Leadership des femmes
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«Les autorités devraient davantage aider les jeunes militantes à se faire entendre ; plutôt que d’être réduites au silence ou étouffées, leurs voix devraient servir à motiver d’autres personnes à agir et à insuffler des changements», a déclaré Meskerem Geset Techane, membre du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles.
Mme Geset Techane a fait cette déclaration alors qu’elle présentait le dernier rapport du Groupe de travail au Conseil des droits de l’homme. Ses propos font écho à ceux d’une jeune femme militante qui a participé à l’une des consultations du Groupe de travail.
Ce rapport sur le militantisme des filles et des jeunes femmes souligne l’importante contribution apportée à la promotion de l’égalité des sexes et des droits de l’homme par les filles et les jeunes femmes, et examine les obstacles structurels à leur militantisme.
Cliquez ici pour lire l’article publié par ONU Droits de l’homme, le 6 septembre 2022.
NÉCROLOGIE La reine, qui avait accédé au trône en 1952 à l’âge de 25 ans, est morte le 8 septembre à 96 ans. Monarque impassible, vénérée par le peuple britannique, cheffe des armées, gouverneure suprême de l’Eglise anglicane, elle a été l’interlocutrice de quinze premiers ministres britanniques.
C’était en 1991 à Harare, capitale du Zimbabwe, à l’issue d’un sommet du Commonwealth. Quand Elizabeth II a fait son apparition sous la marquise dressée sur la pelouse du Haut-Commissariat britannique, l’invité s’est figé. La souveraine est plus petite qu’on ne l’imagine. Sa poignée de main est molle. Sa voix nasillarde, ses fins de phrase pratiquement inaudibles. Cette femme qui dégage une autorité naturelle toise son interlocuteur d’un sourire à peine esquissé. Le dialogue se limite à deux questions banales. Un court silence s’installe. La reine disparaît. La monarque excelle dans cette double nécessité de paraître à la fois accessible et inaccessible. C’est une vraie reine, comme l’avait déclaré, admiratif, le président Mitterrand.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 8 septiembre 2022.
Passage en revue des femmes qui sont actuellement Premières ministres ou chefs d’État sur le Vieux Continent, alors que Liz Truss s’apprête à prendre la tête du gouvernement britannique.
Alors que Liz Truss a été désignée pour succéder à Boris Johnson à la tête du gouvernement britannique, lundi 5 septembre, voici un tour d’horizon des femmes qui sont actuellement Premières ministres ou cheffes d’État (hors monarques) en Europe. La conservatrice Liz Truss est la troisième femme à occuper cette fonction au Royaume-Uni, après Margaret Thatcher (au pouvoir de 1979 à 1990) et Theresa May (2016-2019), toutes les deux des Tories. À noter par ailleurs que l’Allemande Ursula von der Leyen est devenue en décembre 2019 la première femme présidente de la Commission européenne.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Réforme, le 6 septembre 2022.
Au Kazakhstan, les inégalités entre les sexes restent encore aujourd’hui très importantes. La présidente de l’Union des centres de crise a émis des propositions destinées au gouvernement et à l’ensemble des femmes kazakhes qui visent à encourager l’égalité des sexes.
Novastan reprend et traduit ici un article publié le 25 mai 2022 par le site d’information kazakh Steppe.
Au Kazakhstan, les inégalités entre les sexes demeurent, tant au niveau salarial qu’au niveau de la représentation au sein du gouvernement. Les femmes ne représentent ainsi que 9,3 % des employés de la fonction publique liés à la sphère politique.
Une lueur d’espoir apparaît pourtant : le président a approuvé des modifications au document intitulé Stratégie de politique en matière de famille et d’égalité des sexes au Kazakhstan. Il y est proposé, entre autres, de porter à 30 % la part des femmes dans les organes de l’État, de diminuer l’écart entre les salaires moyens, ou encore d’encourager la participation des femmes dans les processus de maintien de la paix et de la sécurité.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Novastan, le 5 septembre 2022.
Elles sont quatre, responsables de la diplomatie des plus grandes économies de la planète. Et depuis six mois, elles font front commun pour tenir tête à Vladimir Poutine. Ce quatuor de femmes ministres des Affaires étrangères s’est ligué non seulement pour sévir contre le régime russe et s’assurer que la communauté internationale n’oublie pas de protéger les femmes dans le conflit en Ukraine, mais aussi pour épauler les dirigeantes d’autres pays aux prises avec les conséquences de cette guerre. Une offensive féminine sur tous les fronts. « Il faut se soutenir, entre collègues féminines », souligne en entrevue la diplomate en chef du Canada, Mélanie Joly.
Pour la première fois, la majorité des ministres des Affaires étrangères des pays du G7 sont des femmes. Trois d’entre elles sont dans la quarantaine. Mélanie Joly est âgée de 43 ans, la Britannique Elizabeth Truss, de 47 ans, et l’Allemande Annalena Baerbock, la cadette du groupe, de 41 ans. Catherine Colonna, nommée aux Affaires étrangères de la France en mai dernier, a 66 ans.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Devoir, le 3 septembre 2022.
Résolument libérale, elle a mené campagne sur une unique proposition : les baisses d’impôts. Elle devient la troisième femme à diriger le pays, après Margaret Thatcher et Theresa May.
Les adhérents du Parti conservateur, majoritaire au Parlement britannique, ont choisi : sans surprise, l’actuelle ministre des affaires étrangères, Liz Truss, a été élue pour devenir la nouvelle première ministre du Royaume-Uni, après la démission de Boris Johnson en juillet, a annoncé le parti, lundi 5 septembre. Mme Truss s’impose largement (57 %) face à son rival, l’ancien ministre des finances, Rishi Sunak (43 %), selon les résultats annoncés par Graham Brady, responsable de l’organisation du scrutin.
Les quelques 200 000 membres du parti devaient départager deux concurrents via un vote par correspondance et en ligne organisé du 1er août au 2 septembre. L’issue du scrutin laissait peu de place au suspense tant Mme Truss était en avance dans les sondages. D’après une enquête YouGov publiée le 21 juillet, 62 % des membres des tories interrogés la préféraient, contre 38 % se disant prêts à choisir M. Sunak (soit vingt-quatre points d’écart).
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde, le 5 septembre 2022.