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Leadership des femmes

Les 22 et 23 octobre 2025, la France accueillera à Paris la 4ème Conférence ministérielle des diplomaties féministes. Cet événement international constituera une opportunité de réaffirmer notre détermination commune à défendre et promouvoir les droits des femmes et de l’égalité de genre, sans accepter aucune régression.

Les droits des femmes, des filles et l’égalité de genre : un impératif universel

La Déclaration de Pékin de 1995 et la résolution 1325 du Conseil de sécurité ont établi les bases d’un engagement collectif pour garantir les droits des femmes, renforcer leur autonomisation, leur participation à la vie publique et éliminer les violences à leur égard. Néanmoins, les progrès restent trop lents. Selon ONU Femmes, il faudrait près de 300 ans pour atteindre l’égalité réelle, si les tendances actuelles se poursuivent.

Aujourd’hui encore, les inégalités de genre demeurent structurelles, systémiques, et profondément enracinées à l’échelle mondiale. Elles ont des conséquences dramatiques sur la vie, les libertés et la dignité de millions de femmes, d’hommes, de filles et de garçons. La multiplication des crises et les remises en cause des acquis juridiques et politiques ainsi que du droit international contribuent à la persistance, voire à l’aggravation, de ces inégalités.

Or, les droits des femmes et des filles sont universels, indivisibles et inaliénables. Leur défense constitue une condition sine qua non de sociétés justes, inclusives, pacifiques et durables, où les libertés fondamentales sont garanties pour toutes et tous. Le contexte international, marqué par la montée des mouvements anti-droits, renforce la nécessité d’une mobilisation internationale.

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La Coalition burkinabè pour les droits de la femme (CBDF), avec l’appui du Fonds africain pour le développement de la femme (AWDF), organise du 11 au 12 septembre 2025 à Bobo-Dioulasso, une session de formation sur le thème : « Renforcement du pouvoir d’action des jeunes filles leaders : de la mobilisation citoyenne à la construction d’alliances stratégiques ». Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet : « Promotion de la participation des femmes et des jeunes filles à la vie politique dans les communes de Bobo-Dioulasso, Koudougou et Manga ».

Au Burkina Faso, comme dans de nombreux pays, la représentativité des femmes dans les instances de décision reste faible. Si des avancées sont à noter, les obstacles structurels, culturels et économiques demeurent puissants et limitent la participation active des jeunes filles et femmes leaders à la vie politique et citoyenne. C’est pour répondre à ces défis que la CBDF et son partenaire AWDF multiplient les initiatives de formation.

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Le 23 mai, le Sénat organisait, en partenariat avec Cités unies France (CUF) un colloque sur le thème "Quel rôle pour les diplomaties en faveur des droits des femmes dans un contexte de multiplication des crises ?". Trois tables-rondes ont eu lieu, permettant de décrire la situation des femmes dans les situations de conflit et de détailler la manière ... 

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Depuis le déclenchement de la guerre en Syrie en 2011, l’insurrection populaire contre le régime d’Assad s’est transformée en un conflit armé complexe marqué par l’implication de puissances régionales et internationales. Le Front al-Nosra, d’idéologie salafiste djihadiste, a émergé en 2012 sous la direction d’Abou Mohammad al-Joulani, avant d’évoluer en 2017 pour devenir Hayat Tahrir al-Sham (HTS), qui a pris le contrôle d’Idlib et d’autres régions. Le pays a basculé dans ce que l’on peut appeler une "économie de la violence" : le recours à la force n’est plus seulement un outil de domination politique, mais aussi un système d’accumulation de richesses et de pouvoir.

Avec la prise de pouvoir de HTS en Syrie, sous la direction d’al-Joulani (également connu sous le nom d’Ahmed al-Sharaa, et devenu président de transition), le pays a été marqué par des massacres à caractère confessionnel visant à consolider l’autorité par la terreur.

