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Élections

En vue des prochaines élections départementales et régionales des 20 et 27 juin prochains, l’Observatoire régional de la parité d’Occitanie a mesuré le poids de la représentation des femmes en Occitanie. À partir des statistiques du Répertoire national des élu-e-s (RNE), établi par le ministère de l’Intérieur, deux palmarès ont été produits. "Nous avons élaboré un classement par département et ainsi brossé le tableau, contrasté, de la place réelle des femmes dans la sphère politique régionale", explique Geneviève Tapié, la présidente de l’Observatoire.

Une femme à la tête de la région

Le premier porte sur la place des femmes à tous les échelons de responsabilités dans les communes, les intercommunalités, les conseils départementaux, ainsi que les députées et les sénatrices, et c’est l’Aude qui est au premier rang, suivie par le Lot, en deuxième potion, et le Gard, en troisième. En queue se trouve la Lozère.

Cliquez ici pour lire l’article publié par La Dépêche le 12 mai 2021.

En prélude aux élections municipales de mai 2022, il se tient ce lundi 10 mai 2021 à Ouagadougou, un atelier de coordination des actions pour renforcer la participation politique des femmes à ces élections.

Cette rencontre qui est la suite d’une série d’ateliers thématiques initiés conjointement par la CENI et le PNUD, à travers le projet d’appui aux processus électoraux (PAPE), permettra de tirer les meilleurs enseignements du processus électoral de novembre 2020, afin de mieux soutenir l’organisation des élections municipales de 2022 dans une perspective de renforcement de la gouvernance électorale.

La Constitution du Burkina Faso stipule que les hommes et les femmes naissent égaux et jouissent des mêmes droits civiques et politiques, sans aucune distinction et ont le droit de participer à la gestion des affaires de l’Etat et de la société. Cependant, malgré les différents cycles électoraux successifs, cette prédisposition légale est en constant décalage avec la réalité.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Faso le 10 mai 2021. 

ALGER - La participation des jeunes et de l’élément féminin à la vie politique est un "un acquis fondamental" au regard de leurs capacités et de leurs ressources leur permettant de contribuer efficacement au processus de développement du pays, notamment à travers la participation aux élections législatives du 12 juin, affirment des associations de la société civile.

Le président de l’Union de la jeunesse pour le bénévolat (YUV- association) Hussein Hani a déclaré à l’APS que la participation des jeunes à la vie publique figure parmi "les aspects de la démocratie participative", soulignant que l’activation de la participation des jeunes aux différents domaines, notamment scientifique, politique et social ou à l’élaboration des politiques destinées aux jeunes revêt une "grande importance".

Dans cette perspective, l’intervenant a indiqué que la participation des jeunes "se veut un moyen effectif de mobilisation des énergies des futurs générations", pour contribuer réellement à un développement durable au double plan national et local.

La présidente de l’Association Houria pour la femme algérienne, Mme Atika Harichane a estimé, quant à elle, que la participation de la femme à la vie politique est "un acquis fondamental" de nature à dynamiser son rôle dans la promotion de la société à plusieurs niveaux et de renforcer sa contribution aux différents domaines de développement global.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Algérie Presse Service le 3 mai 2021.

Plus que 48 h avant l’élection présidentielle du 11 avril. 10 candidats sont en lice, dont le président Idriss Déby, qui se présente pour un 6e mandat. Et parmi eux, une femme, une première dans le pays. Il s’agit de Lydie Beassemda, du PID (le Parti pour la démocratie et l’indépendance intégrales). Dans un pays où les femmes sont largement sous représentées, y compris en politique.

Sur ce marché de la capitale, Guengueng vend des pagnes à l’effigie du 8 mars et se réjouit de la candidature d’une femme au scrutin de dimanche. « Si on peut voter pour une femme, je vais voter pour une femme, parce qu’on est tellement gentilles avec tout le monde ! On n’est pas comme les hommes, on peut faire mieux ! »

Quelques mètres plus loin 2 jeunes vendeuses acquiescent. Elles aimeraient voir plus de femme en politique. « C’est une bonne chose, c’est un honneur pour nous les femmes. On peut l’encourager, on ne sait jamais, peut-être que les choses vont changer pour les femmes. »

Cliquez ici pour lire l’article publié par RFI le 9 avril 2021.

L'année 2020 a marqué une étape importante pour la place des femmes dans la vie politique américaine. Jamais le nombre de femmes siégeant au Congrès ou détenant un poste dans l'exécutif n'a été aussi important.

C'est la confirmation de la tendance observée aux élections de mi-mandat en 2018, les femmes occupant maintenant 26,9 pour cent des sièges au Congrès. Il s'agit d'une augmentation de 50 pour cent sur les 10 dernières années, mais le pouvoir législatif américain est encore loin de la parité hommes-femmes, voire même d'atteindre la moyenne régionale de 32,4 pour cent constatée sur le continent américain.

Au cours des deux prochaines années, les femmes vont occuper 119 des 435 sièges de la chambre basse, la Chambre des représentants. Cela dépasse le précédent niveau record de 102 sièges, en 2019, et fait passer les États-Unis de la 82e à la 67e place au classement de l'UIP basé sur le pourcentage de femmes dans les parlements nationaux.

Parmi ces femmes parlementaires, on compte 89 démocrates et 30 républicaines. Quarante pour cent de ce total, soit 48 parlementaires, sont des femmes de couleur, soit quatre de plus que précédemment. Parmi ces femmes de couleur, on dénombre 43 démocrates et cinq républicaines. En outre, quatre parlementaires sans droit de vote sont des femmes de couleur qui représentent le district fédéral de Columbia, Porto Rico, les Samoa américaines et les îles Vierges.

Au Sénat, qui est la chambre haute, 24 sièges sur 100 sont actuellement occupés par des femmes : 16 démocrates et huit républicaines. Trois de ces sénatrices sont des femmes de couleur, toutes démocrates.

Cliquez ici pour lire l’article publié par l’Union Inter-parlementaire le 17 mars 2021.

En 2020, les élections ont été profondément marquées par la pandémie de COVID-19. Celle-ci a entraîné des reports et des annulations, posé d’importants problèmes logistiques aux candidats et aux fonctionnaires chargés de l’organisation des scrutins, et a souvent été la cause d’un fort taux d’abstention. Le leadership des femmes a fréquemment été mis en lumière tandis que les citoyens se trouvaient confrontés à des problèmes complexes, fortement genrés, et qu’il devenait difficile aux parlementaires de communiquer et d’avoir des contacts directs avec leur électorat. Les parlements ont dû changer de mode de fonctionnement, faire preuve de souplesse et recourir aux nouvelles technologies. De nombreux parlementaires ont été contaminés dans le monde.

Cliquez ici pour lire le rapport.

Source: UIP