Kirghizistan: l’inégalité hommes-femmes en question
Source: Novastan
Depuis les années 1990, les femmes sont de moins en moins nombreuses au sein du gouvernement kirghiz, et occupent de plus en plus souvent des postes à responsabilité moindre. C’est ce qu’ont pu constater les journalistes de Kloop en interrogeant des personnalités politiques féminines et en se basant sur plusieurs études.
Novastan reprend et traduit ici un article publié le 20 décembre 2021 par le média kirghiz Kloop.
Une jeune femme élégante entre dans le bureau de la rédaction de Kloop. Elle porte un tailleur noir et une écharpe multicolore nouée autour de son cou. Elle passe tranquillement près des tables, salue les journalistes et entre dans la salle d’interview. Il s’agit d’Elvira Sourabaldieva : l’une des rares femmes ayant occupé un poste au sein du gouvernement kirghiz.
En 2004, Elvira Sourabaldieva est entrée pour la première fois dans la fonction publique : son choix s’est porté sur le fonds social. Elle a toujours voulu « servir les intérêts de l’État », explique-t-elle, et après avoir terminé ses études à l’étranger, elle y a postulé : « Une amie m’a informé qu’il y avait un poste vacant de spécialiste en chef au fonds social, j’y suis allée et j’ai déposé ma candidature. J’ai été prise ».
Cliquez ici pour lire l’article publié par Novastan le 20 mars 2022.
Depuis les années 1990, les femmes sont de moins en moins nombreuses au sein du gouvernement kirghiz, et occupent de plus en plus souvent des postes à responsabilité moindre. C’est ce qu’ont pu constater les journalistes de Kloop en interrogeant des personnalités politiques féminines et en se basant sur plusieurs études.
Novastan reprend et traduit ici un article publié le 20 décembre 2021 par le média kirghiz Kloop.
Une jeune femme élégante entre dans le bureau de la rédaction de Kloop. Elle porte un tailleur noir et une écharpe multicolore nouée autour de son cou. Elle passe tranquillement près des tables, salue les journalistes et entre dans la salle d’interview. Il s’agit d’Elvira Sourabaldieva : l’une des rares femmes ayant occupé un poste au sein du gouvernement kirghiz.
En 2004, Elvira Sourabaldieva est entrée pour la première fois dans la fonction publique : son choix s’est porté sur le fonds social. Elle a toujours voulu « servir les intérêts de l’État », explique-t-elle, et après avoir terminé ses études à l’étranger, elle y a postulé : « Une amie m’a informé qu’il y avait un poste vacant de spécialiste en chef au fonds social, j’y suis allée et j’ai déposé ma candidature. J’ai été prise ».
Cliquez ici pour lire l’article publié par Novastan le 20 mars 2022.