Les attaques menées sur la côte en mars, justifiées officiellement comme une réponse à une rébellion, se sont traduites par le ciblage systématique de civils alaouites, y compris des femmes et des enfants, dans une logique de punition collective et d’intimidation. De même, le massacre de Soueida en juillet, précédé d’une campagne de propagande et de la déstructuration des instances locales druzes, a été exécuté par des milices préparées idéologiquement et appuyées par des tribus alliées, avec pour objectif de contraindre la population druze à la soumission. Dans les deux cas, la violence confessionnelle a été instrumentalisée comme outil central de domination politique et sécuritaire.

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À Bruxelles et à Charleroi, les femmes seront mises à l’honneur durant le dernier week-end de septembre à l’occasion des Journées du Matrimoine.

L’idée ? Mettre en lumière l’héritage des femmes dans la façon dont ces villes se sont construites, d’un point de vue architectural, urbanistique, social, etc. Mais aussi leur impact actuel alors qu’elles sont souvent invisibilisées de l’histoire.

L’histoire a toujours fait la part belle aux hommes et leur patrimoine est célébré depuis des lustres. Or, les femmes ont aussi participé à la création et la construction des villes, elles ont laissé leurs traces, que ce soit dans l’architecture, la vie artistique et culturelle ou encore politique.

Les invisibiliser laisse à penser que les femmes n’ont jamais agi, façonnant une histoire qui s’écrit au masculin, et occultant les mesures prises pour les maintenir dans une position inférieure aux hommes.

Depuis quelques années déjà, des mouvements féministes rappellent la place des femmes dans l’histoire et dans le présent, et les mettent notamment à l’honneur à l’occasion des Journées du Matrimoine.

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Droits menacés, violence, partage inéquitable des tâches domestiques, coûts des produits nettement plus élevés. Ce ne sont là que quelques constats qui démontrent à quel point les femmes ont encore du chemin à faire pour aspirer à l’égalité par rapport aux hommes.

C’est vrai même au Québec, une société pas mal plus évoluée, où le rôle des femmes est pourtant bien plus valorisé qu’ailleurs dans le monde.

Si on ne parle que du coût de la vie, sujet qu’a documenté ma collègue Élisa Cloutier dans son reportage sur la «taxe rose», l’injustice est flagrante. Il coûte beaucoup plus cher d’être une femme qu’un homme, et des experts le confirment.

On le sait, l’apparence des femmes est encore scrutée, et dans la sphère publique, on entend ou lit tellement de commentaires à ce sujet.

On pardonne bien des écarts aux hommes, mais on juge comment la femme s’habille, coiffe ses cheveux, se maquille, sans oublier son poids. Elle est toujours soit trop grosse ou trop mince, trop petite ou trop grande.

Comment expliquer que ça n’évolue pas, et que ça empire, même? J’avancerais l’hypothèse très plausible des réseaux sociaux où le culte de l’image bat son plein.

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Les parlementaires sont parfois être victimes de violations des droits de l'homme, al-lant de la détention arbitraire et de l'exclusion de la vie publique à l'enlèvement et au meurtre dans les pires cas. L'UIP défend les parlementaires en danger depuis 40 ans par l'intermédiaire de son Comité des droits de l'homme des parlementaires.

La carte ci-dessous montre les violations des droits de l'homme des parlementaires qui sont actuellement suivies par l'UIP. En cliquant sur un pays, vous accédez à la page du parlement, sur laquelle vous pouvez obtenir les dernières informations sur les cas en question.

Voir ici.

L’Index de Reykjavík pour le Leadership constate que les préjugés sur la capacité des femmes à exercer le pouvoir demeurent en 2020 et, qu’en France, les stéréotypes de genre sur l’exercice des responsabilités s’accentuent.

L’Index Reykjavík pour le Leadership évalue dans quelle mesure les femmes, comme les hommes, sont considérés comme aptes à exercer des postes de pouvoir ou de direction. Ainsi, un score de 100 correspond à une parfaite égalité, sans avantage pour l’un ou pour l’autre, et une note inférieure à 100 révèle une inégalité. Cette année, des recherches ont été menées dans les pays du G7 ainsi qu’en Inde, au Kenya et au Nigeria.

