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Parlements et élus

Elle est la première femme à occuper cette fonction sous la Ve République. La députée de la majorité présidentielle Yaël Braun-Pivet a été élue, mardi 28 juin, présidente de l'Assemblée nationale. L'Assemblée "a le visage de la France" et "les Français nous enjoignent de travailler ensemble, de débattre plutôt que de nous battre", a déclaré l'élue de 51 ans dans sa première prise de parole depuis le perchoir, devant son mari et ses cinq enfants en tribune. "Il faudra que nous soyons dans l'action, dans une action apaisée. Et le rôle du président de l'Assemblée nationale est aussi de maintenir un climat de débat apaisé entre les uns et les autres", a-t-elle insisté ensuite devant la presse.

Ephémère ministre des Outre-mer et présidente de la commission des lois au Palais-Bourbon sous la précédente législature, celle qui était encore novice en 2017 a été élue au deuxième tour d'un vote des députés par 242 voix, soit la majorité absolue des sufofrages exprimés qui était nécessaire.

"Enfin ! Pour la première fois de son histoire, l'Assemblée nationale sera présidée par une femme", a félicité Olivier Véran sur Twitter, avant même l'annonce officielle du résultat.

Cliquez ici pour lire l’article publié par France Info le 29 juin 2022.

Cette discussion en ligne a permis de sensibiliser et recueillir des expériences, des connaissances et des bonnes pratiques sur la participation politique des femmes, dans le contexte de l’épidémie de COVID-19, ainsi que d'explorer la meilleure façon d'atténuer les effets de la crise sur les électrices, les candidates et les élues pour assurer la participation politique pleine et égale des femmes, à tous les niveaux des processus décisionnels publics.

Les participantes, dont des femmes en politique, des militantes de la société civile, des praticiennes et des universitaires, ont rejoint cette e-Discussion du 21 mars au 11 avril 2022.

iKNOW Politics et ses partenaires remercient les participantess d'avoir pris le temps de contribuer à cette discussion en ligne et de partager leurs expériences, pratiques et recommandations.

Les soumissions ont contribué à l'élaboration de ce résumé, augmentant la base de connaissances disponible sur le sujet.

Les femmes candidates aux législatives restent toujours minoritaires en Maine-et-Loire. Mais en quelques années, ce département a fait des pas de géant en matière de parité.

L’une des particularités du Maine-et-Loire, c’est qu’il compte désormais plus de femmes que d’hommes à l’Assemblée Nationale : elles sont devenues majoritaires en septembre 2020, lorsqu’Anne-Laure Blin a succédé en cours de mandat à Jean-Charles Taugourdeau dans la troisième circonscription de Saumur Nord.

On compte donc désormais quatre femmes (Stella Dupont, Anne-Laure Blin, Laetitia Saint-Paul, Nicole Dubré-Chirat) pour trois hommes députés (Matthieu Orphelin, Denis Masséglia, Philippe Bolo).

Cliquez ici pour lire larticle publié par Ouest France, le 9 juin 2022.

BANDAR SERI BEGAWAN — Sa Majesté le Sultan Haji Hassanal Bolkiah Mu’izzaddin Waddaulah ibni Al-Marhum Sultan Haji Omar ‘Ali Saifuddien Sa’adul Khairi Waddien, Sultan de Brunei Darussalam a annoncé mardi le remaniement, le maintien et la nomination de plusieurs nouveaux ministres.

Le monarque a également annoncé la nomination de la première femme ministre du Sultanat lors d’un titah diffusé en direct sur Radio Television Brunei (RTB).

Cliquez ici pour lire larticle publié par Postsus le 8 juin 2022.

(Québec) Pour la première fois, une femme est nommée sous-ministre aux Finances à Québec

Lors de sa réunion hebdomadaire mercredi, le conseil des ministres du gouvernement Legault a fait la nomination de Julie Gingras à ce poste. Elle a gravi les échelons au ministère où elle a commencé sa carrière comme économiste en 1998. Elle était jusqu’ici sous-ministre adjointe.

Cliquez ici pour lire larticle publié par La Presse, le 1er juin 2022.

Le tournant pris par la Tunisie dérange les sentinelles de la démocratie dans le monde, tandis que le président Kaïs Saïed met à mal des droits populaires chèrement acquis. Les efforts de la Suisse pour soutenir la démocratisation n’ont guère porté leurs fruits dans un pays où, par chance, des femmes résistent. Nous sommes allés à leur rencontre.  

Qu’advient-il de la Tunisie sous le règne de Kaïs Saïed ? Ce pays décline. C’est du moins l’avis de la politologue Monica Marks, spécialiste de cette région. Elle décrit aujourd’hui ce pays comme «une ancienne démocratie en rupture de constitutionnalité et fonçant vers l’autocratie»*.

Au lendemain du Printemps arabe et de la destitution de l’ex-président Zine el-Abidine Ben Ali, la démocratie tunisienne avait pourtant fait miroiter de belles promesses. Berceau de la révolution, ce pays fut le seul à connaître un véritable tournant politique. Mais ces espoirs ont été douchés depuis. Fin mars dernier, le président Saïed a décidé de dissoudre le parlement au moment où celui-ci tentait, par décret, de l’empêcher de gouverner tout seul. La Tunisie vit en fait dans une situation bloquée depuis sa prise de pouvoir en 2021, laquelle avait entraîné une suspension de la Constitution de 2014. A cette époque-là, le nouveau président tunisien jouissait encore d’une forte popularité.  

Cliquez ici pour lire larticle publié par SWI swissinfo.ch, le 28 mai 2022.