participantes, leaders politiques, députés, autorités locales, représentants d’institutions partenaires ont répondu à l’invitation de la Vice-présidente de la République. Tous ces acteurs sont animés par un même objectif : assurer une meilleure représentativité des femmes dans les instances de prise de décision et surtout lors des élections communales et législatives de janvier 2026. L’arrivée dans la salle de conférence, de la ministre du Numérique, suivie de celle de la Vice-présidente, a marqué le lancement officiel des travaux, organisés en marge de la Gaani de la Gnon Kogui.
Dans son allocution d’ouverture, la Vice-présidente Mariam Chabi Talata Zimé Yérima a attiré l’attention des participants sur l’importance accordée à la Gnon Kogui à Nikki et qui n’est pas systématique dans l’espace l’espace décisionnel béninois.