Women Political Leaders (WPL) et Kantar, les co-fondateurs de l’Index de Reykjavík, ont constaté que la société n’est pas devenue plus progressive sous l’effet de la COVID-19.

Malgré les différents mouvements mondiaux en faveur de plus d’égalité entre les hommes et les femmes, les postes de pouvoir restent perçus de manière inégalitaire, sans amélioration en 2020 par rapport à 2019.

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Plus de 2,5 milliards de femmes et de filles dans le monde sont touchées de multiples façons par les lois discriminatoires et le manque de protection juridique. En réponse, ONU Femmes, l'Union africaine, le Commonwealth, l'Union interparlementaire, l'Organisation internationale de la francophonie et le Secretaría General Ibero-Americana ont publié conjointement «L'égalité en droit pour les femmes et les filles d'ici 2030: une stratégie multipartite pour une action accélérée »En étroite collaboration avec le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Equality Now, Global Citizen, Global Campaign for Equal Nationality Rights, International Association of Women Judges, International Development Law Organization, Muslims pour Progressive Values et Women's Learning Partnership pour lutter contre la discrimination persistante dans la loi.

Entre 2019 et 2023, la stratégie vise à accélérer l'abrogation des lois discriminatoires dans six domaines thématiques - réformes globales, autonomisation économique des femmes, dispositions sur l'âge minimum du mariage, droits de nationalité, lois discriminatoires sur le viol et lois sur le statut familial et personnel - dans 100 pays et devrait répondre aux besoins juridiques de plus de 50 millions de femmes et de filles.

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Ce Policy Brief résume les défis et recommandations de l'impact de la récente pandémie de COVID-19 en Tunisie sur la violence sexiste, l'accès à la justice, les femmes et la santé, et le leadership et la participation politique des femmes. Il formule des recommandations à prendre en considération par tous les secteurs de la société afin de prévenir et de répondre à la violence à l'égard des femmes et des filles, de faciliter l'accès à la justice et aux soins sociaux. Il comprend également des données et des tendances concernant l'impact de la pandémie du COVID-19 sur les femmes et les filles en Tunisie.

Cliquez ici pour voir le rapport.

Alors que l’impact de la Covid-19 s’intensifie à l’échelle mondiale, nous avons sélectionnés plusieurs ressources et informations utiles concernant les réponses sensibles au genre et au leadership des femmes en période de pandémie. Vous y trouverez une liste de résolutions pertinentes (d’organes internationaux et régionaux), d'outils utiles, de discussions virtuelles, d'appels et de nouvelles des premières lignes des réponses institutionnelles et politiques à la pandémie et ses effets.

Cette page est régulièrement mise à jour avec des nouvelles ressources provenant de nos partenaires et d'autres institutions qui proposent des solutions sensibles au genre.

Résolutions

  • Le Parlement européen a adopté une résolution concernant la coordination de l'UE sur la réponse à la pandémie de Covid-19, invitant la Commission européenne et les États membres à donner la priorité à l'aide et aux mesures d'atténuation de la crise aux citoyens les plus vulnérables, surtout les femmes. Cliquez ici pour y accéder.
  • Le Parlement latino-américain (Parlatino) a adopté une résolution appelant à l'intégration de la dimension de genre en réponse à la pandémie de Covid-19 et garantissant la participation des femmes à la prise de décision à tous les niveaux. Cliquez ici pour y accéder.

