Leadership des femmes
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L’ancienne ministre du Travail Elisabeth Borne remplace Jean Castex et va diriger le nouveau gouvernement du président de la République.
Ne dites plus monsieur le Premier ministre, mais madame la Première ministre. Après trois semaines de consultations tous azimuts, Emmanuel Macron a finalement décidé de désigner Elisabeth Borne pour diriger le nouveau gouvernement, a fait savoir l’Elysée dans un communiqué laconique ce lundi. L’ancienne ministre du Travail du président réélu remplace ainsi Jean Castex, qui avait présenté sa démission plus tôt dans la journée après un peu plus de 22 mois à la tête du gouvernement. «Madame la Première ministre, écologie, santé, éducation, plein-emploi, renaissance démocratique, Europe et sécurité : ensemble, avec le nouveau gouvernement, nous continuerons d’agir sans relâche pour les Françaises et les Français» a écrit le chef de l’Etat sur Twitter, quelques instants avant la passation de pouvoir entre Castex et Borne.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Libération, le 16 mai 2022.
Aujourd’hui, cinq pays de l’UE sont dirigés par des femmes mais les deux tiers ont déjà connu une Première ministre.
Maggie et Mutti ! Margaret Thatcher et Angela Merkel. Si ces deux femmes ont été des pionnières en Europe, on aurait tort de négliger qu’elles ont fait des émules. Il n’y a qu’à regarder la carte de l’Union européenne aujourd’hui pour se rendre compte des progrès réalisés depuis l’arrivée de la « dame de fer » au pouvoir à Downing Street et de la chancelière aux quatre mandats à Berlin. Est-ce un signe de maturité démocratique collective ou la preuve que les systèmes parlementaires favorisent l’accession à la tête de l’exécutif des dirigeants de parti qui sont de plus en plus souvent des dirigeantes ? Toujours est-il que les pays du Nord restent champions dans la promotion des femmes au pouvoir. Au Danemark – berceau de la série cultissime Borgen –, en Finlande, en Lituanie, en Suède comme en Estonie, des femmes jeunes – entre 37 et 55 ans – dirigent le gouvernement.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Journal du Dimanche, le 15 mai 2022.
Sa nomination s'est heurtée à une forte opposition des républicains. Elle a finalement obtenu une très courte majorité grâce au vote de la vice-présidente Kamala Harris.
Il s'agit de la première femme noire à occuper cette fonction. Le Sénat américain a confirmé, mardi 10 mai, la nomination de l'économiste Lisa Cook au poste de gouverneure de la Fed, la banque centrale américaine (Fed), malgré l'opposition des élus républicains. Les sénateurs ont voté par 51 voix contre 50 en faveur de la candidate choisie par le président américain Joe Biden. C'est le vote de la vice-présidente Kamala Harris qui a permis d'aboutir à une majorité.
Sa nomination s'était heurtée à une forte opposition. Le chef des républicains au Sénat, Mitch McConnell, avait même reproché à Lisa Cook d'avoir "poussé des théories du complot" autour du racisme et de la police. Sa nomination intervient alors que la banque centrale américaine doit lutter contre la forte inflation, sans pour autant peser sur la croissance économique et l'emploi.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Franceinfo, le 11 mai 2022.
Elle remplacera Jen Psaki, dont elle était jusqu'ici l'adjointe, à partir du 13 mai, selon un communiqué de la Maison Blanche.
Un nouveau visage et un profil inédit. Le président américain Joe Biden a choisi Karine Jean-Pierre comme prochaine porte-parole de la Maison Blanche. C'est la première fois que ce poste très exposé est attribué à une femme noire, et à une lesbienne. Elle succèdera à Jen Psaki à partir du 13 mai, selon un communiqué de la Maison Blanche. Karine Jean-Pierre, 44 ans, était jusqu'ici la porte-parole adjointe de l'administration Biden, la "numéro 2" de Jen Psaki.
"En 2016, alors porte-parole nationale de l'organisation MoveOn, elle avait déclaré : 'Je suis tout ce que Donald Trump déteste : femme, noire, gay et maman'", relate France 24. Fille de parents nés en Haïti, Karine Jean-Pierre a vu le jour en Martinique et est arrivée aux Etats-Unis à l'âge de 5 ans.
Cliquez ici pour lire l’article publié par France Info, le 5 mai 2022.
Les chiffres clés des fonctions dirigeantes dans la fonction publique révèlent que les femmes restent très largement minoritaires par rapport aux hommes.
Si la fonction publique luxembourgeoise emploie majoritairement des femmes (52,6 % des 31 049 agents de l’État étaient des femmes, selon les derniers chiffres disponibles au 31 décembre 2020), celles-ci restent bien minoritaires au sein des fonctions dirigeantes.
Dans une optique de transparence, le gouvernement vient en effet de publier pour la première fois les chiffres clés de la répartition par genre du personnel au sein des fonctions dirigeantes dans la fonction publique (premier conseiller de gouvernement, commissaire, directeur, directeur adjoint, inspecteur général, etc.) et parmi les chefs de corps de la magistrature.
Cliquez ici pour accéder au rapport.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Quotidien, le 23 avril 2022.
La publication sur les Chiffres clés des fonctions dirigeantes et des chefs de corps dans la Fonction publique de l'État s'inscrit dans la série sur les chiffres clés de l'emploi dans la Fonction publique de l'État qui a été initiée, en 2019, par l'Observatoire de la fonction publique.
Dans une optique de transparence, l'objectif de cette nouvelle publication est de ventiler pour la première fois le nombre de fonctions dirigeantes et de chefs de corps, par genre, dans les différents domaines de l'Administration centrale pour les années 2019, 2020 et 2021. Les fonctions dirigeantes ont en commun d'assumer la même fonction dans la hiérarchie de l'organigramme de leur organisation, bien qu'elles peuvent avoir des titres différents (premiers conseillers de gouvernement, commissaires, directeur, directeur adjoint, inspecteur général, etc.).
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