Leadership des femmes
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Qu'est-ce que cela fait d'être une femme leader dans un monde d'hommes? Quels sont les risques que les femmes prennent lorsqu'elles occupent des postes de direction? Et que font les femmes différemment en tant que leaders?
Avec le Dr Nela Smolovic-Jones, maître de conférence en étude des organisations à l'Open University, nous nous intéressons aux "Finnish Five" - la coalition de femmes dirigeantes qui gouvernent la Finlande - et nous apprenons comment elles placent la protection de l'environnement au cœur des décisions qu'elles prennent et des objectifs qu'elles se fixent.
Cliquez ici pour lire l’article publié par BBC, le 20 janvier 2022.
Un projet centré sur le renforcement des capacités des femmes et leur participation politique à la gestion de la chose locale a été lancé, samedi à Témara, à l'initiative de l'association "Wakr Atta'ir pour l'enfant et la femme".
Ce projet initié à l'échelle de la préfecture Skhirat-Témara en partenariat avec le ministère de l'Intérieur, à travers "le Fonds de soutien à l'encouragement de la représentativité des femmes", profite à 100 femmes dont des élues et des acteurs œuvrant sur la scène locale au niveau des collectivités de cette préfecture.
Cliquez ici pour lire l’article publié par 2M.ma, le 23 janvier 2022.
L'année 2021 s’affichait comme l'une des pires périodes pour la population haïtienne, marquée par des crises sociopolitiques et économiques, des violences, des assassinats horribles, la pandémie de Covid-19, des tremblements de terre, des pénuries de carburant, une insécurité généralisée et des soucis quotidiens.
Cette situation d’ensemble a eu un impact majeur sur les conditions de vie des membres de la population, en particulier des femmes et des filles. Aussi, dans ce climat d'incertitude, des leaders d’organisations de femmes, des femmes politiques, des féministes et des entrepreneures du pays ont lancé la première édition de "Retrouv'Elles", un concept qui se veut être le début des dialogues entre les femmes leaders et les féministes autour de la condition féminine et des réflexions sur les maux de la crise actuelle.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Loop, le 17 janvier 2022.
Le projet Suxali Jigeen, géré par le gouvernement américain, par l’intermédiaire de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), contribue, depuis quatre ans, à l’autonomisation et au leadership des femmes dans les régions de Thiès et de Diourbel.
Une cérémonie de clôture du projet a été organisée ce 11 janvier, à Thiénaba; une occasion pour en célébrer les réalisations. Un programme de crédit mis en place par l’Association Rurale de Lutte contre le Sida (ARLS), partenaire locale de l’USAID, était au cœur des interventions menées par Suxali Jigeen pour appuyer les activités génératrices de revenus d’entreprises dont des femmes sont propriétaires ou gestionnaires.
Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Ambassade des États-Unis au Sénégal, le 11 janvier 2022.
Le 24 janvier, le Parlement transalpin votera pour élire son nouveau chef de l’État, qui succédera à Sergio Mattarella. Plusieurs personnalités du monde de la culture et des médias ont publié un appel pour demander que la nouvelle présidente soit une femme. Une issue compliquée, selon la presse italienne.
“Bientôt, vous serez appelés à élire le président de la République, et nous voulons l’affirmer sans détour : le temps est venu d’élire une femme. Beaucoup de femmes dans ce pays ont les titres, l’expérience et l’équilibre nécessaire pour représenter au mieux la nation, il n’y a donc pas de raisons acceptables pour retarder encore ce choix.”
Cliquez ici pour lire l’article publié par Courrier International, le 5 janvier 2022.
Dans la région, le Pakistan faisait figure d’exception. Jamais, depuis la fondation du pays en 1947, une femme n’avait été nommée juge à la Cour suprême. Depuis le 6 janvier, c’est chose faite. Ayesha Malik a été choisie pour siéger au sein de la plus haute commission judiciaire pakistanaise. La magistrate, très impliquée dans la défense des droits des femmes, avait notamment gagné en notoriété l’année dernière en interdisant les tests de virginité pour les survivantes de viol, dans la province du Pendjab – où elle était juge –, considérant la pratique «humiliante».
Si Ayesha Malik était soutenue par le président de la Cour suprême Gulzar Ahmed, elle s’est heurtée à une très forte résistance de la part des principaux conseils et associations du barreau du pays, prétextant qu’elle ne faisait pas partie des juges seniors de sa juridiction. Ces réserves ont toutefois été balayées, notamment par le collectif Women in Law Initiative Pakistan, car ni la Constitution ni la jurisprudence ne mentionnent de telles exigences d’ancienneté.
Cliquez ici pour lire l’article publié par La Croix, le 11 janvier 2022.
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La réunion organisée conjointement par l’Union interparlementaire et ONU Femmes intitulée « Le rôle des parlements dans la promotion de l’égalité des sexes grâce à la technologie »…
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