Leadership des femmes
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JAKARTA - Le discours du président de la Chambre des représentants, Puan Maharani, lors de la session conjointe de la Chambre des représentants et du DPD en 2024 a été jugé comme un appel important à renforcer la position des femmes en politique.
C’est ce qu’a déclaré le professeur de physique à l’Université d’Andalas, Ilham Aldelano Azre, qui a estimé que Puan transmettrait souvent le message de l’égalité entre les sexes dans le leadership politique.
« Le discours du président de la Chambre des représentants, Puan Maharani, est un appel important à renforcer la position des femmes dans la politique indonésienne », a-t-il déclaré lundi 19 août.
Azre a déclaré que le message de Mme Puan sur les femmes chargées avait une signification forte. Le discours souligne l’importance du rôle des femmes dans le monde politique en ce qui concerne le développement national.
« Le discours du président de la Chambre des représentants, Puan Maharani, le 16 août 2024, souligne non seulement l’importance du rôle des femmes dans le développement national, mais souligne également la cruciale de la participation des femmes à la politique », a déclaré le directeur de l’Institut indonésien d’enquête sur le spectre.
Cliquez ici pour lire l'article complet publié VOI le 19 août 2024.
Source image: VOI
Les femmes semblent être les premières à être « sacrifiées » lors des investitures pour participer à des élections. Elles doivent disposer du soutien nécessaire, car elles ont aussi leur rôle à jouer, font ressortir nos interlocuteurs.
«Li vre kan ena enn lalians bann premie sakrifie se bann fam. » Propos d’Arianne Navarre-Marie lors d’une conférence de presse du régional du Mouvement militant mauricien (MMM) dans la circonscription n°1 (GRNO/Port-Louis Ouest), mercredi. Elle répondait à une déclaration de Sheila Bunwaree, qui a démissionné de toutes les instances du parti mauve, en regrettant que « le MMM ne [lui] a pas donné [sa] chance » quant à une investiture au sein de l’alliance PTr-MMM-Nouveaux Démocrates pour les élections générales. Mais qu’en est-il au juste ?
« Quand un parti est en alliance avec d’autres partenaires, la répartition des tickets est bien plus compliquée et difficile », explique l’ancienne ministre de la Femme, Sheila Bappoo. « Un parti politique qui n’est pas dans une alliance a davantage de possibilités pour avoir plus de candidates dans chaque circonscription lors des investitures », fait-elle comprendre.
Cependant, pour l’ancienne ministre, les femmes ne sont pas « sacrifiées » au profit des hommes lors des investitures. Pour elle, le terme est « trop fort ».
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Défi Media le 4 août 2024.
Source image: Défi Media
“Ces obstacles sont largement attribuables à des normes sociales profondément ancrées. De manière préoccupante, près de la moitié de la population mondiale estime que les hommes font de meilleurs dirigeants politiques que les femmes”, affirme Adam Sidibé, ancienne députée de la dernière législature.
Pour elle, les femmes sont confrontées à deux sortes d’obstacles sur la voie de la participation à la vie politique. D’une part, des entraves structurelles causées par des lois et des institutions discriminatoires qui réduisent encore aujourd’hui leurs possibilités de voter ou de se porter candidates à un mandat politique.
D’autre part, faute de moyens, les femmes ont moins de chances que les hommes de suivre une formation, de nouer les contacts et de bénéficier des ressources nécessaires pour devenir des dirigeantes performantes.
“Les Nations unies proposent un arsenal qui va de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, au Programme d’action de Beijing aux Objectifs du Millénaire pour le développement. Nous avons transposé dans notre arsenal ces textes et nous efforçons de les mettre en pratique”, affirme Mme Dansoko, conseiller technique au ministère de la Promotion de la femme, de l’Enfant et de la Famille.
ONU-Femmes va plus loin : “Nous aidons les femmes souhaitant exercer un mandat politique à développer leurs compétences et nous organisons des programmes d’éducation civique et de sensibilisation des électeurs à l’égalité des sexes. Nous soutenons les défenseurs de l’égalité des sexes en appelant les partis politiques, les gouvernements et d’autres parties prenantes à assumer leur part de responsabilité dans l’autonomisation des femmes”, disait sa secrétaire générale, lors de la dernière Journée panafricaine des femmes.
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Bamada le 25 juillet 2024.
Source image: Bamada
1 homme, 4 femmes. La direction de l'Union européenne est désormais résolument à dominante féminine. Tour d'horizon des dames de fer aux commandes des institutions européennes.
