En l'espace de quatre ans, le nombre de femmes occupant la plus haute fonction politique de leur pays a chuté, révèle le Washington Post. En cause : la persistance des systèmes traditionnels en politique et la montée des populismes. Hillary Clinton aux États-Unis, Keiko Fujimori du Pérou, Dilma Rousseff au Brésil ou encore Park Geun-hye en Corée du Sud : autant de femmes qui auraient dû accéder à la fonction suprême si elles n'avaient pas perdu les élections présidentielles dans leur pays, ou contraintes à la démission après avoir été mêlées à un scandale de corruption.Dans un article publié lundi 9 janvier, le Washington Post explique que l'année 2016 a été désastreuse pour les femmes dirigeantes politiques.
Cliquez ici pour lire l’article complet publié sur Terrafemina le 16 janvier 2017.
En l'espace de quatre ans, le nombre de femmes occupant la plus haute fonction politique de leur pays a chuté, révèle le Washington Post. En cause : la persistance des systèmes traditionnels en politique et la montée des populismes. Hillary Clinton aux États-Unis, Keiko Fujimori du Pérou, Dilma Rousseff au Brésil ou encore Park Geun-hye en Corée du Sud : autant de femmes qui auraient dû accéder à la fonction suprême si elles n'avaient pas perdu les élections présidentielles dans leur pays, ou contraintes à la démission après avoir été mêlées à un scandale de corruption.Dans un article publié lundi 9 janvier, le Washington Post explique que l'année 2016 a été désastreuse pour les femmes dirigeantes politiques.
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