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Élections

La Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) et son organisation membre au Kenya, publient aujourd’hui un rapport analysant les violences sexuelles et basées sur le genre perpétrées contre les femmes comme une tendance au Kenya durant les élections et appellent à des actions préventives immédiates de la part de l’État en vue des prochaines élections générales de 2022.

Lors d’un événement de haut niveau organisé aujourd’hui à Nairobi, au Kenya, la FIDH et KHRC publient un rapport conjoint intitulé : "Les violences sexuelles comme instrument politique durant les élections au Kenya. Mesures à prendre par l’État avant le scrutin de 2022". Des acteurs clés, dont des représentants de la Commission indépendante électorale (Independent Elections Boundaries Commission - IEBC), de la Commission pour le genre et l’égalité (Gender and Equality Commission - NGEC), du Conseil national de l’administration de la justice (National Council on the Administration of Justice - NCAJ), de l’Autorité indépendante de surveillance de la police (Independent Policing Oversight Authority - IPOA), ainsi qu’une survivante des violences post-électorales de 2007/2008, sont réuni-e-s pour discuter des violences sexuelles basées sur le genre pendant les élections en vue de prévenir leur récurrence lors des prochaines élections.

Cliquez ici pour lire l’article publié par la Fédération Internationale des Droits de l’Homme, le 18 janvier 2022. 


L’appel à une campagne électorale apaisée dans ces joutes locales se multiplie après les scènes de violences notées dans des localités du Sénégal. Les organisations de femmes, partenaires du projet VLF-Sénégal, lancent un appel en faveur de la libre expression démocratique, de la transparence et de la paix pour ces élections locales du 23 janvier prochain.

Le 23 janvier 2022, les Sénégalais iront aux urnes pour élire les maires des communes, les président(e)s des conseils départementaux et autres représentant(e)s au niveau local.  Pour cette campagne qui a démarré depuis le 08 janvier dernier, des scènes de violences sont notées dans plusieurs localités liées aux tensions politiques ou à des rivalités entre militants.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Seneplus, le 17 janvier 2022.

«Je suis candidate à la présidence de la République», a lancé Christiane Taubira ce samedi 15 janvier à Lyon. Depuis l'Esplanade de la Grande Côte dans le quartier de la Croix-Rousse, dans un brouillard évoquant la situation très compliquée à gauche, l'ex-garde des Sceaux a déclaré vouloir «prendre toute (sa) part contre la démoralisation et les discours de haine et les propos belliqueux», contre «les risques de dislocations sociales» et pour faire face «aux nouveaux défis» dont celui de l'écologie qui est pour elle, «l'affaire du siècle».

«J'honore le rendez-vous que je vous ai fixé à la mi-janvier depuis Lyon, une ville marquée par une histoire forte et sociale, celle des Canuts de la Croix-Rousse», a lancé la désormais candidate devant une petite assemblée militante qui l'avait rejointe dans cette capitale régionale marquée «par une histoire forte et sociale, celle des Canuts de la Croix Rousse».

Cliquez ici pour lire larticle publié par Le Figaro, le 15 janvier 2022.


Au Sénégal, des dizaines de femmes sont en lice pour les élections locales du 23 janvier. Elles sillonnent les rues pour tenter de convaincre les habitants. Pour certaines d'entre elles, c'est une première expérience politique.

Cliquez ici pour visionner le reportage.

Antonia Ramírez Marcelino, membre du conseil local de l’Institut national électoral (INE) du Mexique dans la municipalité de Copanatoyac, située dans l’État de Guerrero, a dénoncé le fait que les femmes n’ont pas pu exercer leur droit de vote aux élections locales en raison des « us et coutumes » de la localité.

Dans un message publié sur son compte Facebook, Mme Ramírez explique que les dirigeants locaux du parti Morena – du président Andrés Manuel Lopez Obrador – et du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI) ont convenu que les femmes ne voteraient pas pour élire le commissaire municipal, alors que le droit de vote des femmes a été obtenu au Mexique il y a plus de 60 ans.

Cliquez ici pour lire larticle publié par Cink Tank, le 4 janvier 2022.

Le porte-parole du gouvernement béninois, Wilfried  Léandre Houngbédji a été reçu ce dimanche 02 janvier 2022 sur  Radio Tokpa. Au cours de l’émission, il a abordé plusieurs sujets de l’actualité nationale notamment  l’amélioration de la condition de la femme à travers le vote d’une série de lois devant toucher sa représentativité. Il a fait savoir qu’en 2023, il y aura une présence considérable de femmes au parlement.

Selon Wilfried Léandre Houngbédji, la réforme sur la représentativité des femmes au parlement a été acquise depuis 2019. Il a déclaré que les lois ont prévu « qu’à l’occasion des législatives de 2023, il doit y avoir dans chaque circonscription électorale au moins une femme candidate». Il a fait savoir que «sur chaque liste qu’un parti présente dans chaque circonscription, il doit avoir une femme qui emportera d’office un siège». C’est pour cela, dit-il, qu’«un siège reviendra d’office à une femme dans chaque circonscription». Cela permettra donc qu’à l’arrivée, il y aura au moins 24 femmes élues hormis «celles qui pourraient en fonction de leur positionnement, de l’influence de leur parti dans telle ou telle circonscription l’emporter» et améliorer ainsi le taux de présence des femmes au sein de la prochaine Assemblée nationale.

Cliquez ici pour lire larticle publié par la Nouvelle Tribune, le 2 janvier 2022.