Confirmée le 18 juillet 2024 dans un deuxième mandat à la tête de la Commission européenne, Ursula von der Leyen n'est pas la seule femme dans les hautes sphères de l'Union européenne, dont le corps dirigeant s'est très nettement féminisé. Qui sont les quatre femmes aux postes clés de l'Europe des Vingt-Sept ?
Ursula von der Leyen, visage de l'UE
Première femme à occuper la présidence de la Commission européenne, l'Allemande de 65 ans a obtenu la confiance de la majorité des eurodéputés pour cinq années supplémentaires à la tête de l'exécutif européen.
Adepte d'une communication millimétrée, l'ancienne ministre de la Défense d'Angela Merkel a su s'imposer pendant un premier mandat secoué par des turbulences, du Covid à la guerre en Ukraine, et incarner la politique de l'UE, quitte à crisper.
"VDL" s'est aussi forgée l'image d'une dirigeante à poigne lors du "sofagate", en protestant contre le comportement jugé sexiste du président turc et du président du Conseil européen la plaçant en retrait sur un canapé lors d'une visite en Turquie.
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par TV5 Monde le 19 juillet 2024.
Source image: TV5 Monde
La logique quantitative de la sous-représentation des femmes dans les instances décisionnelles domine le débat au Sénégal : 4 femmes ministres sur 30 membres du nouveau gouvernement, soit 13% pour 49,6% de la population. La même tendance s’observe avec les nominations hebdomadaires du Conseil des ministres pour les principaux postes décisionnels. En somme, un sevrage brutal, suivi d’un régime draconien, digne d’un « programme d’ajustement structurel » au féminin. Au-delà de l’indignation collective, cette minorisation des femmes interpelle et fait réfléchir sur ses origines, la construction idéologique qui la sous-tend et ses structures de légitimation.
Bâtie sur des fondements patriarcaux, notre société perpétue le processus d’ostracisation des femmes non seulement depuis la « déterritorialisation » occasionnée par l’arrivée des religions du Livre et la colonisation, mais aussi la poursuite de cette exclusion par les autorités sénégalaises à partir de 1960. On comprend mieux pourquoi des interprétations conservatrices des préceptes religieux sont encore mises en avant pour essayer de justifier la relégation des femmes dans la catégorie des « cadets sociaux ».
Dans les sociétés négro-africaines adossées aux logiques du matriarcat telles que définies par Cheikh Anta Diop dans L'Unité culturelle de l'Afrique noire (1959), les femmes participaient à toutes les instances de pouvoir politique, social et même religieux au sein de la famille et de la communauté. La division sexuelle du travail ne reposait ni sur une hiérarchie, ni sur une oppression d’un sexe par l’autre. Il existait « un dualisme harmonieux, une association acceptée par les hommes et les femmes où chacun s’épanouit pleinement en se livrant à l’activité qui est la plus conforme à sa nature physiologique » (p. 114).
Cliquez ici pour lire l'article complet publié par Seneplus le 16 mai 2024.
Source image: Seneplus
Ce réseau que financent les affaires mondiales Canada a tenu vendredi 15 mars un point de presse pour éclairer sur ses missions et le processus de mise en œuvre pour atteindre son objectif principal qui est l'accroissement de la jouissance des droits des femmes et la progression de l'égalité des sexes.
Pour y parvenir, la dynamique prévoit le renforcement des ODDF locaux, le financement de base pluriannuel, les financements rapides et projets innovants, et soutien au plaidoyer des plateformes, réseaux et alliances pour les droits des femmes, a souligné Leonie Kandolo, vice presidente du groupe.
"La paix et le développement durable ne peuvent se réaliser sans la participation de la majorité de la population qui est constituée des femmes. A ce sujet, la RDC a souscrit à un bon nombre d’instruments juridiques protégeant les femmes. En dépit des progrès réalisés, les femmes et les filles continuent de faire face à des obstacles persistants en matière d'accès aux ressources et à la participation au processus de paix, ce qui limite leur capacité à contribuer pleinement à la construction d'un Congo équitable et pacifique."
Cliquez ici pour lire l’article intégral publié par Actualité.CD, le 16 mars 2024.
Source image : Actualité.CD
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Le rôle des parlements dans la promotion de l'égalité des sexes grâce à la technologie
La réunion organisée conjointement par l’Union interparlementaire et ONU Femmes intitulée « Le rôle des parlements dans la promotion de l’égalité des sexes grâce à la technologie »…
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