Leadership des femmes
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Première femme à diriger l’Ecosse, la dirigeante britannique à la longévité inédite a déclaré ne « pas quitter la politique ». Elle a par ailleurs précisé qu’elle occupera ses fonctions jusqu’à ce qu’une personne soit élue au sein du SNP pour lui succéder.
La première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a annoncé sa démission mercredi 15 février, après huit années au pouvoir. Mme Sturgeon, 52 ans, a fait une déclaration à la presse à la mi-journée, dans laquelle elle a précisé qu’elle resterait en poste jusqu’à ce qu’une personne soit élue au sein du Parti national écossais, le SNP, pour lui succéder.
Décrivant ses fonctions comme « un privilège » et « le meilleur métier du monde », Mme Sturgeon a soutenu que son choix n’avait pas été motivé par de « récentes pressions » – niant ainsi un quelconque lien avec la polémique autour de la loi facilitant la transition de genre –, mais par une réflexion « profonde » sur le « long terme ».
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 15 février 2023.
« J’ai tout donné pour être première ministre, mais cela m’a aussi beaucoup coûté », a dit la dirigeante de 42 ans, qui a annoncé qu’elle quittera ses fonctions le 7 février.
C’est au bord des larmes, la voix parfois un peu tremblante, que Jacinda Ardern, la cheffe du gouvernement néo-zélandais, a annoncé, jeudi 19 janvier, sa décision de démissionner. Celle qui était devenue, en octobre 2017, la plus jeune première ministre kiwie en cent soixante et un ans avant d’être réélue triomphalement en octobre 2020, quittera ses fonctions d’ici au 7 février. Une annonce qui a créé une onde de choc dans l’archipel tant il est rare qu’un leader renonce au pouvoir, d’autant plus quand il jouit de la popularité de la dirigeante de 42 ans.
« J’ai tout donné pour être première ministre, mais cela m’a aussi beaucoup coûté. Vous ne pouvez pas et ne devriez pas faire ce travail à moins d’avoir un réservoir plein, et encore davantage en réserve pour les défis imprévus et inattendus qui se présentent inévitablement », a-t-elle déclaré lors d’une conférence de presse.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 19 janvier 2023.
Les talibans au pouvoir en Afghanistan « effacent les femmes de la vie publique », a déploré jeudi Fawzia Koofi. L’ancienne vice-présidente du parlement afghan, réagissait après les interdictions d’emploi et d’éducation récemment imposées aux femmes, réclamant des sanctions et pas seulement des condamnations à la communauté internationale.
En quelques jours, les talibans ont interdit aux femmes de suivre des études universitaires et de travailler dans des ONG nationales ou internationales. Ces nouveaux décrets, qui s’ajoutent à ceux déjà pris depuis leur arrivée au pouvoir en août 2021, « interdisent l’accès aux femmes à toutes les sphères de la vie » et « effacent les femmes de la vie publique » regrette Fawzia Koofi, aujourd’hui installée au Royaume-Uni.
Fawzia Koofi était jusqu’à l’arrivée au pouvoir des talibans la vice-présidente du parlement afghan. Elle a quitté son pays en septembre 2021 et est arrivée trois mois plus tard au Royaume-Uni, où vivent ses filles. Elle milite depuis pour les droits des femmes afghanes.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Elle, le 30 décembre 2022.
La Chambre des représentants de Bosnie-Herzégovine a approuvé mercredi la nomination de Borjana Kristo, du parti de l'Union démocratique croate de Bosnie-Herzégovine (HDZ), au poste de Premier ministre pour les quatre prochaines années, la première femme à occuper ce poste.
La Chambre des représentants a donné son feu vert à la nomination du Croate avec 23 voix pour, dont celles de l'Alliance des sociaux-démocrates indépendants, et 15 voix contre de la part des députés du SDA.
S'exprimant lors de la session, il a déclaré être "conscient" que la Bosnie-Herzégovine est "un État à trois nations" et qu'un "consensus politique" est donc nécessaire sur chaque question, y compris l'adhésion à l'OTAN.
Cliquez ici pour lire l’article publié par MSN, le 28 décembre 2022.
Cette discussion en ligne a permis de sensibiliser et recueillir des expériences et des connaissances sur les différences liées aux genres dans la couverture médiatique politique, leur impact sur la participation et la représentation politiques des femmes, ainsi que rassembler des bonnes pratiques et recommandations sur les moyens de contrer l'impact négatif de l'image des femmes en politique dans les médias, au travers d’une couverture juste et impartiale.
Les participant/es, parmi lesquel.le.s des législateurs et législatrices locaux et nationaux, des ancien.ne.s ministres au gouvernement, des journalistes, des activistes de la société civile, des expert.e.s et des chercheurs/euses ont rejoint cette discussion en ligne, du 07 au 30 septembre 2022. iKNOW Politics et ses partenaires remercient leurs abonné.e.s d'avoir pris le temps de contribuer à cette discussion en ligne et partager leurs expériences, bonnes pratiques et recommandations.
Les contributions ont servi à l'élaboration de ce résumé de la discussion qui a permis d’enrichir la base de connaissances disponible sur les femmes en politique et les médias.
À 36 ans, l’élue d’Hénin-Beaumont succède à Julien Bayou et devient la Dame des Verts.
POLITIQUE - Une dame de vert pour briser le plafond. À 36 ans, Marine Tondelier est, depuis ce samedi 10 décembre, la nouvelle Secrétaire nationale d’Europe Écologie-Les Verts. Avec 90,8 % des voix, elle succède à Julien Bayou et impose ainsi une voix féminine dans un carré de gauche jusqu’alors exclusivement masculin.
Née à Hénin-Beaumont le 23 août 1986, Marine Tondelier est tombée dans la marmite politique écologique pendant ses études à Sciences Po Lille, juste avant les européennes de 2009. Elle a 23 ans. C’est l’époque José Bové, Éva Joly, Michèle Rivasi, Cécile Duflot...En décembre 2010, cette dernière, aujourd’hui dirigeante d’Oxfam France devient la première secrétaire nationale d’EELV.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Huffington Post, le 10 décembre 2022.