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Leadership des femmes

Au Burundi, l’engagement politique féminin reste encore minime. Cela influe sur la représentativité des femmes dans les instances de prise des décisions. À l’approche des élections de 2025, des femmes des communes Isare et Kanyosha de la province de Bujumbura demandent plus de sensibilisations à l’endroit des femmes pour qu’elles puissent y participer.

D’après une étude menée en 2023 par l’Afrabu (Association des femmes rapatriées du Burundi), le quota de 30 % des femmes dans les instances de prise des décisions a donné beaucoup d’avancées significatives. « L’évolution du niveau de la participation des femmes et des filles est passée de 17 % en 2016 à 31.9 % en 2023, soit une amélioration de 5,2 % ».

Malgré ces avancées salutaires, la participation des femmes laisse toujours à désirer surtout au niveau collinaire et dans les Conseils communaux. La même étude de l’Afrabu démontre que la participation des femmes en tant que cheffes collinaires n’est que de 8 % contre 19 % des femmes dans les Conseils communaux.

En commune Isare de la province de Bujumbura, la représentativité au niveau collinaire est relativement faible. Selon l’administrateur communal, sur 16 collines que compte cette commune, seules 3 collines sont dirigées par des femmes. Il précise que dans d’autres collines, au moins 3 femmes sont des conseillères collinaires parmi les 5 membres.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Iwacu le 19 septembre 2024.

Source image: Iwacu

 

CHRONIQUE – L’arrivée de Kamala Harris, et de ses fameuses baskets Converse, dans la course présidentielle américaine de 2024, a de nouveau mis en lumière le double standard auquel les femmes politiques sont confrontées en matière d’habillement.

En politique, le double standard vestimentaire est aussi tenace qu’une tache de café sur un tailleur blanc.

Alors que les hommes peuvent se fondre dans l’uniformité des costumes sombres, une femme n’a que rarement ce luxe. Le moindre faux pas vestimentaire peut être interprété comme un affront, une excentricité, voire un défi direct aux codes tacites du «boys club», ce réseau informel où les hommes et leurs visions dominent.

Tenues scrutées, idées éclipsées

Depuis son arrivée sur les devants de la scène politique en 2020, le style vestimentaire de Kamala Harris n’a cessé d’être commenté, notamment pour son affection pour les chaussures de marque Converse. Un détail qui a parfois pris une importance disproportionnée dans la couverture médiatique​, occultant les véritables enjeux de ses campagnes.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par la Franco Presse le 18 septembre 2024.

Source image: Franco Presse

 

Le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra une réunion d’information mercredi sur le thème « Maintenir les engagements en faveur des femmes, de la paix et de la sécurité dans le contexte du retrait accéléré des missions de paix ».

La sous-secrétaire générale pour l’Afrique aux départements des affaires politiques et de la consolidation de la paix et des opérations de paix (DPPA-DPO), Martha Ama Akyaa Pobee, la directrice exécutive d’ONU Femmes, Sima Sami Bahous, et un représentant de la société civile sont les intervenants attendus.

Le système des Nations Unies a récemment été confronté à plusieurs processus de transition, y compris dans des contextes où les gouvernements hôtes ont contraint les missions de l’ONU à se retirer à la hâte.

En 2023, à la demande des autorités du pays hôte, le Conseil de sécurité a mis fin aux mandats de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) et de la Mission intégrée d’assistance à la transition des Nations unies au Soudan (MINUSTAH).

La Mission de stabilisation de l’Organisation des Nations unies en République démocratique du Congo (MONUSCO) fait actuellement l’objet d’un retrait progressif, tandis que les missions des Nations unies en Irak et en Somalie sont également confrontées à la perspective d’une cessation de leurs opérations.

Selon une note conceptuelle préparée par la Sierra Leone (qui préside le Conseil en août), les réductions accélérées, la reconfiguration et le retrait des missions de paix de l’ONU « peuvent présenter des risques accrus pour les femmes et les filles ».

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par AL24news le 24 août 2024.

Source image: AL24news

 

Les pays nordiques et baltes sont historiquement à l'avant-garde de l'inclusion des femmes dans la politique.

Si Kamala Harris remporte l'élection présidentielle américaine de novembre, elle deviendra la première femme présidente des États-Unis.

En Europe, qui sont les femmes dirigeantes politiques, combien sont-elles et de quels pays viennent-elles ?

Sur 50 pays, seuls 15 ont une femme à la tête du gouvernement ou du pays, sans compter les monarques.

L'Union européenne n'en compte que sept, bien que trois des plus hauts postes au sein de l'UE soient occupés par des femmes : Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Roberta Metsola, présidente du Parlement européen, et Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne.

