Leadership des femmes
Main navigation
Cette économiste chevronnée, ancienne ministre des finances du Nigeria, est la première femme et première Africaine à diriger l’OMC.
Son nom était attendu : la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala a été nommée à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), lundi 15 février, faisant d’elle la première femme et la première dirigeante originaire d’Afrique à la tête de l’institution.
Depuis sa création en 1995, l’OMC a été dirigée par six hommes : trois Européens, un Néo-zélandais, un Thaïlandais et un Brésilien.
Seule candidate
« Les membres de l’OMC viennent d’accepter de nommer la Dr Ngozi Okonjo-Iweala comme prochain directeur général de l’OMC. La décision a été prise par consensus lors d’une réunion spéciale du conseil général de l’organisation aujourd’hui », a annoncé l’OMC, une quinzaine de minutes après l’ouverture de la réunion. « Elle prendra ses fonctions le 1er mars et son mandat, renouvelable, expirera le 31 août 2025 », a fait savoir le gendarme du commerce mondial.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde le 15 février 2021.
Cette nomination porte à six le nombre de femmes à la tête des huit pays nordiques, un record.
La cérémonie, qui s’est déroulée dans la cour du palais présidentiel rose pastel, à Tallinn, mardi 26 janvier au matin, restera gravée dans l’histoire de la petite République balte. Pour la première fois, la présidente, Kersti Kaljulaid, première femme élue chef de l’Etat par le Parlement, en 2016, a nommé officiellement une autre femme, Kaja Kallas, au poste de premier ministre, jusque-là toujours occupé par un homme.
Agée de 43 ans, Mme Kallas, leader du Parti de la réforme (libéral), avait remporté les élections législatives, en mars 2019. Une victoire qui aurait dû lui permettre de succéder au premier ministre Jüri Ratas, chef de file du Parti du centre, en poste depuis 2016. Mais elle avait dû rapidement y renoncer après avoir échoué à former une coalition, disposant de la majorité au Parlement.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde le 26 janvier 2021.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Angela Merkel impose désormais la présence de 30 % de femmes dans les comités de direction des entreprises allemandes. Mais pour l’entrepreneur Antoine de Gabrielli, cette mesure est surtout symbolique, surtout compte tenu du faible nombre de places en crèche outre-Rhin.
Par Antoine de Gabrielli, fondateur et dirigeant de Companieros, membre du Club XXIe siècle et du Laboratoire de l’Égalité.
Quand on parle des femmes en Allemagne, les politiques familiales sont rarement loin. L’histoire du siècle dernier a pourtant appris à se méfier de ce lien, les Allemands le savent mieux que quiconque.
On connaît le célèbre reproche fait aux mères de famille allemandes, qui travaillent, d’être des «Rabbenmutter», des mères «corbeau», qui préfèrent leur travail à leurs enfants. On sait aussi le faible nombre de Kindergarten: l’âge obligatoire de scolarité est fixé en Allemagne à 6 ans (contre 3 en France). «Les mères ne travaillent pas, donc pas besoin de crèches» disent les uns. «Si pas de crèche, alors pas de travail pour les mères de famille» disent les autres. Dans tous les cas le résultat est là: 45% des femmes allemandes diplômées de l’enseignement supérieur n’ont pas d’enfants, contre moins de 10% en France* et le taux de natalité allemand, s’il est remonté récemment à 1,55, a longtemps été plus proche de 1,3.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Figaro le 25 janvier 2021.
Aux Etats-Unis, le violet n’est pas une couleur anodine; il possède une signification profonde. Voici les raisons pour lesquelles les femmes au pouvoir l'adoptent...
Source : Le 360
A 56 ans, l’ancienne sénatrice de Californie va peser d’un poids inédit dans la politique américaine : elle épaule le plus vieux président jamais en poste et la majorité démocrate au Sénat dépendra de sa voix.
Une ovation l’a accueillie lorsqu’elle est apparue sur la terrasse ouest du Capitole, mercredi 20 janvier, un peu avant midi, pour prêter serment de protéger et de défendre la Constitution des Etats-Unis. Avant de gagner la place qui lui était assignée, Kamala Harris a pris le temps de boxer les poings gantés de Barack Obama qui patientait dans le carré des anciens présidents. Un salut aux allures de passage de témoin du premier à la première. Du premier Afro-Américain élu à la magistrature suprême à la première femme à accéder à la vice-présidence, elle dont les racines plongent à la fois en Jamaïque et en Inde.
Une conjonction de facteurs fait de celle qui fut sénatrice de Californie jusqu’au 19 janvier, après avoir été la procureure générale de l’Etat le plus riche et le plus peuplé des Etats-Unis, une vice-présidente non seulement pour l’histoire, mais dotée d’un poids unique dans la politique américaine.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde le 21 janvier 2021.
Le présent rapport examine les tendances à l’échelle mondiale, les difficultés persistantes et les possibilités concernant la participation pleine et effective des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique, ainsi que l’élimination de la violence, en vue de la réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles. Il présente les progrès réalisés en matière de représentation des femmes à différents niveaux, principalement grâce à des quotas par genre inscrits dans la législation, et montre l’incidence de la participation des femmes à la prise de décisions et à la société civile.
Les problèmes systémiques, en particulier les niveaux croissants de violence perpétrée contre les femmes dans la sphère publique et certaines normes néfastes durables, exigent une attention urgente, tout comme les problèmes spécifiques rencontrés par les femmes marginalisées qui sont confrontées à des formes multiples et croisées de discrimination. Les États peuvent faciliter la mise en place d’un environnement plus inclusif et plus favorable dans lequel toutes les femmes pourraient participer à la vie publique grâce à des objectifs plus ambitieux, une volonté politique accrue, un financement durable et des dispositions institutionnelles tenant compte des questions de genre.
La pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) a aggravé les difficultés en matière de prise de décisions et, bien que les femmes aient rarement pu participer en nombre égal aux hommes à la prise de décisions sur les mesures de lutte contre la COVID-19, dans plusieurs pays où elles occupent des postes de direction, la riposte à la pandémie a été particulièrement efficace. Le rapport se termine par des recommandations formulées à l’intention de la Commission de la condition de la femme, pour examen.
Cliquez ici pour lire le rapport.
Upcoming Event:
Le rôle des parlements dans la promotion de l'égalité des sexes grâce à la technologie
La réunion organisée conjointement par l’Union interparlementaire et ONU Femmes intitulée « Le rôle des parlements dans la promotion de l’égalité des sexes grâce à la technologie »…
Explore