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Élections

La configuration de 2022 est certes différente de celle de 2018. Mais le Parlement libanais comptera-il plus de six femmes, à l’issue du scrutin du 15 mai?

Une semaine avant la date limite de dépôt des candidatures, fixée au 15 mars 2022, 15 femmes seulement ont officiellement enregistré leur demande sur 117 candidats. Le nombre, environ 13 % du total jusqu’ici, peut sembler ridiculement bas. Il est à peine inférieur au taux final de participation féminine aux précédentes législatives, de 14 %. En 2018, en effet, on comptait, à la date limite, 111 postulantes pour 976 candidats. Un nombre qui, après la formation des listes, a chuté à 86 femmes sur un total de 597 candidats. Il faudra attendre le 4 avril prochain, qui clôt le délai de formation des listes, pour connaître le taux final de participation féminine aux législatives.Le tour n’est pas joué pour autant, ce taux n’ayant aucune incidence sur l’accès des femmes au Parlement. Car le Liban n’a jamais adopté de quotas féminins pour encourager la participation de la femme en politique. Uniquement six femmes ont donc accédé en 2018 à l’hémicycle, qui compte 128 députés.

Cliquez ici pour lire larticle publié par L’Orient-Le Jour, le 8 mars 2022.

L’an dernier, à l’occasion de la Journée internationale des femmes, des organisations unissaient leurs voix afin de persuader plus de femmes à faire le saut en politique municipale en vue des élections prévues l’automne suivant.

Tant l’Union des municipalités du Québec (UMQ) que la Fédération québécoise des municipalités (FQM) espéraient rejoindre la zone paritaire, soit entre 40% et 60% de candidates féminines sur l’ensemble du Québec. Un an plus tard, bien que le seuil de 40% n’ait pas été atteint, force est d’admettre que leurs efforts ont porté fruit. 

Un constat désolant

Lors des élections provinciales de 2018, les femmes ont représenté 47,4% des candidats en lice pour les quatre principaux partis. C’était la première fois dans l’histoire du Québec qu’on atteignait la parité.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Droit, le 4 mars 2022.

Les Sud-Coréens sont appelés à élire leur nouveau président, mercredi 9 mars. Entre les préoccupations liées au chômage ou à l'explosion des loyers à Séoul, une problématique cristallise les tensions entre les deux candidats favoris : la bataille entre féministes et antiféministes.

Le constat est sans appel. "Le sexisme existe clairement dans la société sud-coréenne", souffle Sim Sang-jung à l'AFP. Élue députée à quatre reprises, considérée comme l'une des meilleures oratrices du Parlement et jouissant d'un parcours vierge de scandale, la sexagénaire du Parti de la justice aurait pu être une candidate de choix à l'élection présidentielle de Corée du Sud, qui se tient ce mercredi 9 mars 2022.

Cliquez ici pour lire l’article complet publié par Géo, le 9 mars 2022.


Par Gérald Papy

Deux femmes sont en mesure de figurer au deuxième tour de l'élection présidentielle. Cette perspective inédite ne doit pas faire oublier que des relents de sexisme perdurent dans le monde politique et la vie quotidienne.

Dans la série télévisée Baron noir, la présidente Amélie Dorendeu dirige, bataille, manigance, donne et reçoit des coups. Le quotidien d'un mandat à l'Elysée. Le premier d'une femme en France... Professeure émérite à l'université Toulouse - Jean Jaurès, Marlène Coulomb-Gully a remarqué un élément troublant. Le timbre de la voix d'Anna Mouglalis, qui joue ce personnage, est particulièrement grave et rauque. Et pour cause, sa fréquence fondamentale tourne autour des 90 hertz (Hz) alors que la moyenne pour un homme oscille entre 100 et 150 Hz et pour une femme entre 140 et 250 Hz. Faut-il avoir une voix d'homme pour espérer accéder à la fonction politique suprême? 

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Vif, le 3 mars 2022.


Elles sont trois : trois femmes afro-colombiennes de la côte Pacifique de Colombie (ouest), candidates aux élections législatives du 13 mars, visage d'une minorité qui veut en finir avec des siècles d'ostracisme et incarne l'émergence politique de cette minorité.

Francia Marquez, Caterine Ibargüen et Zenaida Martinez disent lutter contre le machisme de la politique colombienne. Ensemble, elles sont la voix d'une protestation qui monte contre une double discrimination : en tant que femmes et en tant que noires.

Cliquez ici pour lire larticle publié par L’Express, le 6 mars 2022.

La commission électorale nationale indépendante (CENI) a tenu ce vendredi 4 mars, la réunion préparatoire en prélude du lancement du cadre de concertation avec la composante femme dans le cadre du processus électoral en cours.

La réunion présidée par Denis Kadima, président de la CENI sous le thème, “genre, diversité et élections”, a connu la participation des plusieurs associations féminines des différents secteurs.

Dans son mot d’ouverture, Denis Kadima a réitéré la volonté de son institution à faire de la problématique de l’inclusion électorale des femmes le sien. Il a appelé les femmes à pondre des meilleures pistes de solution au sein du cadre de concertation pour lutter contre l’inégalité Homme-Femme sur la scène politique.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Actualité.CD, le 4 mars 2022.