Outils utiles

  • Nous avons récemment organisé une discussion en ligne sur le leadership des femmes dans la réponse à la COVID-19 en arabeanglaisfrançais et espagnol pour sensibiliser à l'importance d'inclure la voix des femmes et des réponses sensibles au genre à la crise et pour collecter les bonnes pratiques et recommandations des membres de notre réseau. Cliquez ici pour voir la discussion en ligne en français.
  • Le Secrétaire général des Nations Unies a publié un guide de politiques qui explore comment les vies des femmes et des filles sont affectées par la COVID-19 et qui présente des mesures prioritaires pour accompagner à la fois la réponse immédiate et les efforts de relèvement sur le long terme. Cliquez ici pour y accéder.
  • ONU Femmes travaille avec des partenaires pour collecter les données de genre et donner une image plus précise de l’impact de la crise sur les femmes et les filles afin de permettre des mesures plus adéquates.  Cliquez ici pour voir les données.
  • Cette étude d'ONU Femmes met en évidence l'impact de la pandémie actuelle sur la violence à l'égard des femmes et des filles et formule des recommandations pour prévenir et répondre à ce phénomène, au début, pendant et après la crise. Cliquez ici pour y accéder.
  • L’Union interparlementaire a publié une note d’orientation à l’intention des parlements qui comprend des recommandations sur la participation et le leadership des femmes dans la prise de décisions parlementaires sur la Covid-19, la législation Covid-19 sensible au genre et la surveillance de l’action gouvernementale contre la pandémie dans une perspective de genre. Cliquez ici pour y accéder.
  • Le bureau d'ONU Femmes pour les Amériques et les Caraïbes a élaboré un document d'information contenant des recommandations sur la façon d'intégrer les femmes et le principe d'égalité des sexes dans la la gestion de la crises. Cliquez ici pour y accéder.
  • Le Comité des Nations Unies pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) a publié une note d'orientation détaillée avec une série de recommandations que les gouvernements pourraient suivre pour protéger les droits des femmes dans leurs politiques liées à la Covid-19. Cliquez ici pour la télécharger.

Discussions virtuelles

  • Discussion sur « Genre et Covid-19 » : pourquoi les hommes meurent plus du virus que les femmes ? Et pourquoi ce fait n'a-t-il pas d'incidence sur la recherche d'un vaccin aux États-Unis ? Animée par Francesca Donner, directrice sur le genre au Times et éditrice de la newsletter du Times In Her Words, cette discussions répond à ces questions pressantes avec Caroline Criado Perez, auteure du livre primé Invisible Women et Alisha Haridasani Gupta, journaliste sur le genre pour In Her Words. Écoutez la conversation ici.
  • Discussion sur « Le leadership en temps de crise » : à quoi ressemble un bon leadership en temps de crise ? En cette période de défis sans précédent liés à la Covid-19, que pouvons-nous apprendre des grands leaders du passé ? Au cours de cette conversation en webinaire, des experts ont exploré ces questions et bien d'autres sur le leadership en temps de crise. Cliquez ici pour accéder à l'enregistrement.
  • Discussion sous le thème « Pourquoi nous devons rendre les femmes visibles » : la Fawcett Society a organisé le 7 avril une conversation en ligne avec d'éminents défenseurs et dirigeants de l'égalité des sexes sur la façon dont le coronavirus affecte les femmes et les filles au Royaume-Uni et pourquoi nous devons rendre leurs expériences plus visibles. Cliquez ici pour accéder à l'enregistrement.
  • Conversation à venir avec l'ancienne présidente de l'Irlande Mary Robinson et Halla Tómasdóttir le 16 juin 2020 à 9h30 - 10h30 EDT: la pandémie COVID-19 est un test extraordinaire de leadership, et les femmes occupant des postes de direction dans le monde se lèvent pour se rencontrer le défi. Cette session aura la présence de l'ancienne présidente de l'Irlande Mary Robinson et Halla Tómasdóttir - une ancienne candidate à la présidence de l'Islande, directrice et exécutive et entrepreneur - dans une discussion dynamique sur le leadership en temps de crise: leçons des femmes leaders mondiaux. Pour en savoir plus sur l'événement et pour vous inscrire, cliquez ici
  • Prochain séminaire intitulé «Leadership en situation de crise: qu'attendons-nous des dirigeants pendant la pandémie de Covid-19?» le 25 juin 2020 à 10 h 30 - 11 h 30 EDT: Il devient rapidement clair que les effets de Covid-19 sont sexués de manière complexe, de manière à renforcer ou à contester les inégalités existantes. Le leadership est l'une des arènes les plus visibles pour l'observer. Ce séminaire se concentre sur les leaders et le leadership, en posant des questions et en recherchant l'espoir. Pour en savoir plus sur l'événement et pour vous inscrire, cliquez ici.

