Leadership des femmes
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Plus de 2,5 milliards de femmes et de filles dans le monde sont touchées de multiples façons par les lois discriminatoires et le manque de protection juridique. En réponse, ONU Femmes, l'Union africaine, le Commonwealth, l'Union interparlementaire, l'Organisation internationale de la francophonie et le Secretaría General Ibero-Americana ont publié conjointement «L'égalité en droit pour les femmes et les filles d'ici 2030: une stratégie multipartite pour une action accélérée »En étroite collaboration avec le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, Equality Now, Global Citizen, Global Campaign for Equal Nationality Rights, International Association of Women Judges, International Development Law Organization, Muslims pour Progressive Values et Women's Learning Partnership pour lutter contre la discrimination persistante dans la loi.
Entre 2019 et 2023, la stratégie vise à accélérer l'abrogation des lois discriminatoires dans six domaines thématiques - réformes globales, autonomisation économique des femmes, dispositions sur l'âge minimum du mariage, droits de nationalité, lois discriminatoires sur le viol et lois sur le statut familial et personnel - dans 100 pays et devrait répondre aux besoins juridiques de plus de 50 millions de femmes et de filles.
Cliquez ici pour voir le rapport.
La Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a présenté son nouveau gouvernement, qu'elle a qualifié d'"incroyablement divers", avec notamment à la tête de la diplomatie de l'archipel une Maorie arborant sur le visage un tatouage traditionnel.
Quinze jours après avoir remporté une victoire écrasante lors des élections législatives, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a présenté, lundi 2 novembre, son nouveau gouvernement sous le signe de la diversité.
Forte de son triomphe aux élections générales, la dirigeante travailliste a pu constituer une équipe sans les populistes de Nouvelle-Zélande D'abord (NZF), encombrant partenaire lors de son premier mandat. Elle conserve cependant le soutien des Verts. Elle a expliqué que la priorité de son deuxième mandat serait la gestion de la pandémie et la relance économique, et créé un nouveau ministère de la Réponse au Covid-19.
Une forte représentation de la communauté maorie
Jacinda Ardern, 40 ans, a choisi pour le poste de vice-Premier ministre Grant Robertson, qui sera la première personnalité ouvertement homosexuelle à occuper le poste crucial de numéro 2 du gouvernement, chargé notamment de suppléer la cheffe du gouvernement quand elle se trouve à l'étranger.
Cliquez ici pour lire l’article publié par France24 le 2 novembre 2020.
La RCA traverse depuis deux décennies des crises qui handicapent sans cesse la population à tous les niveaux. Aujourd’hui, les femmes centrafricaines se lèvent pour se faire entendre et changer l’environnement politique et économique. Et cette fois-ci, c’est une campagne qui couvre non seulement la capitale mais aussi les régions et qui est soutenue par les Nations unies. Dans un entretien exclusif, Lina Ekomo, présidente du Réseau pour le leadership de la Femme en Centrafrique (RELEFCA), explique ce qui a été fait cette année pour révolutionner la préparation des élections présidentielles et législatives en RCA.
Lobbying pour la cause fémininefemmes élections
Le premier tour des élections présidentielles est prévu pour le 27 décembre 2020. Durant toute cette année, malgré la pandémie et la crise sanitaire, Lina Ekomo en compagnie de ses collaboratrices a fait un travail sans précédent, comme elle le précise elle-même «un travail de pionnières». Pour les élections, elles ont mis en place un lobbying.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Sputnik le 28 octobre 2020.
Elles ont toutes répondu présentes à l’invitation au déjeuner d’échanges d’appui au dialogue des femmes leaders des partis politiques Mission FemWise-Cedeao.
Initiée par l’Onu Femmes, cette rencontre qui s’est tenue le 21 octobre au siège de l’organisation internationale, au Deux Plateaux Vallons, avait pour but de contribuer au renforcement du dialogue entre les femmes des partis politiques pour des élections apaisées en Côte d’Ivoire.
Pour cette raison, des figures féminines de la vie politique ivoirienne dont Kandia Camara, secrétaire générale du Rhdp, Léopoldine Coffie, vice-présidente du Pdci-Rda, Marie Odette Lorougnon du Fpi, Danielle Boni Claverie de l’Union républicaine pour la démocratie (Urd)... étaient à l’honneur.
Sous la médiation d’Euphrasie Kouassi Yao, initiatrice du projet Crea-Paix, elles ont, après plusieurs heures d’échanges houleux sur des sujets qui, pour chacune contribuent à la cristallisation de la vie politique, convenu de privilégier le dialogue politique.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Abidjan.net le 22 octubre 2020.
En Côte d'Ivoire, les femmes militent au sein des partis politiques, sont visibles dans les meetings, mais elles le sont moins dans les sphères de décisions. Pourquoi
Quand on parle de femmes dans la sphère politique ivoirienne, le nom de Simone Gbagbo est l'un des rares qui est évoqué.
L'ancienne première dame est connue pour son combat militant aux cotés de son mari l'ex-président Laurent Gbagbo.
Pourtant, les politiciennes ivoiriennes existent bel et bien même si elles ne sont pas très visibles.
Cliquez ici pour lire l’article publié par BBC le 21 octobre 2020.
A quelques jours des élections législatives, quel état des lieux peut-on faire de la loi sur le quota-genre, votée en janvier 2020 ? Pour répondre à cette préoccupation, l’Institut Général Tiémoko Marc Garango (IGD) a organisé, ce vendredi 23 octobre 2020 à Ouagadougou, un dialogue politique qui a réuni plusieurs acteurs politiques, civils et des partenaires techniques de la question.
Cette loi visait à accroître la représentativité des femmes à l’Assemblée nationale qui a, faut-il le rappeler, compté onze femmes à l’issue des législatives de 2015, contre 24 au scrutin de 2012 alors qu’en 2007, elles étaient 17 sur les 111 députés d’alors. D’où l’intérêt pour la question, lorsqu’on sait que les femmes sont, numériquement, les plus importantes et que leur contribution à la vie socio-économique est grande.
Cette loi a introduit, entre autres, une modalité de positionnement alterné femme-homme ou homme-femme des candidats, aussi bien pour la liste des titulaires que pour les suppléants ; une proposition d’un quota de 30% sur les candidatures de l’ensemble des listes figure dans cette loi. Comme ‘’sanction’’, la loi propose un surplus de 20% du montant alloué par l’Etat pour la campagne électorale à tout parti politique qui respecte les nouvelles dispositions.
Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Faso le 26 octobre 2020.
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Le rôle des parlements dans la promotion de l'égalité des sexes grâce à la technologie
La réunion organisée conjointement par l’Union interparlementaire et ONU Femmes intitulée « Le rôle des parlements dans la promotion de l’égalité des sexes grâce à la technologie »…
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