Leadership des femmes
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Sa nomination s'est heurtée à une forte opposition des républicains. Elle a finalement obtenu une très courte majorité grâce au vote de la vice-présidente Kamala Harris.
Il s'agit de la première femme noire à occuper cette fonction. Le Sénat américain a confirmé, mardi 10 mai, la nomination de l'économiste Lisa Cook au poste de gouverneure de la Fed, la banque centrale américaine (Fed), malgré l'opposition des élus républicains. Les sénateurs ont voté par 51 voix contre 50 en faveur de la candidate choisie par le président américain Joe Biden. C'est le vote de la vice-présidente Kamala Harris qui a permis d'aboutir à une majorité.
Sa nomination s'était heurtée à une forte opposition. Le chef des républicains au Sénat, Mitch McConnell, avait même reproché à Lisa Cook d'avoir "poussé des théories du complot" autour du racisme et de la police. Sa nomination intervient alors que la banque centrale américaine doit lutter contre la forte inflation, sans pour autant peser sur la croissance économique et l'emploi.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Franceinfo, le 11 mai 2022.
Elle remplacera Jen Psaki, dont elle était jusqu'ici l'adjointe, à partir du 13 mai, selon un communiqué de la Maison Blanche.
Un nouveau visage et un profil inédit. Le président américain Joe Biden a choisi Karine Jean-Pierre comme prochaine porte-parole de la Maison Blanche. C'est la première fois que ce poste très exposé est attribué à une femme noire, et à une lesbienne. Elle succèdera à Jen Psaki à partir du 13 mai, selon un communiqué de la Maison Blanche. Karine Jean-Pierre, 44 ans, était jusqu'ici la porte-parole adjointe de l'administration Biden, la "numéro 2" de Jen Psaki.
"En 2016, alors porte-parole nationale de l'organisation MoveOn, elle avait déclaré : 'Je suis tout ce que Donald Trump déteste : femme, noire, gay et maman'", relate France 24. Fille de parents nés en Haïti, Karine Jean-Pierre a vu le jour en Martinique et est arrivée aux Etats-Unis à l'âge de 5 ans.
Cliquez ici pour lire l’article publié par France Info, le 5 mai 2022.
Les chiffres clés des fonctions dirigeantes dans la fonction publique révèlent que les femmes restent très largement minoritaires par rapport aux hommes.
Si la fonction publique luxembourgeoise emploie majoritairement des femmes (52,6 % des 31 049 agents de l’État étaient des femmes, selon les derniers chiffres disponibles au 31 décembre 2020), celles-ci restent bien minoritaires au sein des fonctions dirigeantes.
Dans une optique de transparence, le gouvernement vient en effet de publier pour la première fois les chiffres clés de la répartition par genre du personnel au sein des fonctions dirigeantes dans la fonction publique (premier conseiller de gouvernement, commissaire, directeur, directeur adjoint, inspecteur général, etc.) et parmi les chefs de corps de la magistrature.
Cliquez ici pour accéder au rapport.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Quotidien, le 23 avril 2022.
La publication sur les Chiffres clés des fonctions dirigeantes et des chefs de corps dans la Fonction publique de l'État s'inscrit dans la série sur les chiffres clés de l'emploi dans la Fonction publique de l'État qui a été initiée, en 2019, par l'Observatoire de la fonction publique.
Dans une optique de transparence, l'objectif de cette nouvelle publication est de ventiler pour la première fois le nombre de fonctions dirigeantes et de chefs de corps, par genre, dans les différents domaines de l'Administration centrale pour les années 2019, 2020 et 2021. Les fonctions dirigeantes ont en commun d'assumer la même fonction dans la hiérarchie de l'organigramme de leur organisation, bien qu'elles peuvent avoir des titres différents (premiers conseillers de gouvernement, commissaires, directeur, directeur adjoint, inspecteur général, etc.).
Cliquez ici pour accéder aux données.
Dans le cadre de son projet “Voix et Leadership des Femmes”, Oxfam Tunisie annonce le lancement d’un appel à propositions pour les collectifs/mouvements et coalitions des organisations de la société civile tunisienne visant à promouvoir l’agenda féministe en Tunisie à travers la consolidation des espaces d’échange et de dialogue féministes entre les diverses organisations et associations nationales.
Appuyée par Affaires mondiales Canada et mise en œuvre par OXFAM Tunisie, en partenariat avec les services chargés des relations avec les instances constitutionnelles et la société civile, cette initiative a pour but d’inviter les collectifs/mouvements/coalitions d’organisations de défense des droits des femmes et des libertés, à soumettre, avant le 24 avril en cours, des propositions qui visent la protection et la promotion des droits des femmes et l’égalité des genres en Tunisie, notamment les femmes les plus vulnérables, selon un communiqué publié sur la page officielle d’Oxfam Tunisie.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Web manager center le 20 avril 2022.
Cliquez ici pour plus d'informations.
NEW YORK – Le monde a bien compris que la crise climatique est la pierre d’achoppement du développement durable. Pourtant, malgré l’évidence terrible des conséquences létales du changement climatique, malgré tout le savoir que nous en avons, toutes les technologies, tous les moyens dont nous disposons pour lutter contre lui, nos émissions carbonées continuent à un rythme élevé qui menace notre survie.
Nous avons aussi que la stabilisation du climat dépend d’une réponse qui engage toute la société, par conséquent d’une participation égale et juste de tous les citoyens à la gouvernance. Cela non plus ne se produit pas : les femmes sont sous-représentées dans les processus de décision concernant le climat. Et si cette tendance s’inverse lentement, il reste encore beaucoup à faire pour mettre en place une réponse climatique qui prenne en compte les enjeux du genre. Trois points doivent impérativement être considérés : le leadership des femmes, les droits indigènes et l’éducation.
Depuis presque une décennie, des efforts sont entrepris pour renforcer la parité de genre dans la gouvernance climatique. En 2014, les délégués de la COP20 ont adopté le programme de travail de Lima sur le genre, pour encourager l’inclusion d’un plus grand nombre de femmes dans les négociations sur le changement climatique. Mais cinq ans plus tard, à Madrid, lors de la COP25, 60 % des délégués des États et 73 % des chefs et des chefs adjoints de délégations étaient des hommes.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Project Syndicate, le 24 mars 2022.
Upcoming Event:
Le rôle des parlements dans la promotion de l'égalité des sexes grâce à la technologie
La réunion organisée conjointement par l’Union interparlementaire et ONU Femmes intitulée « Le rôle des parlements dans la promotion de l’égalité des sexes grâce à la technologie »…
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