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Leadership des femmes

L’avocate libyenne de 46 ans a été abattue dans sa voiture, mardi 10 novembre, à Benghazi. Figure médiatique, elle était très engagée dans la défense des femmes victimes de violences. Cet assassinat a suscité beaucoup d’émotions en Libye.

L’avocate libyenne Hanane al-Barassi a été abattue dans sa voiture, mardi 10 novembre, en pleine rue à Benghazi, rapporte l’Agence France Presse via une source sécuritaire dans l’Est de la Libye.

Figure médiatique en Libye, Hanane al-Barassi, 46 ans, donnait constamment la parole à des femmes victimes de violences, dans des vidéos qu’elle diffusait ensuite sur les réseaux sociaux. Elle dirigeait aussi une association locale défendant les droits des femmes.

Cliquez ici pour lire l’article publié par CNN le 11 novembre 2020.

La faible présence des femmes en politique au Bénin fait l’objet d’un cross-party network à Cotonou. Dans le cadre du projet  « Engageons-nous ! Pour plus de femmes en politique au Maroc et au Bénin », initiée par la fondation Konrad Adenauer Stiftung Maroc, un panel de trois intervenants a réuni Rébecca Fagnon Dossou-Gbété, responsable politique et ancienne directrice du Fonds national de promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes (FNPEEJ), Serge Prince Agbodjan, juriste et analyste politique et Carole Ikoafe Mitchaï, experte-formatrice sur ce projet. L’objectif de ces assises qui a regroupé une trentaine de personnes (femmes leaders, acteurs politiques et militants de partis)  est de faciliter et de promouvoir le dialogue multipartite sur les problématiques de genre et d’engagement politique des femmes.

Sous la modération du docteur Gilles Badet, secrétaire de la Cour constitutionnelle du Bénin, les trois intervenants ont présenté des communications sur l’état des lieux des femmes en politique au Bénin.  « Je ne suis pas moi-même encore arrivée à pouvoir me donner une qualification de femme politique au Bénin », a lancé à l’entame de sa communication  Rébecca Fagnon Dossou-Gbété, vice-présidente du parti, Dynamique unitaire pour le développement (DUD). Selon cette responsable de parti, qui témoigne être entrée en politique depuis une dizaine d’années, il n’est toujours pas facile pour les femmes d’intégrer le champ politique au Bénin. « Au niveau de mon propre parti, je suis régulièrement la seule femme au milieu de plusieurs hommes », témoigne-t-elle.

Cliquez ici pour lire l’article publié par Banouto le 6 novembre 2020.

Dans le but de promouvoir la gente féminine à s'engager dans la politique, l'ONU-Femme RDC va lancer ce mercredi 3 novembre 2020 la formation des responsables de partis politiques afin de les inciter à soutenir le leadership féminin au sein de leurs formations politiques.

Cette initiative entre dans le cadre de son programme "Coach en genre (PCG)", financé par l'ambassade de Suède.

Elle se déroulera pendant 3 jours et vise à renforcer le leadership féminin et à doter les cadres des partis politiques toutes tendances confondues des outils nécessaires afin de motiver plus des femmes à s'engager dans la politique et aux hommes de les soutenir en prévision des élections de 2023.

Plusieurs activités sont prévues notamment des sessions pratiques d'échanges d'expérience et de réflexion sur le rôle et besoins des femmes en politique.

Cliquez ici pour lire l’article publié par 7 sur 7 le 3 novembre2020.

La colistière de Joe Biden est entrée dans l'histoire samedi devenant la première femme vice-présidente des États-Unis après la victoire du démocrate dans la course à la Maison-Blanche. De parents immigrés, Kamala Harris est souvent dépeinte comme une "Obama au féminin". Portrait.

Tout de blanc vêtue, en hommage au mouvement des suffragettes, et sourire immense. C’est ainsi que Kamala Harris, première femme élue au poste de vice-présidente des États-Unis a dédié, samedi 7 novembre, sa victoire à toute une génération de femmes qui ont "ouvert la voie" à son élection.

Cette métisse de mère indienne et de père jamaïcain est aussi la première Noire et la première Américaine d’origine asiatique à accéder à cette fonction. "La première, pas la dernière", dit-elle dans un tweet posté en parallèle de son discours, peu après l’annonce de la victoire de Joe Biden, assuré d’accéder à la Maison Blanche après avoir franchit la barre des 270 électeurs requis.

Cliquez ici pour lire l’article publié par France24 le 8 de novembre 2020.

Kamala Harris savoure le moment où elle est devenue la première femme, et la première noire et asiatique américaine, à être vice-présidente élue, avec un rire très chaleureux.

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, elle partage la nouvelle avec le président élu Joe Biden : "Nous l'avons fait, nous l'avons fait Joe. Tu vas être le prochain président des États-Unis !"

Ses paroles le concernent, mais l'histoire du moment est la sienne.

Il y a un peu plus d'un an, alors que le sénateur californien espérait remporter l'investiture démocrate pour la présidence, elle a lancé une puissante attaque contre Joe Biden à propos de la course au cours d'un débat. Beaucoup pensaient que cela avait porté un coup sérieux à ses ambitions. Mais à la fin de l'année, sa campagne était morte et c'est M. Biden qui a redonné à la femme de 56 ans l'attention nationale en la choisissant comme colistière.

Cliquez ici pour lire l’article publié par BBC le 8 novembre 2020.

Mauree Turner, candidate à la Chambre de l’État musulman queer noire dans l’Oklahoma. (Mauree pour House District 88)

Mauree Turner est devenue la première législatrice d’État non binaire de l’histoire des États-Unis, après avoir remporté l’élection à la Chambre d’État de l’Oklahoma.

Turner, un organisateur de la communauté démocrate et musulman queer, a remporté les élections dans le district 88 d’Oklahoma City, l’emportant sur le républicain Kelly Barlean avec 71% des voix.

Cliquez ici pour lire l’article publié par 45 secondes le 4 novembre 2020.