Les Balkans ont récemment connu une augmentation du nombre de femmes à des postes de haut niveau : la Slovénie, le Kosovo, la Macédoine du Nord et la Grèce ont tous une femme à la tête de leur pays.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par EuroNews le 22 août 2024.

Source image: EuroNews

 

Selon Coumba Bah, activiste et féministe, “il est difficile de prédire si les prochaines élections seront pleinement inclusives, profitables aux femmes car cela dépendra de plusieurs facteurs, notamment de l’application des quotas, de la mobilisation des femmes et des attitudes socioculturelles. Toutefois, le nombre de femmes sur les listes électorales sera nettement amélioré car nous avons constaté que la Cour constitutionnelle rejette d’emblée toutes les listes d’au moins 3 personnes qui n’auront pas au moins une femme. Eh oui, malheureusement notre interprétation du quota a été de ne commencer à l’appliquer que quand les places d’au moins deux hommes masculins sont déjà scellées. Avec une telle démarche, difficile de parler de parité, ou même de respect de la loi (…) au finish nous aurions toujours moins que le minimum requis de 30 % de représentation des femmes. Ceci est malheureux et un réel manque à gagner pour le pays. C’est bien démontré que les pays gagnent, avancent et sont plus stables et paisibles en incluant les femmes au sein de leur gouvernement, cela profite à la politique, cela profite à l’économie”.

“Le prochain défi pour les femmes serait qu’elles déploient plus d’efforts à l’avenir, après les élections, pour comprendre mieux et appliquer les questions de la gouvernance inclusive, de représentation et participation politique des femmes. Il s’agit de vrais enjeux de développement économique, de paix et de stabilité durable”, pense Madame Sanogo Rita Diarra, présidente de l’Association Cadre de promotion et d’échange des initiatives jeunes pour la stabilité.

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Bamada le 21 août 2024.

Source image: Bamada

 

La plateforme « Inclusive Society » a organisé une rencontre de plaidoyer le 15 août dernier à Douala.

Aucune femme porteuse de handicap n’est élue au parlement, qui comprend 33 sénatrices et 61 députées. Constat de la plateforme « Inclusive Society ». Michèle Sojip, présidente de l’association « Handicapés et fiers », souligne cependant : « Nous ne sommes pas uniquement des électrices, nous pouvons aussi être des élues ». La dame s’est exprimée ainsi à l’occasion d’une rencontre portant sur une meilleure participation des femmes en situation de handicap à la vie politique au Cameroun.  Rencontre organisée ce 15 août à Douala par l’association « Handicapés et fiers ». « Nous croyons que la femme en situation de handicap a un rôle crucial à jouer dans la sphère politique », a soutenu Michèle Sojip.
L’échange visait à offrir un espace de dialogue et d’échange entre femmes handicapées et femmes et hommes politiques, afin de favoriser une compréhension mutuelle, d’établir les bases de la création d’un programme, renforcer les compétences des participantes et définir les actions à mener pour une plus grande inclusion politique des personnes vulnérables. Il était également question au cours de la rencontre de ce 15 août de demander au gouvernement de prêter avantage l’oreille aux revendications de cette catégorie de personnes. « Il est peut-être...

Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Cameroon Tribune le 20 août 2024.

Source image: Cameroon Tribune

 

La publication sur les Chiffres clés des fonctions dirigeantes et des chefs de corps dans la Fonction publique de l'État s'inscrit dans la série sur les chiffres clés de l'emploi dans la Fonction publique de l'État qui a été initiée, en 2019, par l'Observatoire de la fonction publique.

Dans une optique de transparence, l'objectif de cette nouvelle publication est de ventiler pour la première fois le nombre de fonctions dirigeantes et de chefs de corps, par genre, dans les différents domaines de l'Administration centrale pour les années 2019, 2020 et 2021. Les fonctions dirigeantes ont en commun d'assumer la même fonction dans la hiérarchie de l'organigramme de leur organisation, bien qu'elles peuvent avoir des titres différents (premiers conseillers de gouvernement, commissaires, directeur, directeur adjoint, inspecteur général, etc.).

Cliquez ici pour accéder aux données.

Avec Magdalena Andersson, finalement élue première ministre de Suède lundi 29 novembre, et Xiomara Castro, en passe de devenir présidente du Honduras après sa victoire aux élections dimanche, la liste des femmes ayant dirigé un pays s’agrandit.