Appels à l’action et autres nouvelles

  • Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a exhorté les gouvernements « à placer les femmes et les filles au centre de leurs efforts pour se remettre de Covid-19 », leur rappelant que le leadership des femmes et une représentation et un pouvoir de décision égaux sont essentiels. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Trente-six femmes dirigeantes ont co-signé une lettre destinée au président du Conseil de sécurité des Nations Unies, José Singer Weisinger, demandant une action mondiale en réponse au plus grand défi en temps de paix auquel l'humanité a été confrontée. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Le Secrétaire général de l'Union interparlementaire Martin Chungong et le Secrétariat des Champions internationaux du genre ont co-publié un article d'opinion sur les implications sexospécifiques de la pandémie de Covid-19 proposant des solutions pour contrer les effets négatifs sur les femmes et les filles. Cliquez ici pour y accéder.
  • Les socialistes et démocrates, ainsi que les dirigeants du parti socialiste européen et de son organisation féminine PSE Women ont envoyé une lettre à la présidente de la Commission européenne, Ursula von Der Leyen, appelant à une réponse proactive et sensible au genre face à la crise. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Dubravka Šimonović, Rapporteuse spéciale des Nations unies sur la violence contre les femmes, ses causes et ses conséquences, a lancé un appel à contributions pour collecter des informations sur l'augmentation de la violence à l'égard des femmes et de la violence domestique dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Le Comité CEDAW appelle les gouvernements et les institutions multilatérales à assurer une représentation égale des femmes dans la formulation des réponses à la Covid-19 et des stratégies de sortie de crise. Cliquez ici pour télécharger la déclaration.
  • Avec une lettre ouverte, Deliver for Good, un réseau de plus de 500 organisations de soutien engagées dans la promotion de l'égalité des sexes, appelle les gouvernements à appliquer une perspective de genre et à placer les filles, les femmes et l'égalité des sexes au centre de la préparation à la Covid-19. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • « Qu'ont en commun les pays ayant les meilleures réponses au coronavirus ? Des femmes au pouvoir », répond Forbes. De la Nouvelle-Zélande à l'Islande, les femmes leaders montrent une nouvelle façon de gérer les crises. Que nous apprennent-elles ? Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Comment préparer et réagir à la crise de Covid-19? Les leaders des villes et des pays ont été confrontés à un test sans précédent. Ceux qui ont réussi ce test avec brio sont disproportionnellement des femmes. Et cela malgré le fait qu'elles ne représentent que 7% des chefs d'État. Cliquez ici pour en savoir plus.
  • Rise for All est une nouvelle initiative qui rassemble des femmes leaders pour mobiliser le soutien au Fonds des Nations unies pour le redressement et à la feuille de route des Nations unies pour la relance économique et sociale, comme prévu dans le nouveau Cadre des Nations unies pour la réponse socio-économique immédiate à la Covid-19. Cliquez ici pour voir leur message vidéo.
Pour plus de ressources et de nouvelles sur Covid-19 et l'égalité des sexes, cliquez ici.

Le rapport de l'UIP de cette année examine la présence des femmes au parlement au cours des 25 dernières années, à l'occasion du 25e anniversaire de la Conférence de Beijing et de son plan d'action novateur pour l'égalité des sexes.

L'analyse de l'UIP montre que la parité est possible.  le pourcentage global de femmes dans les parlements a atteint 24,9 pour cent en 2020, contre 11,3 pour cent en 1995.  Dans quatre pays (Rwanda, Cuba, Bolivie et Émirats arabes unis), les femmes représentent aujourd'hui 50 pour cent ou plus des parlementaires à la chambre basse ou unique du parlement, alors qu'en 1995 aucun parlement n'avait atteint la parité.

L'UIP scrute la participation des femmes au parlement depuis des décennies, ce qui lui permet d'observer les tendances sur le long terme, les progrès ainsi que les reculs.

Cliquez ici pour voir le rapport.