Parmi les candidats arrivés en tête à l’issue du premier tour des législatives, 43 % sont des femmes. La parité devrait largement progresser au sein du Palais-Bourbon.
L’Assemblée nationale qui sortira des urnes au second tour des législatives, dimanche 18 juin, sera non seulement profondément renouvelée, mais aussi probablement plus féminine que la précédente. En 2012, 155 femmes avaient été élues, soit 26,8 % des députés. Ce record sous la Ve République devrait être battu. En effet, 248 femmes sont arrivées en tête dans leur circonscription au premier tour dimanche 11 juin, contre 329 hommes, soit près de 43 % de candidates en pole position. Parmi elles, 197 sont étiquetées La République en marche (LRM).
La partie n’est pas gagnée pour toutes, en raison des reports de voix qui peuvent modifier les équilibres. Mais 144 femmes bénéficient d’une avance confortable de plus de dix points sur leur adversaire (voire plus de vingt points pour 63 d’entre elles) ; dans 61 cas, elles bénéficient de 5 à 10 points d’avance ; enfin, 43 d’entre elles joueront une partie beaucoup plus serrée, car elles disposent de moins de 5 points d’écart avec leur adversaire.
Dans le même temps, des femmes arrivées en seconde position peuvent prétendre à la qualification. C’est le cas par exemple de Marie Sara (LRM), arrivée deuxième face à Gilbert Collard (Front national) dans le Gard, avec seulement 48 voix d’écart.
Cliquez ici pour lire le reste de l’article publié par Le Monde le 14 juin 2017.
Parmi les candidats arrivés en tête à l’issue du premier tour des législatives, 43 % sont des femmes. La parité devrait largement progresser au sein du Palais-Bourbon.
L’Assemblée nationale qui sortira des urnes au second tour des législatives, dimanche 18 juin, sera non seulement profondément renouvelée, mais aussi probablement plus féminine que la précédente. En 2012, 155 femmes avaient été élues, soit 26,8 % des députés. Ce record sous la Ve République devrait être battu. En effet, 248 femmes sont arrivées en tête dans leur circonscription au premier tour dimanche 11 juin, contre 329 hommes, soit près de 43 % de candidates en pole position. Parmi elles, 197 sont étiquetées La République en marche (LRM).
La partie n’est pas gagnée pour toutes, en raison des reports de voix qui peuvent modifier les équilibres. Mais 144 femmes bénéficient d’une avance confortable de plus de dix points sur leur adversaire (voire plus de vingt points pour 63 d’entre elles) ; dans 61 cas, elles bénéficient de 5 à 10 points d’avance ; enfin, 43 d’entre elles joueront une partie beaucoup plus serrée, car elles disposent de moins de 5 points d’écart avec leur adversaire.
Dans le même temps, des femmes arrivées en seconde position peuvent prétendre à la qualification. C’est le cas par exemple de Marie Sara (LRM), arrivée deuxième face à Gilbert Collard (Front national) dans le Gard, avec seulement 48 voix d’écart.
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