Les femmes dirigeantes ont existé sur tous les continents, mais l'Europe est la région avec la plus forte concentration de nations qui ont eu à leur tête une femme, et ce à plusieurs reprises. Tous les pays qui ont connu trois femmes leaders ou plus s'y trouvent. Celui qui a eu le plus de femmes aux commandes est la Suisse. Le pays dénombre cinq anciennes présidentes de la Confédération suisse, mais dispose d'un avantage car le mandat présidentiel est limité à un an.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Statista, le 30 novembre 2021.


Premièrement, ce rapport reflète les principaux arguments présentés au cours de la réunion sur les obstacles persistants à la participation significative des femmes aux processus de paix et de médiation, ainsi que les possibilités qui existent pour les éliminer. Plus précisément, les participants au séminaire ont discuté des défis liés à une volonté politique limitée ; du lien entre la sous-représentation des femmes en politique et leur marginalisation dans les processus de paix ; de l’équilibre complexe entre la représentation des femmes et la promotion de l’égalité des sexes ; et des obstacles à une participation durable de la société civile.

Deuxièmement, le rapport met en évidence les perspectives et les enseignements tirés que les représentants des Nations Unies, des États membres, des organisations régionales et de la société civile ont partagés sur la manière de renforcer la participation significative des femmes aux processus de paix. Deux stratégies ont été mises en avant : la conception de processus de paix inclusifs et le rôle des réseaux régionaux de femmes médiatrices dans le rapprochement des différents processus de paix. Les études de cas de la Colombie, de la Syrie et de Chypre sont également incluses et offrent un aperçu de certaines stratégies performantes pour accroître la participation des femmes.

Enfin, le rapport décrit les principales recommandations politiques qui ont découlé du séminaire, en vue de remédier aux obstacles persistants à la participation des femmes ; et en utilisant des stratégies innovantes et exhaustives pour parvenir à des processus de paix davantage sensibles au genre.

Source: ONU Femmes

Le présent rapport mondial fait état des données nationales disponibles et présente une analyse des obstacles à la représentation équitable des femmes et  leur présence aux postes de décision dans l’administration publique. Il souligne également des exemples d’approches susceptibles d’être efficaces et émet des recommandations d’actions futures. 

Source: PNUD

Le présent rapport examine les tendances à l’échelle mondiale, les difficultés persistantes et les possibilités concernant la participation pleine et effective des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique, ainsi que l’élimination de la violence, en vue de la réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles. Il présente les progrès réalisés en matière de représentation des femmes à différents niveaux, principalement grâce à des quotas par genre inscrits dans la législation, et montre l’incidence de la participation des femmes à la prise de décisions et à la société civile.

Les problèmes systémiques, en particulier les niveaux croissants de violence perpétrée contre les femmes dans la sphère publique et certaines normes néfastes durables, exigent une attention urgente, tout comme les problèmes spécifiques rencontrés par les femmes marginalisées qui sont confrontées à des formes multiples et croisées de discrimination. Les États peuvent faciliter la mise en place d’un environnement plus inclusif et plus favorable dans lequel toutes les femmes pourraient participer à la vie publique grâce à des objectifs plus ambitieux, une volonté politique accrue, un financement durable et des dispositions institutionnelles tenant compte des questions de genre.

La pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) a aggravé les difficultés en matière de prise de décisions et, bien que les femmes aient rarement pu participer en nombre égal aux hommes à la prise de décisions sur les mesures de lutte contre la COVID-19, dans plusieurs pays où elles occupent des postes de direction, la riposte à la pandémie a été particulièrement efficace. Le rapport se termine par des recommandations formulées à l’intention de la Commission de la condition de la femme, pour examen.

Cliquez ici pour lire le rapport.

Comment la pandémie de COVID-19 change-t-elle la façon dont les parlements fonctionnent ? Quels sont les parlements qui continuent de siéger ? Comment les parlements contribuent-ils à la mise en œuvre des mesures sanitaires d'urgence recommandées par l'Organisation mondiale de la Santé ?

Sur cette page, nous allons répertorier un certain nombre de mesures prises dans le monde entier. Nous le ferons dans le but de faire connaître des pratiques parlementaires et de faciliter la communication interparlementaire. La liste ci-dessous n'est pas exhaustive et les comptes rendus sont fournis à titre d'information uniquement.

Les renseignements figurant sur cette page ne reflètent pas nécessairement la position de l'UIP et ne constituent pas une approbation d'une ligne de conduite particulière. L'UIP ne promeut ni ne soutient aucune marque ni aucun fournisseur de services, et ne peut se porter garante de l'adéquation des produits cités par rapport à des besoins spécifiques.

Veuillez noter que nous nous efforçons de maintenir les informations ci-dessous aussi actualisées que possible. Toutefois, la situation évoluant rapidement, certains aspects peuvent avoir changé depuis la publication.

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