Leadership des femmes
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A 56 ans, l’ancienne sénatrice de Californie va peser d’un poids inédit dans la politique américaine : elle épaule le plus vieux président jamais en poste et la majorité démocrate au Sénat dépendra de sa voix.
Une ovation l’a accueillie lorsqu’elle est apparue sur la terrasse ouest du Capitole, mercredi 20 janvier, un peu avant midi, pour prêter serment de protéger et de défendre la Constitution des Etats-Unis. Avant de gagner la place qui lui était assignée, Kamala Harris a pris le temps de boxer les poings gantés de Barack Obama qui patientait dans le carré des anciens présidents. Un salut aux allures de passage de témoin du premier à la première. Du premier Afro-Américain élu à la magistrature suprême à la première femme à accéder à la vice-présidence, elle dont les racines plongent à la fois en Jamaïque et en Inde.
Une conjonction de facteurs fait de celle qui fut sénatrice de Californie jusqu’au 19 janvier, après avoir été la procureure générale de l’Etat le plus riche et le plus peuplé des Etats-Unis, une vice-présidente non seulement pour l’histoire, mais dotée d’un poids unique dans la politique américaine.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Monde le 21 janvier 2021.
Le présent rapport examine les tendances à l’échelle mondiale, les difficultés persistantes et les possibilités concernant la participation pleine et effective des femmes à la prise de décisions dans la sphère publique, ainsi que l’élimination de la violence, en vue de la réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles. Il présente les progrès réalisés en matière de représentation des femmes à différents niveaux, principalement grâce à des quotas par genre inscrits dans la législation, et montre l’incidence de la participation des femmes à la prise de décisions et à la société civile.
Les problèmes systémiques, en particulier les niveaux croissants de violence perpétrée contre les femmes dans la sphère publique et certaines normes néfastes durables, exigent une attention urgente, tout comme les problèmes spécifiques rencontrés par les femmes marginalisées qui sont confrontées à des formes multiples et croisées de discrimination. Les États peuvent faciliter la mise en place d’un environnement plus inclusif et plus favorable dans lequel toutes les femmes pourraient participer à la vie publique grâce à des objectifs plus ambitieux, une volonté politique accrue, un financement durable et des dispositions institutionnelles tenant compte des questions de genre.
La pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) a aggravé les difficultés en matière de prise de décisions et, bien que les femmes aient rarement pu participer en nombre égal aux hommes à la prise de décisions sur les mesures de lutte contre la COVID-19, dans plusieurs pays où elles occupent des postes de direction, la riposte à la pandémie a été particulièrement efficace. Le rapport se termine par des recommandations formulées à l’intention de la Commission de la condition de la femme, pour examen.
Cliquez ici pour lire le rapport.
C'est une femme sereine et assurée qui a reçu Léa Salamé. Une femme qui sourit des rumeurs qui la disent candidate en 2022. Mais ce sourire cache-t-il une ambition de fer ? On a essayé de cerner la très secrète Anne Hidalgo.
Elle est adorée par la moitié des Parisiens qui voient en elle la visionnaire de la ville de demain. Et elle ulcère l'autre moitié, qui conspuent l'icône de l'urbanisme politiquement correct et la reine des bouchons. Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'elle ne laisse personne indifférent.
Longtemps numéro 2 dans l'ombre de Bertrand Delanoë et de Martine Aubry, elle fait aujourd'hui de l'écologie avec Arnold Schwarzenegger et Leonardo DiCaprio. Et elle est la seule Française à figurer cette année dans le top 100 du magazine Time des personnalités les plus influentes du monde.
Anne Hidalgo accueille Léa Salamé "chez les Parisiens" selon son expression, dans son bureau de l'Hôtel de ville. 150m², 10 mètres de hauteur sous plafond, vue sur la Seine, c'est l'un des plus beaux, si ce n'est le plus beau, bureau de Paris.
Mais lorsque Léa lui parle de puissance, elle répond liberté.
Cliquez ici pour écouter l’interview publié par France Inter le 3 janvier 2021.
La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est "absolument" favorable aux quotas de femmes. "C'est une politique qui est appliqué au seine de la BCE. À compétences égales, c'est une femme qui sera embauchée". Elle affirme par ailleurs avoir subi des situations de harcèlement sexuel au cours de sa carrière.
La présidente de la Banque centrale européenne et ancienne présidente du FMI, Christine Lagarde, est "absolument" favorable aux quotas de femmes dans les conseils de direction. "Je l'assume complètement parce que sinon ça prendra encore trop de temps, dans 160 ans on sera encore au même point", a-t-elle déclaré à Léa Salamé dans l'émission Femmes Puissantes diffusée samedi.
À propos de la politique des quotas, elle déclare : "C'est une politique qui est appliqué au sein de la BCE. À compétences égales, c'est une femme qui sera embauchée". Elle rappelle à cet égard qu'au conseil des gouverneurs de la BCE, il y a deux femmes sur les 25 membres : "ça ne fait même pas 10%". En matière de mixité, "il y a énormément de chemin à parcourir et particulièrement dans certains secteurs : la finance, le droit".
Cliquez ici pour lire l’article publié par France Inter le 26 décembre 2020.
Réalisé avec l’association Mobilising for Rights Associates (MRA), un récent rapport analyse l’inclusion des femmes dans le tissu socio-économique et politique, ainsi que les violences basées sur le genre. Son objectif : mieux identifier les disparités pour rendre plus efficace les projets d’autonomisation.
Avec l’association Mobilising for Rights Associates (MRA), l’Agence américaine pour le développement international (USAID) au Maroc a publié récemment un rapport, sous forme d’analyse «genre». Avec des données mises à jour, l’objectif est d’identifier les principaux obstacles aux niveaux social, économique et politique, ainsi que les opportunités, pour une meilleure intégration des femmes dans les projets de développement.
L’analyse tient compte également des impacts de la crise sanitaire, liée à la pandémie du nouveau coronavirus et dont il ressort que les femmes ont été davantage exposées aux violences basées sur le genre. En témoignent les chiffres du Haut-Commissariat au plan (HCP), que rappelle le document, révélant que «57 % des femmes marocaines avaient été victimes de violence au cours des 12 mois précédant l’enquête». La multiplication des cas de violence s’est, pas ailleurs, accompagnée d’une baisse de signalement, compte tenu des contraintes du confinement.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Yabiladi le 22 December 2020.
Comment la pandémie de COVID-19 change-t-elle la façon dont les parlements fonctionnent ? Quels sont les parlements qui continuent de siéger ? Comment les parlements contribuent-ils à la mise en œuvre des mesures sanitaires d'urgence recommandées par l'Organisation mondiale de la Santé ?
Sur cette page, nous allons répertorier un certain nombre de mesures prises dans le monde entier. Nous le ferons dans le but de faire connaître des pratiques parlementaires et de faciliter la communication interparlementaire. La liste ci-dessous n'est pas exhaustive et les comptes rendus sont fournis à titre d'information uniquement.
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